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  • Un soir, un vieil Amérindien parlait à son petit-fils du combat qui se 
    livre à l’intérieur de chacun de nous. 
    Il l’expliquait comme suit: 
     
     ’Il y a deux loups en chacun de nous’ :

    D’abord le loup sombre. C’est la colère, l’envie, la jalousie, la tristesse, le
    regret, l’avidité, l’arrogance, l’apitoiement, la culpabilité, le
    ressentiment, l’infériorité, le mensonge, l’orgueil, la supériorité et 
    l’ego.

    Ensuite, le loup blanc. C’est la joie, la paix, l’amour, l’espérance, la 
    sérénité,l’humilité, la bonté, la bienveillance, l’empathie, la générosité, la 
    vérité la compassion .

    Après être resté silencieux pendant un instant, le petit-fils demanda:

     ’Grand-papa, quel loup gagne?’

    Le Grand-papa lui répondit simplement:
     
     ’Celui que tu nourris.’


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  • Evry, le 30 Décembre 2011

    Docteur, pour vous instruire, j’ai complété mon courrier :

    En Avril 1986, à l’Ecole Polytechnique, j’ai été « tuée » d’une façon bien particulière par Madame Hélène G., Chef du Service de Psychologie de l’Ecole qui me suivait depuis mars 1985. Cette psychologue, Capitaine des armées au QI exceptionnel, m’a tout simplement fait revivre ma naissance, et je ne me trompe pas à ce sujet, la douleur fut inouïe et on m’a parait-il entendu hurler depuis les chambres des élèves. Ce même jour, inévitablement, le médecin de Chef de l’X Jacques Q. , qui accourait à mon secours, s’est retrouvé par hasard à la place de l’ombilic.

    Ne comprenant pas ce qui s’était passé, j’ai fait ensuite une énorme erreur : celle de comprendre déjà ma langue maternelle et d’être capable de la parler, bref, de communiquer ! Evidemment, je dispose aussi d’un affect et de l’énergie sexuelle d’une adulte, (gare aux miracles !) La structure de ma personnalité est mon corps et mon inconscient est le monde, c’est ainsi que je peux savoir à l’avance ce qui va s’y passer.

    Cette  erreur de communiquer a eu pour conséquence de faire de moi la victime d’une ordonnance faite par Madame Hélène G. psychologue de l’X, d’un meurtre avec préméditation de la part du Médecin Chef de l’école, le Docteur Jacques Q. qui a pour cela fait appel à ma propre famille ; à cette fin, il m’a droguée dans son bureau à l’X en me faisant une injection d’un liquide orange transparent, pour que je signe des papiers sans les lire, d’un crime social commis par mon employeur le Conseil Général de L’Essonne où j’ai travaillé de 1982 à fin 2003, d’un crime contre l’humanité car j’ai fait plusieurs tentatives de suicide de différentes manières, de tentatives d’homicides perpétrées au Conseil Général par R. C. et à l’hôpital d’Evry par Madame D.. Bien sûr, tout cela s’est déroulé sans que je sois au courant de rien… Le ciel m’est tombé sur la tête !

    Il me semble maintenant, par ce que je n’avais toujours pas compris mon erreur, que je sois aussi victime, plus on est de fous  plus on rit, d’une tentative d’internement abusif de votre part, avec l’aide de la MDPH, de Manuel V. Député-Maire d’Evry et de Berson, Président du Conseil Général de l’Essonne. Les théories des psys, si elles ne sont pas totalement fausses, sont erronées et comme eux vous êtes un crétin : il existe désormais une supra-conscience, supérieure à la conscience.

    C’est donc pour toutes ces raisons que j’ai pris désormais la décision d’être vraiment comme tous les nouveaux nés, qui ont bien eu une vie avant et pendant leur naissance, sans en être fous ni dangereux pour autant : me voici désormais SOURDE à ma langue maternelle et MUETTE. Méditez…

    Melle FRANCOIS Caroline
    6 Place du Parc aux Lièvres
    91000 EVRY

    Copies : Commissariat d’Evry, Monsieur  Claude FRANCOIS (mon père), Monsieur Claude COTILLARD.


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  • difference

    Peut-on être indifférent à la différence ? Certainement pas. Tout existant est unique comme les empreintes. Nous sommes, tous, différents les uns des autres afin de permettre à l'existence de faire surface pour qu'elle puisse s'animer et prendre vie par la suite.

    En effet, si on prend l'exemple des dessins animés, on s'aperçoit que c'est grâce à la répétition dans la différence qu'on arrive à donner la vie à une image. C'est en répétant la même chose, avec l'insertion d'un rien de différence, qu’on arrive à souffler le mouvement dans l'inerte.

    La différence réside dans l'infiniment petit comme dans l'infiniment grand. Elle est indispensable à l'échelle individuelle, familiale, sociale, planétaire ou même existentielle. C'est elle qui nous permet de nous propulser vers l'avant indéfiniment. Elle avait aussi permis la naissance de l'univers, dont l’existence avait fini par engendrer la nature humaine qui poursuit, à son tour, son évolution en n'étant jamais la même deux temps de suite.

    De même que le temps se répète et se suit sans se ressembler, l'ensemble de l'existence se répète en étant, constamment, différent.  C'est là que réside le secret et la force de l'existence, dans la différence du semblable, dans le semblable de la différence.

    C’est grâce à cette différence dans l'espace et dans le temps que les choses arrivent à prendre forme et à évoluer vers l'éternité en toute indifférence.

    Samia LABIDI, Revue T’AIME@TIC, juin 2001


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  • anneau
    Un écolier vint trouver son professeur pour lui parler d'un problème :
    - Je viens vous voir, car je n'ai pas la force d'affronter mon problème tout seul. Ils disent que je ne sers à rien, que je ne fais rien de bien, que je suis bête et idiot. Comment puis-je devenir meilleur ? Que puis-je faire pour qu'on m'apprécie ?

    Le professeur, sans lui jeter un regard, lui dit :
    - Je suis vraiment désolé mon garçon. Pour l'instant, je dois résoudre mon propre problème. Ensuite, peut-être...

    Faisant une pause, il dit :
    - Si tu m'aides à résoudre mon problème rapidement, je pourrai peut-être ensuite t'aider à résoudre le tien.
    - Bien sûr, professeur, dit le garçon. Mais il se sentit aussitôt dévalorisé.

    Le professeur ôta un anneau de son petit doigt et lui dit :
    - Prends ton cheval et va sur le marché. Tu devras vendre cet anneau pour moi car je dois rembourser une dette. Evidemment, tu devras en obtenir le maximum, mais ne le vends surtout pas en dessous d'une pièce d'or. Va et reviens avec l'argent le plus rapidement possible.

    Le garçon prit l'anneau et s'en alla. Quand il arriva sur le marché, il commença à le proposer aux marchands. Ils paraissaient très intéressés et attendaient de savoir combien le jeune garçon en demandait. Dès qu'il parlait de la pièce d'or, certains éclataient de rire, d'autres partaient sans même le regarder. Seul un vieillard fut assez aimable pour lui expliquer qu'une pièce d'or avait beaucoup trop de valeur pour acheter une bague. Voulant aider le jeune garçon, on lui proposa une pièce de bronze, puis une pièce d'argent. Mais le garçon suivait les instructions de son professeur de ne rien accepter en dessous d'une pièce d'or, et déclina toutes les offres.

    Après avoir proposé le bijou à tous les passants du marché, et abattu par son échec cuisant, il remonta sur son cheval et rentra. Le jeune garçon aurait voulu avoir une pièce d'or pour acheter lui-même cet anneau, libérant ainsi son professeur afin qu'il puisse ainsi lui venir en aide à son tour avec ses conseils.

    Il arriva vers le professeur et lui dit :
    - Professeur, je suis désolé, mais je n'ai pas réussi à obtenir ce que vous m'aviez demandé. J'aurais pu récupérer 2 ou 3 pièces d'argent, mais je crois que l'on ne peut pas tromper quelqu'un sur la valeur de cette bague.
    - C'est très important ce que tu me dis, mon garçon, rétorqua le professeur en souriant. Tout d'abord, nous devons connaître la vraie valeur de cet anneau. Remonte à cheval et va chez le joaillier. Qui mieux que lui connaîtra sa vraie valeur ? Mais peu importe ce qu'il t'en offrira, ne le vends pas. Reviens ici avec mon anneau.

    Le garçon alla trouver le joaillier et lui tendit l'anneau pour qu'il l'examine. Le joaillier le scruta à la loupe, le pesa et lui dit :
    - Dis à ton professeur que, s'il veut le vendre aujourd'hui, je ne peux lui donner que 58 pièces d'or.
    - 58 pièces d'or !! S'exclama le jeune garçon.
    - Oui, répondit le joaillier, et je crois que dans quelque temps, je pourrai lui en offrir 70. Mais si la vente est urgente...

    Le garçon courut tout excité chez le professeur pour lui raconter ce qui s'était passé. Le professeur le fit asseoir et, après avoir écouté l'enfant, il lui dit :
    - Tu es comme cet anneau d'or, un joyau de grande valeur et unique. Seulement, sa valeur ne peut être reconnue que par un spécialiste. Tu pensais que n'importe qui pouvait découvrir sa vraie valeur ?

    Tout en parlant, il remit son anneau à son doigt :
    - Nous sommes tous comme ce bijou. D'une très grande valeur et uniques. Et nous allons sur tous les marchés de la vie en espérant que des personnes inexpérimentées reconnaissent notre valeur.

    Anonyme


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