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    Depuis toujours, toutes les religions parlent d'un ou plusieurs Dieux gouvernant le monde et les hommes.

    Depuis toujours encore, c'est à partir de la révélation de quelques envoyés divins prenant la forme de messies ou héros que se révèle le message éternel. Selon les cultures ou l'état d'avancement des civilisations, ce message essentiel dans son contenu prendra alors une forme adaptée aux mentalités auxquelles il s'adresse.

    Depuis toujours enfin, les hommes représentent et se représentent la divinité à leur image : un Etre supérieur (mais humanisé) doué de toutes les facultés lui permettant de gouverner les mondes et de juger les siens.

    Tantôt vengeur, irrascible et coléreux, tantôt rempli d'amour et de compassion, la représentation de ces dieux vus par l'homme n'est, au final, rien d'autre que la projection inconsciente et idéalisée de leurs qualités et défauts, de leurs espérances et angoisses face à l'infini et à ce qui leur paraît inaccessible en ce bas monde.

    Comme le disait si bien Goethe : "les hommes traitent Dieu comme si l'Être suprême, l'Être incompréhensible, indéfinissable, n'était guère autre chose que leur semblable".

    Ce froid constat sous-entendrait-il que Dieu ou le Divin n'existe pas et qu'il n'est au final qu'une pure invention humaine, une croyance destinée aux faibles d'esprit ? Certainement pas.

    L'idée que nous avons de Dieu est simplement en retard.
    N'en déplaise à toutes les Eglises qui, depuis des millénaires, tentent de réduire Dieu à l'interprétation sacrée de leurs Ecritures (comme si le Divin avait fixé des limites à sa Pensée) ; n'en déplaise à tous ceux qui ne voient dans ce terme que la naissance d'une nouvelle religion, athée, fondée uniquement sur l'observation mécanique de la matière (comme si le Divin se réduisait à cette dernière) Dieu continue de témoigner son ineffable présence au sein de chaque chose, visible ou invisible. Il ne tient qu'à nous d'en comprendre le sens à défaut de l'Essence.

    Si Dieu existe, qui est-Il ?
    Vous l'avez compris, certainement pas ce à quoi les hommes le réduisent. Nos conceptions de l'infini et de l'Absolu sont tellement restreintes qu'il serait vain de croire que le Divin pourrait être entièrement accessible à l'entendement humain. Il nous faut donc faire preuve de beaucoup d'humilité pour tenter d'en approcher la dimension.

    Nous sommes enfants de la Nature, nous vivons avec elle, nous nous nourrissons par elle. Elle accompagnent le début et la fin de nos vies ; elle est notre propre nature. En un mot, elle ne nous est ni étrangère ni séparée.

    Or, l'observation et la science nous montrent et nous enseignent que du plus petit être vivant au plus abouti, de la plus infime particule à la plus grande galaxie, chaque chose répond à un agencement structurel et à un ordre parfaits.

    Tout dans l'univers et dans la nature procède d'un développement et d'une harmonie visibles, tangibles. Ceci nous est tellement évident que nous ne le voyons même plus, pas plus que les cycles qui accompagnent les processus de la Vie en général et de nos vies en particulier.

    Nous nous émerveillons de l'arrivée du printemps non par l'admiration des forces extraordinaires qui, à cette période, s'activent pour faire tout croître dans la nature, mais parce que nous bénéficions de fleurs magnifiques dans nos jardins ou nos maisons. La plénitude de l'été ne prend bien souvent à nos yeux de valeur que parce que les vacances y sont associées. Les exemples pourraient ainsi se multiplier à l'infini.

    C'est ainsi que, trop absorbés par nos activités et nos agitations multiples, nous nous sommes peu à peu éloignés ou coupés de cette évidente Réalité témoignant de cet ordre universel en n'en gardant au mieux qu'une vision intellectualisée.

    Pourtant, là est la première et la plus évidente manifestation d'une Intelligence absolue à l'oeuvre
    dans tout l'univers
    .
    En effet, comment les choses et les êtres pourraient-ils s'organiser autrement s'ils ne répondaient pas à un Principe coordonnateur ? Principe dont la manifestation se concrétise par des lois invisibles aux effets visibles, intemporelles mais inscrivant néanmoins leur action dans le temps et enfin omniprésentes.

    Nous sommes là en présence d'un plan global et universel qui dépasse largement la causalité humaine et dont nous faisons, quoiqu'il en soit, partie. Ce Plan intelligent et intelligible est le reflet d'une puissance animatrice que nous pouvons nommer Dieu dans son corps physique.

    A ce corps physique nous sommes intimement liés puisque nous procédons de sa nature et de son ordre. Et si nous n'en comprenons pas l'Essence originelle, il nous est donné d'en saisir l'unité partout présente.

    Mais l'univers ne se résume pas à un laboratoire de physique ou de chimie.
    Il est une autre dimension de l'être qui ne se résoud pas au mental et à sa capacité indéniable d'analyse et de raisonnement.

    Complémentaire à ce dernier, l'âme qui transporte nos idées et nos pensées en les faisant jaillir d'un monde insondable n'en est pas moins réelle. Elle nous fait pressentir les choses sous un autre aspect, une autre facette.

    Ainsi les formes qui naîtront de l'assemblage de milliards d'atomes et de molécules donneront-elles naissance, grâce à elle, à la beauté, au sentiment, à la plénitude ou au contraire à la disharmonie.

    Cette perception par l'âme procède d'un autre ordre que celui de l'analyse descriptive Elle donne vie et sens à toutes choses et procèdent par contemplation. Avec elle, l'atmosphère n'est plus simplement un mélange de gaz mais une porte ouverte vers l'infini à travers la vision de la voûte étoilée.

    La beauté universelle prend avec elle une toute autre mesure. Son inspiration peut soulever des montagnes, abattre tous les obstacles ou faire naître encore de nouveaux mondes. D'elle jaillit le génie ou le commun, la mémoire du passé ou celle du futur car elle n'est soumise ni au temps ni à l'espace.

    L'âme voyage dans une autre dimension en même temps qu'elle est incarnée dans la nôtre. Sa nature est tout aussi insondable que l'est Dieu parce que associée à son Essence et définitivement non perceptible à nos sens.

    Mais nul doute qu'elle est en chacun de nous, plus ou moins endormie, et qu'elle révèle l'action divine en mouvement à travers nous.

    Oui, Dieu existe mais d'une manière différente de celle que nous l'imaginions jusqu'à présent !
    Il nous faudra certainement encore beaucoup de temps pour en appréhender sa véritable nature autrement que par des formes d'idôlatrie ou de personnification tout aussi respectables que simplistes.

    Mais une chose est sûre : il est temps d'élever nos consciences pour en apprécier la plénitude et faire en sorte que le Divin, qui ne demande qu'à s'exprimer pleinement à travers ses créatures douées d'intelligence, témoigne à travers elles de son Intelligence universelle.


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  • Nous mourrons chaque jour et nous ne nous en rendons pas compte.

    Biologiquement, à bien y regarder, plus rien n'existe de ce qu'était notre corps physique il y a sept ans à peine. Toutes nos cellules se sont renouvellées à notre insu tandis que nous continuons à nous agiter sans la moindre conscience de ce phénomène naturel que nous vivons ou que nous mourrons en permanence... En un mot, nous vivons à chaque instant notre propre mort physique.

    Evidemment, ce curieux constat semble n'avoir aucune relation directe avec la mort telle que chacun se la représente, la voit ou l'éprouve lors de la disparition d'un être cher. Attendue ou subite, la mort nous renvoie toujours à nous même : en premier lieu par la tristesse, le vide et la souffrance intérieure qu'elle fait naître en nous ; ensuite et surtout parce que, brusquement, toutes nos certitudes terrestres vacillent devant son insondable mystère.

    La mort fait peur, la mort intrigue et interroge, la mort déconcerte.
    A l'image du noir et du blanc, la mort serait-elle l'opposé de la vie ? Mais au fait, qu'est-ce que la vie, d'où vient-elle et comment se manifeste-t-elle à travers les êtres vivants ? Ces questions que la plupart ont abandonné aux débats des philosophes et des religieux en se contentant simplement de vivre leur vie quotidienne, deviennent tout à coup d'une cruelle réalité. Et finalement, n'est-ce pas de cette Réalité dont il faudrait parler en premier lieu ?

    Les réflexions et constats qui suivent ne s'adressent pas à ceux qui disposent déjà d'une opinion forgée et définitive (religieuse ou matérialiste) sur la question de la mort physique et de ce qu'il peut y avoir après. Ils s'adressent au lecteur libre qui souhaite avoir des éclaircissements pour édifier sa propre opinion en s'appuyant sur des faits dont plus personne ne peut contester raisonnablement aujourd'hui l'existence.

    L'observation de la nature par la science nous apprend, comme nous l'ont d'ailleurs transmis avec d'autres mots les anciennes Traditions, que tout dans l'univers visible et invisible procède d'une seule et même énergie fondamentale.

    Cette énergie se transforme en modalités ou " plans" d'existence propres disposant de propriétés et caractéristiques spécifiques. Il en est ainsi des particules élémentaires aux structures les plus complexes que nous connaissions. C'est de l'imbrication et de la combinaison de ces "plans" hiérarchiquement organisés (atomique, moléculaire, cellulaire, tissulaire, organiques) que naîtront les différentes formes d'expression de ce que nous nommerons, pour simplifier, la matière dont nous sommes composés laquelle témoignera à son tour de la Vie qui nous anime.

    Outre l'admirable et constante harmonie dont elle est le miroir à travers l'étendue de toutes ses composantes, de l'infiniment petit à l'infiniment grand, celle-ci (la matière), à n'en pas douter puisque nous en sommes les propres témoins, abrite, révèle et véhicule une forme d'intelligence indicible : la pensée ou encore l'esprit.

    Et ce qui semblait une simple curiosité dans notre propos introductif (nous vivons chaque jour notre mort) devient ici un élément de distinction fondamental entre ces deux aspects de la manifestation visible : la matière et l'esprit.

    L'esprit affirme en effet, par ce constat, son existence indépendante du corps physique par le fait même que sa nature n'est pas altérée, dans son principe, par les transformations de son support qui, chaque jour davantage, s'approche inéluctablement de sa fin en tant que tel.

    Ainsi, la conscience que nous avons d'être toujours identique à nous même quelque soit notre âge, tandis que notre corps subit irrémédiablement les effets du temps, témoigne de leur différence de nature.

    Cette réalité, vécue en quelque sorte "de l'intérieur" par chacun de nous, ne peut s'assimiler à celle perçue de l'extérieur, c'est-à-dire par nos semblables. Ceux-ci ne verront que les apparences de ce que nous sommes comme nous n'observerons à notre tour que les apparences de ce qu'ils sont : transformation physique, évolution de la personnalité, peut-être même diminution progressive ou rapide des facultés intellectuelles avec l'âge. Mais personne d'autre que nous-même ne pourra jamais percevoir cette flamme intérieure qui nous anime et solidarise tous les éléments, visibles ou non, dont nous sommes constitués : l'esprit que les hommes ont qualifié de tant de noms divers.

    Ainsi, le corps n'apparaît être qu'un vêtement organique de l'esprit. Il passe, change et se désagrège tandis que l'esprit demeure.
    La mort physique n'est autre que la désolidarisation des différents plans dont nous avons parlé plus haut qui, à l'image d'une maison abandonnée, et donc sans âme, s'abime avec le temps pour n'être plus, au final, qu'un ensemble d'éléments disparates qui se transformeront à leur tour selon les lois physiques auxquelles ils sont soumis.

    Qu'advient-il alors de l'esprit ? Comment et de quelle manière survit-il à cette dissociation ?
    Si, comme nous venons de le voir, le temps n'agit pas sur le principe spirituel, c'est donc que ce dernier s'inscrit hors de lui et par conséquent hors de l'espace qui lui est indissociable. Dès lors, dépourvu de son véhicule terrestre, l'esprit (ou l'âme pour utiliser un autre terme sans doute plus familier) ne peut plus être perceptible à nos sens physiques ni communiquer tel que nous le faisons couramment.

    Il n'en demeure pas moins "vivant" au sens commun du terme. Simplement, cette nouvelle forme de vie s'exprime dans une autre dimension difficilement cernable par la nôtre en raison même de sa non perceptibilté et de son affranchissement au temps et à l'espace.

    Cette dimension est probablement semblable à celles tout aussi incompréhensibles à l'entendement de notre raison mais pourtant bien réelles que la physique quantique décrit aujourd'hui. Nous aurons, en d'autres circonstances, l'occasion de revenir sur l'interprétation de ces découvertes qui bouleversent nos vieilles conceptions du monde.

    Quelles preuves pouvons-nous avancer de cette vie posthume de l'esprit ?
    Nous citerons bien évidemment en premier lieu les travaux menés depuis ces trente dernières années sur les milliers de témoignages de mort imminente vécue ou de mort clinique attestée suivie d'un retour à la vie terrestre.

    Bien que dignes de foi et d'un réel intérêt quant aux processus décrits et aux conclusions qui s'imposent à leur étude, nous ne les mettrons pas en avant en tant que preuve irréfutable de la survie posthume de l'esprit. La raison en est simple : tous ces témoignages sont le fait de personnes vivantes rapportant LEUR vécu intime en rapport avec l'expérience extraordinaire dont ils ont été l'objet.

     

    En revanche, il est une autre somme considérable d'observations faites depuis des siècles qui méritent toute notre attention et sur laquelle nous fonderons la suite de cet exposé : les apparitions subites de personnes décédées et les manifestations tangibles sur la matière qui peuvent s'y associer.

    Discréditées pour des raisons essentiellement culturelle et religieuse, rejetées par une certaine science qui n'y voyait là, pour faire simple, qu'une manifestation pathologique de la pensée humaine, ces observations sont longtemps restées en dehors du champ d'investigation de nos connaissances en se voyant reléguées au rang de simples croyances populaires.

    Mais les faits étant têtus et les conceptions du monde ayant changé, les voici aujourd'hui réhabilités en tant que "probables" en lieu et place "d'impossibles".

    C'est ainsi que nous redécouvrons avec étonnement des travaux menés voici plus d'un siècle et demi par des chercheurs indépendants, l'astronome Camille Flammarion figurant parmi les plus illustres, travaux dont la pertinence s'impose à la lumière des dernières découvertes scientifiques.

    En voici l'essentiel :
    1/ - les manifestations visibles de défunts par des personnes les ayant connus ou pas, sont des manifestations objectives. Elles sont objectives parce que vues et perçues sous des formes sensibles ayant impressionnées nos sens.
    2/ - Dans la plupart des cas, l'explication hallucinatoire du phénomène peut être écartée pour deux raisons : ces manifestations sont spontanées, inattendues et non liées à une évocation quelconque de la mémoire du défunt.
    De plus, elles peuvent s'accompagner concomittament ou antérieurement d'actions directes sur la matière (chaise qui bouge, pendule qui s'arrête, objet qui tombe...) dont l'effet perdure postérieurement à l'apparition.
    3/ Les apparitions et manifestations sont relativement fréquentes dans les heures qui suivent immédiatement le décès ; leur nombre diminue à mesure que l'on s'en éloigne.

    Que démontrent ces observations ?
    1- / Le fait qu'une quelconque forme de manifestation ne soit pas sytématique dans chaque cas de mort avérée induit qu'elle ne procède pas de la même matérialité. Si tel était le cas, elle répondrait aux lois physiques de notre plan d'existence et serait, par voie de conséquence, soumise à leur influence avec, notamment, une relation de cause à effet (mort physique = apparition).

    De cela il faut conclure que l'esprit et les propriétés intrinsèques qui sy sont attachées continuent d'évoluer dans une réalité différente de la nôtre. Si celle-ci ne nous est pas visible, elle n'en demeure pas moins vraie. A cet égard, une fois encore et au risque de nous répéter, les récentes découvertes en physique fondamentale confirment cette conclusion : certaines particules élémentaires peuvent apparaître subitement, jaillies de nulle part, et tout autant disparaître dans une dimension qui échappe totalement à notre entendement. La réalité de leur existence n'en demeure pas moins pour autant effective.

    2/ - le fait qu'une apparition soit globale, c'est-à-dire que le défunt se manifeste avec l'image complète de son corps tel qu'il était de son vivant, suppose qu'un agent de coordination maintienne sa forme en l'état. Or la visibilité tangible d'une forme complexe (ou simple d'ailleurs) présente un paradoxe : elle ne peut se manifester qu'avec la matière qui la constitue (fusse-t-elle de la lumière) et l'énergie qui la modèle.

    Ceci incline à penser que dans ce type de réalité, il existe donc une "matière" plus subtile que la nôtre servant de véhicule à cette énergie animatrice et intelligente (l'esprit) puisque capable de conserver la mémoire de sa forme antérieure. Cette "matière" semble être en rapport direct avec le discours de toutes les anciennes Traditions qui l'ont qualifié tantôt de "corps de gloire", de "corps énergique", ou encore "d'aura" sans que cette liste ne soit exhaustive.

    S'il appartient à chacun de se faire sa propre conception sur la nature philosophique, religieuse ou simplement spirituelle de la mort, force est de constater que ces observations et déductions sont autant d'outils pour éclairer un tant soit peu le jugement de chacun. Car comme nous l'avons déjà précédemment dit, que nous soyons convaincus ou pas, que nous soyons pour ou contre, les faits demeurent têtus.

    Voilà pourquoi, à la lumière de ces différents constats, loin d'être définitifs, l'évolution posthume de l'esprit n'apparaît plus seulement comme une espérance mais bien comme une nécessité soumise à des lois encore inconnues mais dont la certitude s'impose tout autant que celles effectives de notre réalité.

    Le chemin est sans doute encore long avant que la Vie nous dévoile la nature de ses grands mystères. Nous les pressentons intimement et intuitivement parce qu'ils sont inscrits en nous-même. La mort en fait partie . Si elle n'était qu'un néant, il est fort probable que non seulement plus aucune vie consciente, réfléchie, n'existerait depuis longtemps mais encore l'univers lui-même n'aurait aucune chance de se manifester. Ceci n'est pas le cas. Alors...


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  • Mois : octobre
    Saison : automne
    Délai  : 10
    Valeur : positive


    Diplômes, récompenses, promotion, réalisation, bonne santé

    Amour :
    Concrétisation d’une relation, rapports harmonieux, désirs qui se réalisent.
    Argent :
    Situation financière saine, toutes les démarches financières trouvent une réponse favorable.
    Travail :
    Activités commerciales, gestion. Toutes les affaires et les contrats aboutissent favorablement. Promotion envisageable.
    Spirituel  :
    Période de plénitude, connaissance du monde de l’esprit, aide supérieure.
    Associations  :
    - avec le 1 Alpha : nouveau départ
    - avec le 24 Richesse : chance aux jeux, gains d’argent
    - avec le 32 Illusion : désillusions totale (je dirais plutôt qu’on ouvre les yeux et qu’on évite de gros problèmes)
    - avec le 34 Initiation : réussite grâce à un stage, une formation
    - avec le 37 Lumière : célébrité
    - avec le 45 Temps : réussite tardive


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  • Mois : novembre
    Saison : automne
    Délai  : 11
    Valeur : positive/négative


    Rivalité, séduction, préjudice, danger, immoralité, sexe, vessie

    Amour :
    Rival(e). Pas de sincérité ni de confiance. Un des partenaires trompe l’autre ou est sur le point de le faire.
    Argent :
    Dépenses excessives et inutiles, gains d’argent par des moyens malhonnêtes.
    Travail :
    Personne paresseuse, sans scrupules, qui n’hésite pas à comploter et conspirer pour obtenir l’avancement qu’elle souhaite, même et surtout au détriment d’une tierce personne
    Spirituel  :
    En conflit intérieur, la personne s’écarte de la voie spirituelle ou se laisse endoctriner par de faux prophètes.
    Associations  :
    - avec le 2 Isolement : blocage sexuel
    - avec le 3 Delta : provocations
    - avec le 8 Nadir : personne d’influence néfaste
    - avec le 13 Pénitence : chantage
    - avec le 32 Illusion : attrait pour les drogues et l’alcool
    - avec le 46 Sacrifice : idées suicidaires
    - avec le 54 Mort : idées suicidaires


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  • Dans les nombreuses applications des huiles essentielles, la parfumerie tient, bien sûr, une place considérable. Même si, aujourd'hui, on fabrique de nombreux parfums à partir d'essences de synthèse, les authentiques parfumeurs, ceux qui n'ont pas cédé devant l'aspect financier alléchant des essences chimiques, offrent encore aux consommateurs des parfums de qualité, faits à partir d'huiles essentielles véritables et pures. D'où, par ailleurs, le prix plus élevé de ces effluves.
    Fragrance épicée du gingembre, fraîche et fruitée de la pêche ou de la mandarine, fleurie du lilas ou de la violette, arôme musqué, poivré, vanillé, note exotique, sensuelle, orientale, la nature dans sa grande prodigalité met au service de l'homme et de la femme, de ceux qui ont envie de se sentir bien dans leur peau, l'occasion d'annoncer, de laisser deviner sur leur passage leur caractère impulsif, vif, dynamique ou languissant, généreux, chaleureux ou lascif. Les odeurs parlent, attirent ou repoussent, séduisent ou écartent.

    Pour les aromathérapeutes, cependant, l'objectif primordial des odeurs n'est pas de sentir bon, mais plutôt de se sentir bien.
    Pour ces thérapeutes, les huiles essentielles ont la propriété, chacune avec ses particularités propres, d'apaiser, de soigner, de rétablir et de guérir les individus, et ce, tant sur le plan physique que psychique et spirituel.

    L'aromathérapie est l'utilisation d'huiles essentielles d'origine végétales pour des applications diverses :

    • Traitements médicaux.
    • Soins esthétique ou de confort.
    • Créations de parfums et de senteurs.
    Les huiles essentielles sont obtenus à partir d'extraits d'arbres, d'arbuste, de fleurs et de plantes selon des methodes de distillations parfois millenaires.
    En utilisant les propriétés propres a chacun des végétaux, les huiles essentielles extraite sont ensuite employer pour leurs qualités médicinales ou aromatiques.
    Les huiles essentielles sont :
    • Antiseptiques :
      les huiles essentielles préviennent et combattent les infections en détruisant les microbes et les bactéries qui se logent dans l'organisme, stoppant ainsi leur reproduction. Il semble que l'acidité des huiles essentielles serait en bonne partie responsable de cet effet, les milieux acides étant moins favorables à la prolifération des bactéries que les milieux alcalins.
    • Revitalisantes :
      parce qu'elles ont un pouvoir de pénétration rapide, les huiles essentielles revitalisent et restaurent, en les nourrissant, les cellules faibles et anémiées. En outre, elles agissent sur le plan de l'énergie globale du corps en favorisant la sécrétion des hormones, l'équilibre des glandes endocrines et celui du système neurovégétatif.
    • Désintoxiquantes :
      les huiles essentielles stimulent les organes émonctoires, c'est-à-dire les organes qui servent à l'élimination des déchets organiques. Nos cellules assimilent une certaine partie des substances absorbées, mais les substances inutiles à l'organisme doivent être éliminées.

      Chaque Huile essentielle à des propriétés particulières agissant sur l'ensemble corps ou sur une partie spécifique. Utilisées depuis des siècles, les huiles essentielles ont calmer la douleur, favoriser la cicatrisation, appaiser les différents maux, stimuler le corps et l'esprit, etc... Les vertus thérapeutiques ont été mainte fois démontrées et l'utilisation des huiles essentielles dans la vie de tous les jours ne fait que commencer.
      Les huiles essentielles peuvent pénétrer le corps de plusieurs façons, selon l'effet escompté et le résultat recherché :
      Les huiles essentielles peuvent être inhalées et entrer dans l'organisme par l'intermédiaire du système respiratoire.
      Les huiles essentielles peuvent entrer dans l'organisme par le système digestif lors de l'absorbtion.
      Les huiles essentielles peuvent pénétrer par les pores de la peau et agir dans l'organisme par diffusion dans le système sanguin.

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