• Rentrées de satellites et de météorites


    Presque tous les satellites artificiels retombent sur terre en s'enflammant par frottement dans les couches atmosphériques.

    Ces phénomènes lumineux spectaculaires se présentent généralement de la manière suivante :

    - La vitesse est relativement lente, de l'ordre de 0,5 O 1s. La trajectoire traverse le ciel et l'observation dure de 1 à 2 minutes.

    - La trajectoire ne va jamais d'Est en Ouest. Toutes les autres directions sont possibles.

    - L'éclat commence par croître. Arrivé à un maximum, une fragmentation peut intervenir. La combustion s'achève presque toujours avant d'atteindre le sol. Les traces qui arrivent sur terre sont, sauf exception, trop tenues pour être retrouvées.

    - II peut y avoir plusieurs couleurs successives OU simultanées. SIX phases de la rentrée ~'APOI1I1O
    II est relativement facile de distinguer les rentrées de en juillet 1969 satellites de celles de météores. .En effet, les. météorites détection des météores a l'aide sont en général beaucoup plus rapides, de durée d'un appareil a occultations (10 coups a la seconde). Dominion Observatory. d'observation très brève, et l'orientation de la trajectoire, est quelconque. Certains essaims de météorites apparaissent régulièrement (au mois d'août par exemple). Certains satellites artificiels (les plus bas) peuvent aussi être observés à l'œil nu lorsqu'ils sont en orbite. Ils réfléchissent simplement la lumière du soleil. Les caractéristiques de trajectoires sont analogues a celles citées plus haut mais l'observation s'interrompt

    Les Astres

    II arrive souvent que les astres ne soient pas reconnus comme tels par les personnes qui regardent le ciel la nuit et, assez curieusement, ce type de confusion n'épargne aucune catégorie socio-professionnelle. Peut-être faut-il regretter que l'astronomie soit pratiquement inexistante dans le panorama général de l'enseignement des lycées, car quelques idées simples permettraient sans doute d'éviter ces confusions.

    Les étoiles

    Les étoiles sont fixes par rapport a la terre. Leur mouvement apparent résulte de la rotation de la terre sur elle-même. En un lieu donné sur terre, ce sont toujours les mêmes étoiles qui passent dans le ciel, mais pas toujours à la même heure. La plupart des étoiles du ciel nocturne d'hiver, passent l'eté pendant la journée et sont donc invisibles. De la même manière, presque toutes les étoiles visibles l'eté sont invisibles l'hiver car elles sont dans le ciel diurne.

    L'étoile polaire est la seule étoile qui reste fixe dans le ciel de l'hémisphère Nord. Elle est toujours visible la nuit et indique le Nord. Elle est facile a reconnaître, dans le prolongement de deux étoiles de la Grande Ourse.
    Vers le Sud, les étoiles font un mouvement apparent d'Est en Ouest; elles montent dans le ciel à l'Est puis descendent à l'Ouest. Elles se déplacent a une vitesse de 15 O /heure.

    Les planètes

    Toutes les planètes visibles, la lune et le soleil se déplacent sur la même trajectoire apparente dans le ciel. Cette trajectoire dessine un arc de cercle d'Est en Ouest, incliné vers le Sud. Cette inclinaison varie. En été, cette trajectoire passe plus haut dans le ciel diurne et s'incline davantage vers le Sud, la nuit. En hiver, c'est le contraire. II n'y a que quatre planètes visibles à l'oeil nu (VENUS,MARS, JUPITER, SATURNE) et leur position relative varie beaucoup, contrairement aux étoiles qui ont toujours la même position relative.

    L'une de ces planètes (VENUS) n'est jamais a plus de 45O du Soleil (c'est une planète "intérieure", c'est-a-dire plus proche du Soleil que la Terre). Elle le suit au crépuscule (c'est alors le premier astre visible) ou le précède a l'aube (dernier astre visible).

    La lune

    Le Soleil éclaire la moitié de la Lune qui lui fait face et nous voyons une fraction de l'hémisphère ainsi éclairé, l'autre hémisphère restant dans l'ombre. Suivant le cas, nous voyons tout l'hémisphère éclaire (pleine lune) une partie (croissant) ou pas du tout.

    La pleine lune intervient lorsque la lune présente le même hémisphère a la Terre et au Soleil (alignement).
    Dans ce cas, la pleine lune se lève a l'Est, au crépuscule, quand le Soleil se couche à l'Ouest. A ce moment-là, le disque lunaire paraît plus gros que d'habitude et d'une couleur orange ou cuivre (des phénomènes optiques analogues accompagnent le lever du Soleil) : c'est ce que l'on appelle la "lune rousse". Lorsqu'on ne voit qu'une fraction de lune, les pointes du croissant sont dirigées vers le haut si c'est la nuit, ,vers le bas si c'est le jour.

    Halo lunaire sur fond de cirrus

    Les confusions les plus fréquentes proviennent d'une mésestimation de la distance. En particulier, lorsque
    l'observation est en déplacement (en voiture par exemple), la "lune rousse" ou VENUS, basse sur l'horizon, peut donner l'illusion de "suivre" la personne en question et de régler sa vitesse sur la sienne (accélérant, ralentissant et s'arrêtant en même temps qu'elle). Des sentiments de panique peuvent s'ensuivre, qui ne font qu'aggraver la confusion.


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  • De nos jours les observations de véritables ovnis sont rares. La plupart du temps, il ne s'agit que de simples météores. Cela ne signifie pas qu'ils n'existent pas ou que les gens ont hallucinés lors des grandes vagues d'observation précédentes. Non cela est lié à de nombreux paramètres que vous découvrirez progressivement sur le site. Cependant à tout moment un survol massif d'ovnis peut se déclencher n'importe où et il faudra être préparé à cela. Voici donc des informations importantes.

    D'innombrables scientifiques, pilotes civils et militaires tout comme bon nombre de gens comme vous et moi ont été un jour confrontés à un phénomène aérien non identifié. L'objectif de cette notice est de vous apporter conseils sur la meilleure méthode à adopter à la vue d'une observation d'un phénomène de cette nature afin que nous puissions procéder à un prélèvement d'informations pouvant éventuellement conduire à une identification de celui-ci ou contribuer à la découverte d'un phénomène non encore répertorié sur le plan scientifique. Un grand nombre de témoignages d’OVNIs ne sont d’aucune utilité aux enquèteurs et ne peuvent donner lieu à aucune explication scientifique du fait de leur manque de précision. Afin d’éviter les cas insolubles car inexploitable faute de données il est utile de suivre certaines règles.

    Pendant l'observation

    Si vous êtes témoin d'une observation d'ovni:

    1. Prévenez d'autres témoins potentiels (personnes environnantes ou susceptibles de se rendre rapidement sur le lieu d'observation). Appelez des amis ou des gens suffisamment proches de votre lieu d'observation au moment de celle-ci afin que nous puissions procéder ultérieurement à un recoupement d'informations sur base de leur témoignage distinct.

    2. Utilisez tous appareils photos, camescopes ou encore jumelles dont vous seriez en possession au moment de l'observation. Filmez ou photographiez en usant de toutes les possibilités que permet votre matériel, mais sans utiliser le flash (création d'un mur blanc) ni l'autofocus (déformation du sujet filmé). Préférez la mise au point manuelle dans le meilleur des cas. Ne faites pas développer le film dans l'immédiat car il faut affiner le développement par rapport aux conditions atmosphériques. Il faut également envisager l'obtention de copies pour plus de confort ainsi que pour éviter toutes pertes malencontreuses. Efforcez vous aussi autant que possible d'inclure dans le champ de prise de vue des points de références (éléments du paysage, bâtiments, antennes...).

    3. A un moment ou un autre, vérifiez que votre observation se perpétue sans aucun intermédiaire optique : enlevez un moment vos lunettes, ouvrez un moment la fenêtre, baissez un moment la vitre de votre voiture, etc. Cela excluera l'hypothèse de reflets.

    4.Attendez jusqu'au moment de disparition du phénomène. La durée du phénomène comme son mode de disparition peuvent être caractéristiques.

    5. Effectuez un repérage du phénomène observé par rapport à l'environnement. Grâce au théorème de Pythagore et d’autres types de formules, nous pourrons par le calcul apprécier sa distance, sa vitesse, son altitude, etc. Afin que nous puissions estimer la taille apparente du phénomène, allongez votre pouce en tenant le bras tendu et noter les comparaisons de tailles observées (par rapport à votre pouce, à votre main, à votre poing, etc.).

    Estimation de distances et de dimensions

    Les appréciations correctes des dimensions d'un phénomène inconnu et de la distance a laquelle il se trouve,
    sont probablement ce qui pose le plus de problèmes aux observateurs puis aux enquêteurs.

    Distance



    Le seul moyen de bien évaluer la distance d'un phenomène consiste a s'aider de repères fixes dans
    l'environnement, si on a la chance que le phénomène passe devant un de ces repères. En mesurant après coup
    la distance de ces repères. on peut avoir une approximation correcte de la distance du phénomène. Si celui-ci n'est passé devant aucun repère fixe, l'appréciation de sa distance devient tres subjective et au-delà de quelques dizaines de mètres a peu de chance d'être correcte (bien entendu, pour un objet connu du témoin, tel qu'avions, hélicoptère, etc., l'appréciation de la distance se fait par rapport a la taille réelle de I'obiet que le témoin connaît approximativement).

    Dimensions



    Pour les dimensions d'un phénomène inconnu, le meilleur moyen d'évaluation consiste a comparer sa taille a celle d'un objet connu (le pouce, le poing) place a une distance connue (à bout de bras). Si un phénomène est juste recouvert par le pouce, bras tendu,.il a la même taille apparente (2 O). La pleine lune a une taille apparente d'un demi-degré et est recouverte par le bout du petit doigt, bras tendu.



    Si l'on connaît la taille apparente d'un objet et, si par ailleurs on a pu apprécier correctement la distance
    à laquelle il se trouvait, on peut en déduire ses dimensions réelles. Par exemple, un objet d'une taille apparente de 2 O, situe a un kilomètre du témoin, avait une taille réelle d'environ 35 mètres. Faute de mieux, on peut toujours apprécier les dimensions par comparaison a la taille d'un objet connu vu a une distance fictive, à condition de l'indiquer clairement (par exemple : "C'était gros comme une voiture a 100 mètres".

    Après l'observation

    D'une manière générale, ne vous efforcez pas de vous souvenir mais notez le plus rapidement et spontanément possible tous les détails qui vous viennent en mémoire, y compris les plus insignifiants.



    * Dessinez le phénomène observé avec ses couleurs. En cas de plusieurs témoins, faites-le isolément chacun de votre côté afin de ne pas vous influencer mutuellement.

    * Notez les lieu précis, la date, l'heure, la durée, les positions de début et fin d'observation, le mouvement, les tailles apparentes.

    * Notez la météo : y avait-il de la brume, du brouillard, un temps orageux ? Où étaient le Soleil ? La Lune ?

    * S'il y a lieu, notez la description et la disposition des feux/lumières ainsi que leur couleur.

    * Notez l'ensemble des phénomènes indirects qui peuvent accompagner le phénomène principal : perturbations éventuelles (magnétiques, éclairages, etc.) sur l'environnement ou de témoin(s).

    * Ne faites pas développer une pellicule photographique tout de suite car le développement peut être affiné par rapport aux conditions atmosphériques. Dans le cas d'un développement, faites également des copies pour plus de confort et éviter toutes perte.

    * Si d'autres témoins ont assisté à l'observation, échangez avec elles vos noms et numéros de téléphone.

    Important : Ne vous efforcez pas à vous souvenir mais engagez-vous à notez le plus rapidement possible tous les détails qui vous viennent en mémoire.

    En cas de traces physiques

    1. Évitez de vous approcher de la zone afin de laisser en état ces traces qui pourront le cas échéant faire l'objet de prélèvements et mesures scientifiques.

    2. Évitez d'en parler autour de vous avant l'enquête, afin de préserver la zone circonscrite. Prévenez un enquêteur privé afin de savoir s'il peut intervenir suivant des procédures scientifiques.

    En cas d'observation rapprochée, soyez très vigilant car le fait que la nature du phénomène soit non identifié peut aussi s'avérer être un facteur de risque. Dans le cas où des traces physiques résultant de ce phénomène viendraient à être constatées, évitez de vous approcher de la zone afin de laisser en état ces traces qui pourront le cas échéant faire l'objet de prélèvements et mesures scientifiques.

    Toujours dans le cas de traces physiques, évitez d'en faire mention autour de vous afin de préserver la zone circonscrite. Prévenez un enquêteur privé afin de savoir s'il peut intervenir suivant des procédures scientifiques.

    La transmission de votre témoignage

    Rappelez-vous que, plus vous tarderez à signaler une observation, plus il sera difficile d'enquêter dessus.

    Vous avez été témoin d’un OVNI ? Ne restez pas dans l’ombre et partagez votre témoignage avec le plus grand nombre, c’est le seul moyen de bien diffuser les informations et d’aider les enquêteurs (professionnels ou amateurs) à trouver des explications. Si vous le souhaitez, vous pouvez faire une déposition à la gendarmerie. Votre témoignage sera alors transmis au GEIPAN (Groupe d’Etudes et d’Informations sur les Phénomènes Aérospatiaux Non Identifiés). C’est la voie “officielle”, qui vous garantit une prise en compte dans les statistiques nationales.

    Vous pouvez préalablement demander l'avis de spécialistes. Il ne faut pas envoyer un témoignage précipitamment au GEIPAN. Vous devez avant toute chose demander l'avis de spécialistes sur un site sérieux afin d'éviter toute forme de méprise (satellite, rentrée atmosphérique, ballon sonde, avions...). En effet mieux vaut éviter de déranger les responsables pour de "fausses alertes". Par conséquent il faut envoyer son rapport d'observation qu'en cas d'observation non conventionnelle avérée. Ceci est une mesure de précaution et nous vous dirons si cela en vaut la peine ou non.

    Notez que :

    * Toute bonne enquête examine avant tout les explications les plus communes (astronomiques, optiques)

    * La gendarmerie, les organisations civiles comme les associations ont pour consigne ou habitude de respecter l'anonymat des témoins qui le demandent

    * Jamais vous ne devrez payer quoi que ce soit. Fuyez donc toute personne vous demandant de l'argent dans ce contexte.

    * Faites également attention aux sectes qui récupèrent parfois ce type de sujet à des fins personnelles.

    Envoyer votre témoignage au Geipan

    La France est la première (et sans doute la seule) nation à s’être doté d’un organisme officiel civil, public et indépendant, d’études des Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés (PAN). Depuis 1977, le GEPAN, puis le SEPRA et maintenant le GEIPAN a rassemblé, analysé et archivé des milliers de témoignages représentant plus de 1600 cas d’observations, dont près de la moitié ont été élucidés.

    Les analyses sont menées grâce à une méthodologie scientifique rigoureuse mise au point dès 1980 et affinée au fil des années. La continuité des activités et la rigueur scientifique ont permis une reconnaissance mondiale de la qualité des travaux réalisés par le CNES depuis 30 ans.

    Il n’y a pas de typologie particulière pour les témoins de PAN, qui représentent toutes les catégories socioculturelles ou socioprofessionnelles. Cependant, certaines catégories de témoins potentiels sont, par profession ou par du fait de leur passe temps favoris, des observateurs privilégiés du ciel. C’est le cas des pilotes et contrôleurs aériens civils ou militaires, mais également des astronomes et plus particulièrement des astronomes amateurs.

    Le présent document, ainsi que le formulaire de compte rendu qui l’accompagne, constitue un appel aux astronomes amateurs à collaborer avec le GEIPAN dans la collecte des témoignages.

    Pour avancer dans la connaissance de ces phénomènes, il faut rassembler le maximum d'informations objectives sur les observations. Les astronomes amateurs, comme témoins privilégiés du ciel et de ses manifestations, ne doivent pas hésiter à témoigner de toute observation de PAN. Le compte rendu doit être complété le plus soigneusement possible, avec si nécessaire un complément sur document annexe. Il est également important de préserver les enregistrements (photos, vidéos …) ayant pu accompagner l’observation. Le témoignage complet doit être transmis le plus rapidement possible au GEIPAN afin que l’enquête puisse démarrer sans délai, certaines données, comme les informations radar, n’étant disponibles que peu de temps avant d’être effacées.

    Les témoignages recueillis seront analysés à l’aide d’experts pluridisciplinaires afin de tenter d’expliquer les phénomènes observés. Si nécessaire des auditions, voire des reconstitutions sur le terrain seront organisées par le GEIPAN. Les résultats des enquêtes menées par le GEIPAN sont rendus publics à travers le portail d'information du GEIPAN. Les témoins sont également personnellement informés du résultat de l’enquête et leur anonymat est strictement préservé.

    Tout renseignement peut être obtenu auprès du:


    CNES / GEIPAN
    18 Avenue Edouard Belin
    BPi 2911
    31401 TOULOUSE Cedex 9
    Tel : 05 61 28 3392 Fax : 05 61 28 31 82

    Courriel : geipan@cnes.fr
    Site : www.cnes.fr rubrique programmes / programmes transverses


    2 commentaires

  • Des statistiques officielles qui donnent des indications importantes mais qui ne représentent que la partie visible de l'iceberg. N'oubliez pas que de nombreux témoins ne témoignent pas par peur du ridicule.

    Nous disposons de statistiques provenant d'organismes différents. Ce qu'il faut savoir c'est que les statistiques du Geipan sont basées sur les observations signalées en France et non dans le monde. Si les témoins ne signalent pas leur observation en gendarmerie elle ne sera pas comptabilisée dans les statistiques.

    Chiffres et Dates

    Quelques chiffres peuvent démontrer l'importance du phénomène ovni dans le monde.

    Selon l'ONU depuis 1947:


          150 millions de témoins d'apparitions d'ovnis ont été recensés dans le monde

          120000 témoignages ont été étudiés
      
          20000 relatent des atterrissages d'ovnis
      
          3500 photos d'ovnis sont répertoriées
      
          4000 traces au sol d'activités OVNIs ont été répertoriées. La majorité d'entre elles étant associées à des effets sur la végétation


    Depuis 1947, plus de 3500 pilotes civiles et militaires ont bravé la peur du ridicule et mis leurs carrières en péril en rapportant leurs observations d'OVNIs publiquement.

    Sachant que seuls 10 % des témoins tout-venant contactent les autorités, on peut raisonnablement supposer que ce pourcentage est encore inférieur s'agissant des pilotes.

    Documents officiels :

    Depuis le 4 juillet 1974, la FOIA (Freedom Of Information Act) a permis la déclassification de plus de 30000 documents gouvernementaux US se rapportant aux OVNIs. Il s'est avéré que certains documents (émanant du FBI, CIA, NSA, OSI, DoD, USAF) étaient classifiés« TOP SECRET ».


                 astronomes chercheurs pilotes militaires ingénieurs ouvriers agriculteurs
    Témoins       5%           5%          10%     19%        20%          15%        15% 

       
    En france depuis 1947:

          4 millions de témoins d'apparitions d'ovnis

    En france depuis 1954:

        1000 dépositions en gendarmerie d'atterissages d'ovnis


    Quelques observations d'ovnis

    18 juillet 1952 puy de dome (lac de chauvet) :photos prisent d'un engin discoïdale et silencieux (après expertises les photos se sont avérées vrai )

    19 et 26 juillet 1952 Washington : détection radar et visuel de plusieurs témoins d'une vague d'ovnis (intervention d'avions de chasse sans résultat,affaire déclarée non identifiée)

    17 octobre 1952 Oloron -saintes-marie :observation d'objets volants en formes de cigares et de boules lumineuses (traînées d'objets explosent au sol ,se désagrègent en quelques heures )

    13 au 14 août 1956 lakenheath :détection radar au sol et aérien d'objets volants non identifiés (tentative d'interception de la chasse anglaise sans résultat objets trop rapide).

    4 novembre 1957 fort Itaipu :un disque lumineux s'approche à très grande vitesse de deux hommes et repart dans un vrombissement vers le ciel(les hommes seront brûlés au deuxième degrés)

    16 janvier1958 îles de la trinité :A bord d'un navire ,plusieurs personnes aperçoivent un disque volant entouré d'un anneau s'approcher de l'île puis disparaître (des photos ont été prisent ,elles font parties des meilleurs clichés d'ovni jamais photographiés).

    3 juillet 1965 île de la déception :Enorme disque observé dans le ciel par plusieurs techniciens de bases militaires tantôt stable tantôt filant à une vitesse impressionnante (photos prisent ,l'objet perturbe les appareils de mesures)

    19 septembre 1976 Téhéran :Poursuite par 2 chasseurs d'un objet en forme de grosse étoile lumineuse,acquisition de l'objectif par un des chasseurs (un disfonctionnement des systèmes d'armes et de communication met fin à cette poursuite).

    30 décembre 1978 kaikoura :objet lumineux aperçue par 2 pilotes et plusieurs journalistes ainsi qu'au radar (phénomène filmé à plusieurs reprises puis disparaît)

    8 janvier 1981 Trans en Provence :objet discoïdal se pose à quelques mètres d'un témoin puis redécolle aussitôt à une vitesse impressionnante (marque circulaire striée sur le sol ,perturbation biochimique de la végétation,cas non résolue)

    17 novembre 1986 fort Yukon :Avion cargo japonais suivie par des objets de lumières vertes et intenses ,un des ovni est immense (confirmation radar)


    Quelques dates de rencontres insolites


    28 octobre 1954 isla de lobos : un disque volant est posé sur la plate -forme d'un phare ,3 êtres sont à ces cotes ,une sentinelle voulant faire feu se retrouva paralysé puis l'ovni repartie(la sentinelle ressentie comme une prémonition qu'il était inutile de faire feu)

    27 novembre 1954 Caracas :un ovni barre la route à deux camionneurs ,des êtres en descendent ,un des camionneurs tente d'en capturer un ,il fut immédiatement aveuglé incapable de continuer son action.l'ovni décolle et disparaît.

    26 septembre 1954 Chabeuil,drome :tous les chiens aboie,une personne sort de chez elle,voit un être étrange s'approcher d'elle .Terrorisée elle est incapable de réagir ,un disque s'élève du sol et disparaît.(des traces au sol ont été retrouvé,prouvant la présence probable d'un objet,ainsi que des buissons carbonisés)

    2 novembre 1957 levelland :une lumière rouge intense émet des grondements ,tous les moteurs des véhicules environnent tombent en panne .

    24 avril 1964 sorocco :un agent de police observe un engin en forme d'œuf au sol,deux enfants en combinaison blanche sont à ces coté.l'engin décolle à la verticale dans un fort bruit puis disparaît(des buissons carbonisés ainsi que des traces rectangulaires sur le sol ont été retrouvées une enquête importante fut menée,sans résultat)

    20 mai 1967 Falcon lake :un disque de 10 mètres de diamètre se pose à coté du témoin dans un grondement sourd.Celui ci essaye de toucher l'engin ,un souffle chaud brûle tous ses vêtements(le témoin fut retrouvé brûlé par des radiations d'origine inconnu puis hospitalisé)

    20 avril 1974 Charleroi :des témoins signalent une lumière ,ou un disque volant accompagné d'un son modulé parfois insoutenable (quelques troubles ont été signalés, malaise ,maux de tête ...la végétation fut touchée)

    31 juillet 1975 loxton :présence d'un engin accompagné d'un bourdonnement au sol occupé par 4 êtres ,le témoin s'approche ,une lumière intense le désoriente,l'ovni décolle et disparaît(des traces de l'engin furent retrouvés au sol ainsi qu'une poudre grise inconnu)


    Quelques observations d'ovnis dans l'année 2000

    1 er janvier 2000 pékin :disque argenté survole la muraille de chine(ovni filmé par une des cameras de la chaîne CNN et diffusé en direct aucun commentaire de la chaîne)

    5 janvier 2000 Illinois :observation d'un très grand objet en forme de pointe de flèche par de nombreux témoins ( 4 gendarmes sur place confirment l'observation )

    18 janvier 2000 Taipei(Taiwan):dix objets non identifiés aperçus traversant le détroit de Taiwan en provenance du continent chinois altitude entre 14000 et 25000 mètres(confirmé par le ministère de la défense taiwanais)

    18 janvier 2000 Acapulco:observation d'un ovni ovale argenté au dessus de la ville ,observation faite par de nombreux habitants (durée de l'observation 7 minutes)

    3 février 2000 Bali:sphère en rotation au dessus de la ville pourvue d'un rayon jaune doré (observation d'un homme d'affaire allemand)

    12 février 2000 Sicile: 12 personnes observent 2 disques lumineux volants à très grande vitesse (observation faite pendant plusieurs minutes)

    13 février 2000 st andre de cubzac : observation d'un objet en forme d'assiette renversée se déplaçant silencieusement (objet lumineux )

    14 février 2000 Mexico city: ovni en forme de disque avec lumières flashantes au dessus d'un terrain de football en pleine nuit ( observation faite par une patrouille de gendarme )

    12 mars 2000: boule de lumière rose observé a travers un hublot d'avion par une hôtesse ,celui ci suivait l'avion ,puis en fit le tour pour ensuite disparaître(aucun commentaire de l'équipage)

    14 mars 2000 Dublin :ovni cylindrique de couleur verte de 12 mètres volant a 80 km/h est observé puis disparaît à grande vitesse (aucun son)

    25 mars 2000 porto rico:deux ovnis observés par de nombreux témoins très haut dans le ciel (les 2 objets se déplaçaient dans des directions opposées)

    4 avril 2000 Bornéo:plusieurs témoins observent un ovni triangulaire

    8 avril 2000 new Delhi:ovni lumineux jaune orange survole l'aéroport international,puis l'aéroport régional ( déplacement bancal et désordonné)

    15 avril 2000 long Island:trois objets en forme de disque vus par des pêcheurs ,6 mètres au dessus de l'eau pendant 5 minutes ,puis ont plongés dans l'océan

    23 avril 2000 argentine :des journalistes de la télévision observent un grand ovni multicolore dans le ciel une tentative de filmé la scène a échoué par défaillance de la batterie de la camera)

    2 mai 2000 désert du Nevada:cinq personnes aperçoivent trois objets décrivant des cercles puis un triangle dans le ciel suivie d'un énorme engin sombre apparaissant comme une ombre (durée de l'observation 30 secondes)

     


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  • (observation de Salem)

    Les Lumières
    Nocturnes
    (LN)

    Évidemment, ce qui est observé la nuit, doit "obligatoirement" produire de la lumière! Voilà pourquoi Joseph Allen HYNEK a choisi cette expression, LN, pour définir tout objet dont le mouvement, la luminosité, la vitesse et aussi parfois la forme, composent les caractéristiques englobant la définition de Lumières Nocturnes (LN).
     
    Généralement observé à de grandes distances de l'observateur, l'OVNI ne ressemblera alors qu'à une masse lumineuse au comportement erratique.  Dans cette catégorie, nous retrouvons la plus grande quantité de cas de méprises de la part des observateurs.  C'est justement en raison de la distance qui sépare le phénomène de ces derniers qui pourrait représenter le principal facteur de méprises.
     
    Aussi, rien n'est plus difficile à estimer et à évaluer, dans un ciel noir, qu'un objet lumineux en mouvement car les objets de référence au sol deviennent alors inefficaces.
     
    Finalement, même dans les cas de prises de photographies ou lors de la réalisation d’une bande vidéo, l'absence de calibration de ou des images rend l'identification périlleuse, voire impossible.  Il ne reste alors que les fonctions de probabilité et d'étrangeté pour classifier la notification, ce qui, nous en convenons, ne nous apprend rien de plus sur la NATURE et l'ORIGINE véritables des OVNIS.
     
    Enfin, mentionnons que toute masse d'énergie lumineuse non identifiée et rapportée au Réseau OVNI-ALERTE sera classifiée dans les LN.  Une source ponctuelle observée de jour sera alors classée chez le Réseau OVNI-ALERTE comme une LD, ou Lumière Diurne (sous classe prévue par Hynek).
     
    Les Disques Diurnes (DD)
     
    Beaucoup plus rares que les LN, les Disques Diurnes (DD) représentent un beau défi pour la recherche sur les OVNIS.
     
    Habituellement, l'oeil humain est plus facilement en mesure d'évaluer les distances, dimensions, déplacements angulaires entre autres parce que la lumière du jour permet un éclairage complet de la scène et, contrairement aux bâtonnets de l'oeil qui sont les seuls à fonctionner lorsqu'il fait nuit, les cônes entrent aussi en action et permettent de capter les... couleurs!  Voilà pourquoi nous voyons surtout en noir et blanc la nuit car l'éclairage ambiant n'est pas suffisant pour exciter lesdits cônes.
     
    Cette classification visait juste quand HYNEK l'établit dans les années 50, car les phénomènes observés et rapportés mentionnaient presque toujours une forme de type discoïdale ou ovoïde. Ce n'est plus tellement le cas au troisième millénaire. Nous y reviendront plus loin.
     
    Il existe quelques variantes de la classification DD, comme OD pour Objet Diurne (référence à OVNI) qui englobe toute les formes géométriques observables. Ainsi, tout objet volant observé le JOUR sera classé comme un DD ou OD chez le Réseau OVNI-ALERTE.
     
    Évidemment, un Disque observé la NUIT sera quant à lui classé DN pour Disque Nocturne (une sous classe également prévue par HYNEK).
     
    Les Rencontres Rapprochées du Premier Type (RRI)
     
    Dans cette catégorie, l'OVNI observé est vu de près bien qu'il n'entre pas en interaction avec l'environnement de manière directe.  Certes, il pourra provoquer un choc émotionnel important chez le témoin ou chez les animaux mais cela n'ira pas plus loin.  Au-delà de cette distance étalon de 150 mètres, nous parlons alors d'une Rencontre Éloignée du Premier Type (RE I), cette dernière constituant une sous-classe à la première.
     
    Les Rencontres Rapprochées du Deuxième Type (RRII))
     
    Ces manifestations sont semblables aux premières, mais cette fois il y a des traces sur le sol, des évidences physiques mesurables après coup. La végétation aura été fréquemment aplatie, retournée et, dans quelques cas, brûlée. Des branches d'arbres auront été cassées, de la radioactivité sera anormalement élevée dans l'entourage immédiat de la manifestation; l'aiguille d'une boussole s'affolera indiquant une perturbation du champ magnétique ambiant.  Des objets inanimés, tels des voitures, tomberont en panne. Le moteur cale, la radio s'arrête, les phares s'éteignent et une chaleur intense pourra envahir l'habitacle. Au début, seulement les moteurs à explosion semblaient être affectés par la présence d'OVNIS mais nous possédons plusieurs cas bien documentés de nos jours, provenant de partout dans le monde, où des moteurs Diesel (injection-compression) ont subi le même sort.  De plus, les insectes semblent particulièrement sensibles à la présence d'un OVNI.  Leurs chants cessent subitement lorsque l'OVNI se manifeste, et reprennent aussitôt après son départ.
     
    Encore ici, la distance étalon établit demeure à moins de 150 mètres du témoin, au-delà de cette distance, nous parlons d'une Rencontre Éloignée du Deuxième Type (RE II).
     
    Les Rencontres Rapprochées du Troisième Type (RRIII)
     
    Ce sont les rapports mentionnant la présence d'entités d'apparence humanoïde, très souvent, dont le comportement donne à penser qu'ils sont les pilotes des OVNIS. Toutefois, plusieurs notifications rapportent la présence de ces entités sans qu'il y ait simultanément un OVNI dans les parages?
     
    Voilà sans doute pourquoi l'expression humanoïdes ou entités intelligentes non humaines est plus appropriée que le terme "extraterrestre" puisque rien n'indique leur origine.
     
    Il va de soi qu'il s'agit ici d'une hypothèse intéressante qu'il faut envisager, au même titre que n'importe quelle autre, mais elle ne doit pas demeurer la seule, car elle n'est certainement pas la meilleure, surtout depuis les avancés récentes en matière de physique quantique, de la physique des cordes, des trous noirs, des univers multiples, dits aussi parallèles (hypothèses en accord avec la physique proposées par Andrei D. SAKHAROV et Stephen W. HAWKING et de nombreux autres).
     
    Encore ici, la distance étalon demeure, par convention établie, à moins de 150 mètres du témoin; au-delà de cette distance, nous parlons d'une Rencontre Éloignée du Troisième Type (RE III).
     
    LES PROBLÈMES RELATIFS À LA CLASSIFICATION
     
     LOI DE GUÉRIN: "...toute hypothèse apparemment prouvée en Ufologie est démolie par les observations suivantes."
     
    Depuis plus de soixante (60) ans, l'ufologie a progressé, et ceux qui se consacrent à l'étude du problème, ont compris certaines subtilités qui se dégagent des notifications rapportées année après année.
     
    Par exemple:
     
    Comment doit-on classer un triangle noir volant silencieusement et dont la présence n'est remarquée que par ses contours découpés grâce aux étoiles en arrière-plan?
     
    Poussons encore plus loin le raisonnement, et imaginons le scénario suivant:
     
    Si une porte s'ouvre en dessous dudit triangle, et qu'un être humanoïde apparaît dans la pénombre de la lumière interne de la masse en question, serions-nous en face d'une Rencontre Rapprochée du Troisième Type (RRIII) ?
     
    Nous pensons au cas à s'être produit en Nouvelle-Guinée, plus précisément en Papouasie, le 26 juin 1959, alors que le Révérend William GILL et les villageois avaient observé plusieurs vaisseaux étranges au-dessus de la mer durant trois (3) jours. Un de ceux-là s'était rapproché du groupe, assez pour que les témoins puissent observer des êtres à l'intérieur de l'engin qui agitaient leurs bras comme pour répondre aux habitants Papous qui les saluaient! Encore ici, sommes-nous habilités à classer cette notification dans le rang des Lumières Nocturnes uniquement?
    La réponse est NON!
     
    Il est établi une priorisation des événements selon leur degré de probabilité, et qui l'emporte sur l’étrangeté (que cela se soit effectivement produit).  Il s'agit d'un premier mouvement.  L'investigation qui suit obligatoirement le signalement d'un tel événement peut agir sur une révision de la classification de la notification, selon le cas.
     
    En d'autres termes, la forme intelligente et animée l'emporte sur la forme matérielle et inanimée. La proximité l'emporte sur l'éloignement et finalement, après investigation bien sûr, la probabilité l'emporte sur l'étrangeté car, par définition, plus une chose demeure étrange, plus cela indique qu'elle n'a pas été comprise, et donc, moins elle est probable et vice versa.
     
    Pour simplifier, disons que chaque association ufologique a compris ce dilemme et certains des membres, ont préféré élaborer leurs propres méthodes de classification des observations OVNIS. Malheureusement, le manque de vision universelle de ces méthodes et, trop souvent, l'impossibilité de les adapter en langage formel, i.e. informatique, les rendent obsolètes.
     
    LES CAS DE DÉTECTION RADAR OU RADAR-OPTIQUE (RO)
     
    Cette catégorie indique qu'en plus des témoins qui ont signalé la présence d'un OVNI dans le ciel, des radars au sol l'ont détecté!
     
    Toutefois, il faut savoir que les systèmes de suivis radar des tours de contrôle des aéroports Pierre Elliot TRUDEAU (anciennement DORVAL) rattaché au Centre de Contrôle Régional (CCR), de MIRABEL, ou encore de l'aéroport de St-Hubert en banlieue sud de l'île de Montréal, fonctionnent depuis le début des années 90 en mode dit secondaire.  Cela pose problème.
     
    Il existe deux (2) modes de détection largement connus dans le monde de l'aviation civile et militaire: le premier se dit mode primaire et le second, mode secondaire.
     
    MODE PRIMAIRE
     
    Utilisé par les Forces militaires, le mode primaire assure toutes les détections d'aéronefs qui survolent le pays, quels qu'ils soient et d'où qu'ils proviennent.
     
    Cela assure la protection du territoire.
     
    De plus, signalons qu'il n'est pas nécessaire qu'un aéronef possède un transpondeur à bord pour que le radar puisse identifier et placer la présence de ce dernier sur l'écran radar.
     
    MODE SECONDAIRE
     
    Pratiquement tous les aéroports civils fonctionnent avec des radars couplés.  C'est-à-dire que l'aéronef DOIT posséder à bord, une petite boîte électronique (un transpondeur) contenant toutes une série d'informations relatives à ce dernier, soit sa provenance, sa destination, sa vitesse, son altitude de vol, son plan de vol, le nom de la compagnie qui l'opère, etc. et le radar au sol NE SIGNALERA QUE LES AVIONS POSSÉDANT LEDIT TRANSPONDEUR!
     
    Ceci a pour effet de nettoyer l'écran radar de nombreux autres types d'aéronefs que les contrôleurs n'ont pas obligatoirement la responsabilité de gérer dans l'approche finale de la piste d'atterrissage, ce qui diminue d'autant les risques de tous ordres.
     
    Par exemple, les hélicoptères privés ou les Cessna peuvent atterrir à vue sans obligatoirement être visibles sur les écrans radars.  Les pilotes n'ont alors qu'à demander à la tour la permission d'atterrir, ce qui permet d'accélérer la gestion de la circulation aérienne aux heures de pointe.
     
    Le résultat d'une telle mesure fait en sorte que les OVNIS ne sont pas munis de transpondeurs, et donc, deviennent invisibles de facto sur les radars des centres de contrôles aériens des grands aéroports, d'où l'inutilité pour le public de contacter un centre de contrôle aérien afin d'obtenir une confirmation matérielle de leurs étranges observations dans le ciel.
     
    Mais les centres militaires de Bagotville ou encore de North Bay (nom de code: ROCC-EAST), rattachés au NORAD à Cheyenne au Colorado, possèdent l'équipement pour suivre à la trace un OVNI dans tout l'espace aérien canadien.  Et nous vous faisons grâce ici des satellites en orbite qui eux aussi sont mis à contribution.  Mais le public n'a pas et n'aura jamais accès à ce type d'information jugé secret défense.

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  • Ovnis : de vraies photos
      
    Il est normal que scientifiques et opinion publique se montrent de plus en plus réticents quand on leur annonce qu’un ovni a été photographié. 

    Les canulars sont nombreux et il est souvent difficile de repérer les trucages. Cependant, la technologie actuelle permet de détecter les montages aussi habiles soient-ils. 
     
    Parfois, il ne s’agit pas de canulars mais simplement d’une mauvaise interprétation de l’objet observé. 
     
    Un ovni, repéré au-dessus du Venezuela en 1963. La photo a été prise du hublot d’un avion. Elle a été authentifiée comme vraie.


    Un étrange objet, en forme d’anneau, aperçut au-dessus d’une base américaine en 1957. Il s’agissait en fait d’un simulacre,
    utilisé à l’époque dans le cadre d’expérimentations atomiques.


    Au Brésil, en 1966, cet objet volant a été aperçu par plusieurs témoins. Des branches brisées ont été retrouvées au sommet des arbres. L’analyse du film dont est tirée cette photo n’a pas pu établir s’il s’agissait d’une supercherie.   


    Cliché d’un ovni pris en 1950 aux Etats-Unis. L’objet est très ressemblant avec un autre ovni photographié en 1954 par un pilote d’Air France. Dans les deux cas, aucun trucage n’a été décelé.



    Agrandissement du cliché


    Une photographie prise par un shérif américain du Minnesota, en octobre 1961. L’objet original était rouge. Aucun trucage n’a été décelé.


    Un cliché pris par un adolescent, en 1966. Lui n’avait vu qu’une lumière mais son cliché a révélé trois objets. Aucun trucage décelé. 


    Une photo d’ovnis prise de nuit par un adolescent de 14 ans en 1966, aux Etats-Unis. Aucun trucage décelé.


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