• D'après de nombreuses études les excitotoxines telles que l'aspartame, contenues dans tous les produits alimentaires transformés provoquent la dégénerescence du système nerveux.

    De plus en plus de cliniciens et de scientifiques importants sont convaincus qu'un groupe de composés appelés excitotoxines joue un rôle crucial dans le développement de plusieurs troubles neurologiques, dont les migraines, les attaques, les infections, un développement neural anormal, certains troubles endocriniens, les troubles neuropsychiatriques, les difficultés d'apprentissage des enfants, la démence associée au sida, la violence épisodique, la borréliose de Lyme, l'encéphalopathie hépatique, des types spécifiques d'obésité, et surtout les maladies neurodégénératives telles que la sclérose latérale amyotrophique (ALS), les maladies de Parkinson, d'Alzheimer et d'Huntington ainsi que la dégénérescence olivopontocérébelleuse. Rien que ça !!!

    Difficile d'y échapper !

    Ces dix dernières années, on a accumulé une énorme quantité de preuves à la fois cliniques et expérimentales qui soutiennent ce principe de base. Pourtant, la FDA (Food and Drug Administration) refuse toujours de reconnaître le danger immédiat et à long-terme que présente pour le public l'ajout autorisé dans les aliments de plusieurs excitotoxines telles que le glutamate de sodium, la protéine végétale hydrolysée et l'aspartame. La quantité de ces neurotoxines ajoutée dans nos aliments a considérablement augmenté depuis leur introduction. Par exemple, depuis 1948, la quantité de glutamate de sodium ajoutée aux aliments a doublé tous les dix ans. En 1972, on en ajoutait 262000 tonnes métriques dans les aliments. On a consommé plus de 800 millions de livres d'aspartame dans divers produits depuis que cet additif a été autorisé. Ironie du sort, ces additifs alimentaires ne servent absolument pas à conserver les aliments ou à protéger leur intégrité ; ils sont tous utilisés pour modifier le goût des aliments. On se sert du glutamate de sodium, de la protéine végétale hydrolysée et des arômes naturels pour relever le goût des aliments, tandis que l'aspartame est un édulcorant artificiel dont la mention n'est pas oblogatoire sur les emballages.

    Ces toxines (excitotoxines) ne sont pas juste présentes dans quelques aliments, mais, plus exactement, dans presque tous les aliments transformés. Dans de nombreux cas, on les y ajoute sous des formes déguisées, telles que les arômes artificiels, les épices, l'extrait de levure, la fibre protéique, l'extrait de protéine de soja, etc. Par expérience, nous savons que lorsque l'on donne à des animaux des quantités d'excitotoxines peu toxiques en doses séparées, on trouve chez ces animaux une toxicité complète, c'est-à-dire que les excitotoxines agissent en synergie. Par ailleurs, les excitotoxines sous forme liquide, comme celles que l'on trouve dans les soupes, les sauces au jus de viande et les boissons non alcoolisées à basses calories, sont plus toxiques que celles que l'on ajoute aux aliments solides ; c'est parce qu'elles sont absorbées plus rapidement et atteignent des taux plus élevés dans le sang.

    On devrait aussi se rendre compte que les conséquences de ces additifs alimentaires appelés excitotoxines ne sont pas en général dramatiques. Certains individus peuvent être particulièrement sensibles et développer de graves symptômes et même mourir brutalement d'une irritabilité cardiaque, mais le plus souvent les effets sont subtils et se développent sur une longue période de temps. Tandis que les additifs alimentaires comme le glutamate de sodium et l'aspartame ne sont probablement pas des causes directes de maladies neurodégénératives comme la démence d'Alzheimer, la maladie de Parkinson ou l'ALS, ils peuvent très bien accélérer ces troubles et certainement aggraver leur pathologie - comme nous le verrons. Peut-être que chez de nombreuses personnes ayant une propension naturelle à développer l'une de ces maladies ces troubles ne se déclareraient jamais s'ils elles ne s'exposaient pas à de fortes quantités d'excitotoxines véhiculées par les aliments. Certaines personnes pourraient juste souffrir d'une forme atténuée de la maladie, si elles ne s'exposaient pas à ces substances. De même, les excitotoxines véhiculées par les aliments peuvent être nocives pour ceux qui souffrent d'attaques, de lésions cérébrales et pour les séropositifs, et on ne devrait certainement pas en utiliser dans une structure hospitalière.

    LA DÉSINFORMATION DE LA FDA (Food and drug Administration)

    En juillet 1995, la Fédération des Sociétés Américaines pour la Biologie Expérimentale (FASEB) a mené une étude décisive pour la FDA sur la question de la sécurité du glutamate de sodium.8 La FDA a écrit un résumé très trompeur du rapport dans lequel elle laissait entendre que, sauf pour les asthmatiques, les chercheurs de la FASEB avaient trouvé que le glutamate de sodium ne présentait aucun risque. Mais, en fait, ce n'est pas du tout ce que disait le rapport. Ce qu'il disait, c'était qu'il n'existait aucune étude montrant un tel lien ; plus précisément, que personne n'avait réalisé d'étude, positive ou négative, pour voir s'il y avait un lien. C'est toute la différence.

    Malheureusement pour le consommateur, les grosses sociétés de l'industrie alimentaire continuent non seulement d'ajouter du glutamate de sodium dans nos aliments mais elles vont en plus très loin pour masquer ces additifs nocifs. Par exemple, elles emploient des termes tels que protéine végétale hydrolysée, protéine végétale, fibre protéique, phytoprotéine hydrolysée, extrait de protéine de soja, caséinate, extrait de levure et arôme naturel. Nous savons par expérience que quand ces excitotoxines chargées de relever le goût s'ajoutent les unes aux autres, elles deviennent bien plus toxiques que prises individuellement. En fait, les excitotoxines à des taux pas encore nocifs peuvent être pleinement toxiques pour certaines cellules bien précises du cerveau lorsqu'elles sont associées. Je vois souvent dans les rayons des supermarchés des aliments transformés, en particulier des aliments surgelés ou des aliments de régime, qui contiennent, deux, trois ou même quatre types d'excitotoxines.


    RECOMMANDATIONS

    Nous savons aussi, comme on l'a déjà affirmé, que les excitotoxines sous forme liquide sont beaucoup plus toxiques que celles sous forme solide parce qu'elles sont absorbées rapidement et atteignent une concentration élevée dans le sang. Ceci signifie que de nombreuses soupes, sauces et jus de viande vendus dans le commerce et contenant du glutamate de sodium sont très dangereux pour l'équilibre du système nerveux, et ceux qui souffrent d'un des troubles mentionnés plus haut ou qui ont un risque important d'en développer un devraient tout particulièrement les éviter. Les gens atteints de cancers ou présentant un risque important de cancer devraient également les éviter, en raison de la génération de radicaux libres associée à la peroxydation des lipides. En cas de sclérose latérale amyotrophique (ALS), nous savons que la consommation de viande rouge, en particulier du glutamate de sodium lui-même, peut élever le glutamate du sang de façon significative jusqu'à des taux bien plus hauts que ceux que l'on voit chez la population ordinaire. On n'a pas réalisé d'études similaires, d'après ce que je sais, sur des patients atteints de la maladie de Parkinson ou de la maladie d'Alzheimer. Mais, en règle générale, je suggèrerais certainement aux personnes atteintes de l'une ou l'autre de ces maladies d'éviter les aliments contenant du glutamate de sodium .

    On doit se rappeler que c'est la molécule de glutamate qui est toxique dans le glutamate de sodium. Le glutamate est un acide aminé naturel qui se trouve en plus ou moins grande quantité dans de nombreux aliments. Ceux qui affirment que le glutamate de sodium ne présente aucun danger se servent de ce fait pour leur défense. Mais le coupable c'est le glutamate libre. Le glutamate lié, que l'on trouve naturellement dans les aliments, est moins dangereux parce qu'il est dégradé lentement et absorbé par l'intestin de façon à être utilisé par les tissus, les muscles en particulier, avant que les taux toxiques ne soient atteints. Par conséquent, une tomate entière est moins dangereuse qu'une purée de tomate. La seule exception à cela, comme on l'a dit, d'après ce que l'on sait pour l'instant, c'est dans le cas de l'ALS. Par ailleurs, la tomate contient plusieurs antioxydants puissants connus pour neutraliser la toxicité du glutamate.

    La protéine végétale hydrolysée est un additif alimentaire courant et elle peut contenir au moins deux excitotoxines : le glutamate et l'acide cystéique. La protéine végétale hydrolysée est fabriquée par un procédé chimique qui décompose délibérément la structure de la protéine du végétal pour libérer le glutamate ainsi que l'aspartate, une autre excitotoxine. Cette substance poudreuse, marron, est utilisée pour relever le goût des aliments, en particulier des plats de viande, des soupes et des sauces. Bien que certains fabricants d'aliments diététiques aient essayé de faire accepter l'idée que ce rehausseur de goût est entièrement naturel et sans danger parce qu'il est fabriqué à partir de plantes, ce n'est pas vrai. C'est la même substance que celle ajoutée aux aliments transformés. L'expérience a montré que l'on peut provoquer les mêmes lésions cérébrales en utilisant la protéine végétale hydrolysée qu'en utilisant le glutamate de sodium ou l'aspartate. On découvre de plus en plus d'excitotoxines, dont plusieurs se rencontrent naturellement. Par exemple, la L-cystéine est une excitotoxine très puissante. On l'ajoute actuellement à certains pains et on la vend dans les magasins diététiques en tant que complément. L'homocystéine, un dérivé métabolique, est aussi une excitotoxine. Fait intéressant, on a récemment montré que des taux élevés d'homocystéine dans le sang étaient un signe majeur, si ce n'est le signe majeur, des maladies cardio-vasculaires et des attaques. Tout aussi intéressante est la découverte selon laquelle des taux élevés d'homocystéine sont aussi en cause dans des troubles du développement neurologique, en particulier dans l'anencéphalie et le dysraphisme spinal (anomalies du tube neural). (On pense qu'il existe un mécanisme d'action protecteur associé à l'utilisation prénatale des vitamines B12, B6 et de folates lorsqu'on les utilise ensemble.) Reste à voir si l'effet toxique relève de l'excitotoxicité ou s'il est dû à quelque autre mécanisme. S'il est lié à l'excitotoxicité, alors les fœtus seraient aussi en danger à cause du glutamate, de l'aspartate (une partie de la molécule d'aspartame) et des autres excitotoxines. Récemment, plusieurs études ont découvert que tous les patients souffrant de la maladie d'Alzheimer qui avaient été examinés présentaient des taux élevés d'homocystéine.

    Une étude intéressante a découvert que les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer présentent aussi une destruction étendue des cellules de leur ganglions rétiniens. Fait intéressant, cela correspond à la zone qui était touchée lorsque Lucas et Newhouse ont découvert l'excitotoxicité du glutamate de sodium. Tandis que cela ne prouve pas que le glutamate alimentaire et autres excitotoxines provoquent ou aggravent la maladie d'Alzheimer, cela constitue une preuve indirecte de taille. Une fois que l'on a analysé toutes les informations connues sur les additifs alimentaires excitants, il est difficile de justifier la décision de la FDA de continuer d'approuver l'usage répandu de ces additifs.


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  • Conclusions de l'étude que tout le monde cache : "La cuisson par micro-onde modifie les substances nutritives de telle sorte que les changements se produisent également dans le sang des participants à l'étude."

    Hans Hertel est diplômé en sciences techniques de l'École polytechnique fédérale de Zurich et est l'auteur d'une thèse soutenue à l'Institut des sciences vétérinaires de Zurich. Retraité, il réside à Wattenwil (canton de Berne) et il poursuit à titre privé des recherches dans un laboratoire qu'il a installé pour son propre compte. Il a été le premier savant à imaginer et à mener à bien une étude qualitative sur les effets que peuvent avoir, sur le sang et la physiologie humaine, les aliments passés par le four à micro-ondes. Cette étude, brève mais bien menée, montrait fermement du doigt le pouvoir de dégénérescence des fours à micro-ondes et de la nourriture y étant préparée. Elle comptait huit participants dont, avec Hans Ulrich Hertel, Bernard H.Blanc professeur à l'université de Lausanne et conseiller technique à l'École polytechnique fédérale de Lausanne, et l'institut universitaire de biochimie. La conclusion était claire :
    " La cuisson par micro-onde modifie les substances nutritives de telle sorte que les changements se produisent également dans le sang des participants à l'étude."

    Des modifications révélatrices ont été découvertes dans le sang de volontaires ayant consommé des aliments cuits au micro-ondes, dont une diminution de tous les taux et proportions d'hémoglobine et de cholestérol, spécialement le HDL (le bon cholestérol) et le LDL (le mauvais cholestérol). Le taux de lymphocytes (globules blancs) montrait une diminution à court terme plus évidente qu'après la consommation d'aliments cuits ou réchauffés d'une autre manière.
    On pouvait de plus noter sur ces sujets une association très significative entre les quantités d'énergie par micro-ondes dans les aliments testés et la puissance lumineuse de bactéries luminescentes exposées au sérum des personnes ayant mangé cette nourriture. Les résultats montrent à l'évidence que les aliments irradiés irradient à leur tour et que cette influence prolongée sur le sang doit être prise au sérieux car il s'agit alors d'une irradiation directe dont on ne connaît que trop les conséquences.

    Le rapport de recherche datant du mois de juin 1991, et intitulé Vergleichende Untersuchungen über die Beeinflussung des Menschen durch konventionell und im Mikrowellenofen aufbereitete Nahrung (" Etude comparative de l'influence pour l'homme d'aliments préparés de manière conventionnelle et au four à micro-ondes "), conclut comme suit :

    "Les conséquences mesurables chez l'homme induites par des aliments traités aux micro-ondes présentent, au contraire de ceux qui n'ont pas subi ce traitement, des modifications du sang qui semblent indiquer le stade initial d'un processus pathologique tel qu'il se présente lors du déclenchement d'un état cancéreux."
    Le trimestriel Journal Franz Weber consacra une partie de son dix-neuvième numéro (janvier, février et mars 1992) aux effets de l'utilisation des fours à micro-ondes sur la santé humaine.
    Il déclara dans son éditorial qu'il fut le premier au monde à mettre le doigt sur les dangers des fours à micro-ondes, et qui a maintenu ses accusations malgré les attaques massives de la part des promoteurs.
    "Aujourd'hui, la science nous donne raison. Les fours à micro-ondes devraient être interdits. Nous ne serions pas étonnés si les chercheurs qui ont eu le courage de défendre les résultats de leurs recherches étaient attaqués à leur tour, vu que des millions, voire des milliards sont en jeu. Mais la vérité est à la longue plus durable qu'une affaire de milliards réalisée aux dépens de notre santé. "


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  • Si l'on en croit les statistiques de l'OMS, le FLUOR, contrairement aux idées reçues ne serait pas utile pour prévenir les caries dentaires, pire encore, il serait dangereux pour la santé. Malgré tout, on notera que les dentifrices au fluor sont moins dangereux qu'on le croit, car le Fluor est très volatile et après quelques minutes d'ouverture de tube, il n'y a plus du tout de fluor dans la pâte dentifrice.

    Alors pourquoi le Fluor est-il dangereux pour la santé ?
    Il faut savoir que toutes les intoxications par le fluor génèrent des troubles psychiques graves pouvant conduire à la perte de la volonté, voire de la folie, surtout lorsque cette intoxication se produit pendant la phase de croissance. Ce n'est pas pour rien que l'eau de boisson ne doit absolument pas dépasser un seuil critique de fluor pour être potable.

    D'autre part, rappelons que "le fluor désorganise la structure minérale des dents et de l'ossature, favorisant des microfractures au niveau du squelette"... Il agit lentement et en profondeur et favorise ainsi les scolioses, les cyphoses, l'hyperlaxité ligamentaire et la dégénérescence accélérée de l'organisme (Source : "des clefs pour vivre" du Dr Sony).

    Sur le site internet de Project Censored, nous trouvons encore des infos passionnantes sur ce thème, notamment que des documents gouvernementaux, longtemps restés secrets jettent un rayon de lumière sur le débat concernant la fluoration de l'eau potable et ajoutent aujourd'hui un grand nombre de preuves scientifiques concernant les effets du fluor sur la santé. Ainsi, dans les années 1940 les scientifiques du Manhattan Project considérait qu'à faible dose le fluor ne comportait aucun risque pour l'organisme. On sait aujourd'hui que les chercheurs avaient reçu l'ordre de cacher les preuves des dangers du fluor et ses taux de toxicité pour éviter d'être poursuivi en justice par les victimes.

    A l'automne 99, le Earth Island Journal publiait une info selon laquelle le chirurgien dentiste Hardy Limeback, Pdt de l'association des dentistes canadiens annonçait qu'il n'était plus en faveur de la fluoration de l'eau potable et que l'absorption de fluor présentait très peu d'intérêt pour les dents, à supposer même qu'elle en présentât un et qu'aujourd'hui les risques l'emportent sur les bénéfices, puisque le fluor a un effet néfaste sur les dents et les os.

    Au fait le Téflon ou Tefal qui recouvre le fond de votre poêle à frire est du PTFE, c'est à dire du Polytétrafluoréthylène, c'est à dire une "résine fluorée" ou du fluor mélangé à du plastique -

    Selon Nina Silver  c'est  de manière non désirée que le fluor a été introduit sur le marché et vanté comme agent de prévention des caries dentaires. Malgré tout il faut savoir que le fluor servait d'élément important à la fabrication des bombes A pendant la guerre, et que d'autre part, le fluor est un sous produit des industries de l'aluminium et des pesticides. Les fermes qui se trouvaient à proximité des usines fabriquant le fluor avaient des récoltes brûlées et flétries, et des animaux toujours malades. Les ouvriers eux-mêmes travaillant à l'usine avaient de dangereuses concentrations de fluor dans le sang.

    En outre, les tests effectués par le gouvernement US ont démontré que le fluor était très toxique et provoquait, entre autre, des lésions du système nerveux central, des malformations de naissance et contrairement à ce qui est toujours affirmé, tache et détruit les dents au lieu de la préserver. D'ailleurs, la loi américaine précise que tout dentifrice contenant du fluor doit mettre en garde le consommateur qui, s'il avale accidentellement plus de dentifrice qu'il n'en faut pour le brossage des dents doit "immédiatement consulter un médecin ou contacter un centre anti-poison".

    Dans "Union News" tirage à part du Washington Post du 25/07/97, l'article "votre dentifrice est-il sûr" cite cette phrase de Regine Miskewitz, directrice de la recherche des cosmétiques et soins de bouche chez ARM et AMMER "quand je reçois du fluor, ici, il porte la tête de mort et les tibias croisés"

    Un autre témoignage enfin, celui de John Yiamouyiannis. "le fluor : facteur de vieillissement" (Fluoride : the Aging Factor, (1986) dans cet ouvrage qui eut un gros succès, l'auteur, biochimiste, décrit les effets nocifs et dévastateurs du fluor dans le monde entier, ceux d'un dangereux poison. Dans son livre, il cite de nombreux cas d'enfants présentant de graves symptômes ou ayant même trouvé la mort après ingestion de fluor sur le fauteuil du dentiste. Il cite les recherches menées dans divers pays (URSS, Japon, Afrique du Sud, USA,...) par un grand nombre de chercheurs qui tous ont mentionné les défectuosités génétiques et les maladies imputables au fluor. Et le fluor n'est pas seulement présent dans le dentifrice, mais aussi dans l'eau de boisson. Dans toutes les villes des USA, l'augmentation de la teneur de l'eau potable en fluor a correspondu à une augmentation de la mortalité par cancer du foie, cancer des os, et tumeurs des cellules squameuses de la bouche ainsi que d’autres méfaits tels : convulsions, os douloureux, éruptions cutanées, problèmes gastro-intestinaux, nausées et vomissements.


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  • L'eau du robinet contient deux fois moins d'hormones que celle commercialisée en bouteilles en plastique. Crédits photo : Le Figaro

    Le plastique des bouteilles libère des perturbateurs endocriniens dans l'eau minérale. Ils pourraient avoir des effets sur la santé, y compris à faibles doses.

    L'eau minérale des bouteilles en plastique contient deux fois plus d'hormones (féminines ou masculines) que celle stockée dans des bouteilles en verre ou l'eau du robinet. Autrement dit, le plastique libère dans l'eau ce que l'on appelle des perturbateurs endocriniens. Leurs effets à très faible dose sont encore très mal connus, mais ils sont soupçonnés de modifier chez l'homme le développement et les fonctions sexuelles et reproduc­trices. L'étude conduite par deux chercheurs allemands est publiée dans la revue Environmental Science and Pollution Research.

    Martin Wagner et Jörg Oehlman, de l'université Goethe, basée à Francfort, ont sélectionné vingt emballages en plastique d'eaux minérales vendues en Allemagne. Ils ont tous en commun de contenir du polyéthylène téréphthalate (PET). Ce plastique est présent également dans les bouteilles en plastique de boissons gazeuses, d'huile de cuisine et il tapisse aussi l'aluminium recouvrant l'intérieur des briques de boissons de plusieurs marques. Le PET assure à la fois «la transpa­rence du plastique, sa résistance aux chocs, son faible poids et son imperméabilité à l'eau, aux gaz et aux arômes».

    «Le travail des deux toxico­logues allemands est sérieux et intéressant», souligne d'emblée René Habert, professeur à l'université Paris-VII, qui dirige l'unité gamétogenèse et génotoxicité (CEA-CNRS). Pour mettre en évidence l'activité hormonale du plastique, Martin Wagner et Jörg Oehlman ont utilisé des levures génétiquement modifiées et des petits escargots d'eau douce, deux modèles de laboratoire classiques pour ce type d'étude. Les levures réalisées à partir d'OGM ont la particularité de changer de couleur en présence d'infimes quantités d'hormones. Chez les petits mollusques, c'est leur reproduction et leur multiplication qui peuvent varier considérablement en fonction des hormones présentes dans l'eau.

    Le comportement des levures et des mollusques après un long séjour de près de deux mois dans l'eau n'est pas le même dans les vingt bouteilles en plastique de différents types et les bouteilles témoin en verre. Pas du tout, même. Dans douze d'entre elles, les chercheurs ont noté dans l'eau des bouteilles en plastique une activité hormonale deux fois plus élevée sur les levures. Les mollusques, qui se reproduisent par parthénogenèse (sans mâle), ont eu deux fois plus de petits escargots dans les bouteilles en plastiques à cause des hormones féminines. Ils ont noté aussi deux choses intéressantes : l'eau ayant séjourné dans les briques est plus polluée par ces perturbateurs. En revanche, l'eau des bouteilles en plastique réutilisables - conçues pour être plongées dans l'eau bouillante pour être désinfectées, pratique courante en Allemagne - est moins polluée que les autres dès la deuxième utilisation.


    Secret industriel

    Sans surprise, l'étude a déclenché une levée de boucliers des industriels des plastiques alimentaires. Le BFR, l'organisme allemand chargé de l'évaluation du risque, a publié un communiqué pour préciser que les résultats de cette étude ne permettent pas de conclure à un risque pour la santé. Ce n'était d'ailleurs pas le but des deux chercheurs allemands : ils voulaient seulement mettre en évidence la présence d'hormones dans les bouteilles en plastique. L'origine des perturbateurs endocriniens reste pour eux inexpliquée. Provienent-ils du PET, d'un cocktail de plusieurs molécules du plastique ou de l'antimoine, un minéral utilisé dans la catalyse de plastiques et connu pour être un perturbateur endocrinien ?

    «Il y a un défaut d'informations sur les emballages alimentaires. On n'arrive pas à connaître leur composition», relève René Habert qui a récemment montré l'effet toxique d'un phtalate contenu dans le plastique sur des cultures de cellules de testicules. Secret industriel oblige, les toxicologues ont toutes les peines du monde à obtenir la composition précise des produits, comme le déplore aussi Gilles Husson, président de l'Association scientifique européenne pour l'eau et la santé.

    Aujourd'hui, le marché de l'eau minérale est aussi contesté pour des raisons environnementales. Il faut sept litres d'eau pour fabriquer une bouteille en plastique et leur commercialisation nécessite des kilomètres de déplacement alors qu'une eau de qualité coule de nos robinets.


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