• Mois : juillet
    Saison : été
    Délai  : 7
    Valeur : positive
    Education, apprentissage, études, utilité, mains et doigts

    Amour :
    Un des partenaires, intellectuel et esthète, idéalise la relation et cherche la perfection. Le conquérir demande temps et habileté. Une fois la barrière passée, les rapports seront sensibles et doux.

    Argent :
    Pas de problèmes particuliers.

    Travail :
    Enseignement. Ambition, volonté d’apprendre.

    Spirituel  :
    Connaissance des arts occultes, faculté de prédire l’avenir et d’interpréter les rêves. Appartenance ou volonté d’appartenir à un groupe comme la Franc Maçonnerie.

    Associations  :
    - avec le 1 Alpha : proposition d’un stage, d’une formation
    - avec le 2 Isolement : personne autodidacte
    - avec le 3 Delta : intérêt pour la théologie, la spiritualité
    - avec le 8 Nadir : connaissances en occultisme
    - avec le 9 Sagesse : dons de magnétisme
    - avec le 12 Sceau : réussite professionnelle
    - avec le 19 Prière : place importante de la spiritualité
    - avec le 21 Bénédiction : équilibre, on récolte ce qu’on a semé, grande réussite
    - avec le 35 Nécessité : obligation de suivre une formation pour évoluer professionnellement
    - avec le 36 Voyage : opportunités professionnelles à l’étranger
    - avec le 37 Lumière : succès, bonne réputation
    - avec le 42 Désert : trop d’idéalisme crée des problèmes
    - avec le 48 Ame : nécessité de renouer avec la spiritualité
    - avec le 49 Adversaire : évolution bloquée
    - avec le 51 Retour : guérison
    - avec le 53 Méditation : pratiquer le yoga ou la relaxation


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  • Bernadette de Lourdes, dont le visage est resté intact depuis sa mort en 1879

    « Tu redeviendras poussière ! ». C’est le sort communément accepté des hommes après leur mort. Pourtant, certains corps restent intacts pendant des siècles. L’incorruptibilité physique est-elle le privilège des saints et des saintes ? Ce phénomène de non putréfaction est particulièrement troublant du fait qu’il est réel mais n’a jamais été vraiment étudié.

    Des manifestations miraculeuses

    Un peu partout dans le monde, on relève la même croyance populaire : les corps des saints, après leur mort, échappent à la loi commune de la dissolution de la chair.
    Saint Cyrille, évêque de Jérusalem, écrivait au Ive siècle : »Même lorsque l’âme s’est enfuie, sa vertu et sa sainteté imprègnent encore le corps qui l’a hébergée. »

    En réalité, si l’on étudie la vie des saints de la chrétienté, on constate que cette incorruptibilité physique a souvent été refusée aux élus.
    De même, ce phénomène a été observé sur des gens non béatifié ou canonisé.

    Le seul recensement dont nous disposons est dû à une Américaine, Joan Cruz, qui a souhaité compléter les travaux du père Thurston à l’aide de toutes les sources ecclésiastiques connues.
    Dans un ouvrage, publié en 1977, intitulé The Incorruptibles, elle énumère 102 cas authentifiés par la Congrégation des rites de l’Eglise catholique romaine.

    Mais, il est probable, ajoute t-elle, qu’il en existe bien d’autres qui n’ont jamais été rendus publics par le Vatican.

    Un exemple de ces « miracles » est celui de Maria Anna Ladroni qui mourut à Madrid en 1624.
    107 ans plus tard, sa dépouille mortelle fut exhumée sur l’ordre des autorités religieuses lors de son procès de béatification.

    Voila quelles furent les conclusions de l’époque :

    « Il n’y eut pas moins de 11 docteurs et chirurgiens pour procéder à l’examen de la dépouille. Ils ont pratiqué, à l’aide de leurs instruments, diverses incisions sur le cadavre. Toutes les recherches aboutirent à une dissection quasi complète du corps : les viscères, les organes et les tissus apparurent dans un parfait état de conservation, encore humides, fermes et élastiques au toucher.
    Le cadavre était imprégné d’une sorte de fluide odorant, qui répandait des effluves persistants. »

    Saint Charbel, sainte Catherine de Bologne ou saint Pacifique de Cerano ont été inhumés directement dans la terre et l’on n’a constaté aucune dégradation de leurs cadavres.

    D’autres sont restés intactes dans un sol humide alors que leurs vêtements se désagrégeaient sur leur chair intacte. C’est le cas de sainte Thérèse d’Avila et sainte Catherine de Gênes.

    Quand le corps de sainte Catherine Labouré fut exhumé en 1933, 57 ans après sa mort, on trouva son corps intact bien que le triple cercueil ait été rongé par la moisissure.

    Certains de ces saints présentaient des stigmates de leur vivant, et ces saintes blessures ont été souvent préservées au-delà de la mort.

    Dans ces différents cas évoqués, ce qui est troublant ce n’est pas l’incorruptibilité par elle-meme car on connaît des facteurs particuliers qui empêchent la décomposition des cadavres. Le problème c’est que ces corps ont été inhumés dans des conditions qui auraient dû normalement entraîner la putréfaction.

    Le cas de saint Charbel Makhlouf

    Cet ermite mourut en 1898 au monastère maronite d’Annaya, au Liban. Selon la coutume de cet ordre, son corps fut directement déposé dans la terre, sans cercueil.
    Pendant plusieurs semaines, d’étranges lumières apparurent près de sa tombe. Les autorités ecclésiastiques finirent par ordonner l’exhumation 45 jours plus tard.

    Le corps était intact en dépit des inondations. Le cadavre fut alors lavé et revêtu de vêtements neufs avant d’être placé dans un cercueil de bois dans la chapelle du monastère.

    Au bout d’un certain temps, un liquide huileux ayant l’odeur du sang frais commença à sourdre des pores du saint.
    Cet épanchement devint si abondant que les vêtements durent être changés deux fois par semaine.

    Les restes de saint Charbel demeurèrent dans cet état jusqu’en 1927, date à laquelle un examen médicale fut ordonné.

    Le corps fut placé dans un cercueil de bois doublé de zinc, et un document contenant les observations faites par les médecins fut scellé dans un tube de zinc et déposé aux pieds du saint. Puis, le cercueil fut emmuré au milieu d’une paroi du monastère.

    En 1950, des pèlerins venus visiter le sanctuaire remarquèrent qu’un curieux liquide suintait hors du mur renfermant le cercueil.

    On ouvrit à nouveau le cercueil en présence d’autorités religieuses et médicales. Saint Charbel était toujours aussi bien conservé : son corps souple gardait les apparences de la vie alors que ses vêtements tombaient en lambeaux.

    Le tube de zinc, par contre, était fortement corrodé.

    Depuis cette date, la tombe a été ouverte chaque année et le corps soigneusement examiné. Chaque fois, il est apparu dans un parfait état de fraîcheur. Le fluide huileux, qui forme dans le cercueil un dépôt de 8 cm, est précieusement recueilli.

    Mais, l’incorruptibilité n’est pas toujours religieuse. Des cas d’incorruptibilité ont été constatés sur des personnes tout à fait « ordinaires ».

    Des cimetières particuliers

    Certains cimetières ou lieux de sépulture ont été choisi précisément en raison de conditions naturelles propres à stopper ou ralentir le processus de décomposition.

    Les catacombes de Palerme ou de Malte sont réputées pour leurs momies naturelles. Mais, ces cas sont explicables par la science. Les catacombes capucines de Palerme, en Sicile, abritent des corps ayant fait l'objet d'une momification

    Les corps subissaient un processus de déshydratation, avant d'être lavés au vinaigre. Certains étaient embaumés, tandis que d'autres étaient enfermés sous scellé dans des cabines de verre.

    La crypte de l’église Saint Michel de Dublin semble posséder les mêmes propriétés. Un rapport de 1901 mentionne la découverte « d’un cadavre de bébé, dont les poignets dodus portaient encore les rubans blancs fanés, dont on l’avait paré pour ses funérailles ». Le cercueil portait la date de 1679. Le petit corps était parfaitement conservé.

    Des théories mais aucune certitude

    A la fin du XIXe siècle, le père Herbert Thurston fit la première étude sérieuse des cas d’incorruptibilité.
    Il nota que les corps six phénomènes caractéristiques mais pas forcement simultanés:

    La présence d’un parfum suave émanant du corps

    L’absence de rigidité cadavérique

    La persistance d’une certaine tiédeur du cadavre

    L’absence de putréfaction

    Parfois, des saignements anormaux

    Parfois, la constatation post mortem d’étranges mouvements du cadavre qui ne sont pas attribués à des contractions musculaires mécaniques

    Si l’on écarte l’idée d’un miracle divin, quelles sont les autres hypothèses susceptibles d’expliquer cet étrange phénomène ?

    La première hypothèse est bien sûr l’embaument préalable du corps. Mais, un embaument est simple à déceler lors des examens post mortem.

    Dans les cas qui nous préoccupent, aune trace d’une substance quelconque ayant pu stopper la décomposition n’a été découverte.

    L’incorruptibilité ne peut être vraiment prouvée que lors de la première exhumation. En effet, les organes de certains saints ont été prélevés après coup pour être utilisés comme reliques sacrées.

    Joan Cruz distingue trois types d’incorruptibilité physique :

    Les corps volontairement conservés par embaument ou toute autre technique (momies)

    Les corps préservés accidentellement ou grâce à des techniques naturelles (momies naturelles)

    Les cas d’incorruptibilité authentiques et non expliquées par la science

    On a émis quelques hypothèses :

    Extrême sécheresse de l’air et absence de poussière. C’est le cas de la nécropole de Kiev

    Rôle possible des radiations mais qui reste valable que dans quelques cas

    Il existe également un phénomène appelé « saponification » qui est la transformation des tissus humains en une masse ammoniacale savonneuse tandis que l’épiderme se durcit.
    Cette substance saponifiée est dite « gras de cadavre » ou « adipocire ».

    On observe ce phénomène chez des cadavres inhumés dans des terrains marécageux putrides. On ignore pourquoi il intervient dans certains cas et pas dans d’autres.

    La saponification, qui est une forme particulière de décomposition des lipides, n’est pas courante mais pas non plus exceptionnelle.
    Ce phénomène n’est pas considéré comme miraculeux par les autorités ecclésiastiques.

    La véritable incorruptibilité est très différente. Pour des raisons inconnues, un corps reste intact tandis que d’autres, à ses côtés, se décomposent.

    Il faut préciser que ce « miracle » n’est pas suffisant à lui seul pour obtenir la béatification, sauf pour l’Eglise orthodoxe russe.

    Il est important de souligner que ce phénomène se rencontre dans la plupart des religions et que c’est également un thème important de l’inconscient collectif.

    Il existe des similitudes entre les divers cas d’incorruptibilité authentique qui sont très rares, rappelons le.

    La science ne peut l’expliquer actuellement. Il est vrai que ce phénomène a laissé la communauté scientifique étrangement indifférente.

    Quelles que soient nos convictions et nos croyances religieuses, peut-être devons nous nous pencher sur la nature de notre existence physique et spirituelle. Que nous soyons un jour destiné à la gloire, comme les saints, ou non, la réalité n’est peut-être pas celle que nous percevons.

    Entre la vie et la mort, il nous reste à comprendre l’essence de la réalité elle-même.


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  • Une statue en plâtre représentant Jésus-Christ se met à saigner. Un tableau de la Vierge laisse couler de vraies larmes. De tels phénomènes sont bien réels. On pense immédiatement à des trucages. De nos jours, personne ne veut croire que de telles choses puissent se produire. On considère les « miracles » comme des superstitions révolues issues du Moyen Âge.
    Pourtant, après étude, la vérité sur les statues qui pleurent semble assez surprenante. De véritables preuves existent mais la réalité n’est peut-être pas celle que l’on attendait.



    Du sang et des larmes

    En juillet 1966, à Londres, un crucifix répandit des larmes pendant trente jours.

    En avril 1975, Mrs Anne Poore était en train de prier dans l’église de Boothwynen, en Pennsylvanie, quand elle vit un spectacle incroyable :

    « Soudain, je levai les yeux vers la statue du Christ, et mon cœur cessa de battre. Deux gouttes de sang, rouges comme des rubis, venaient d’apparaître sur les blessures des mains de la statue en plâtre. »

    En janvier 1981, une statue de la Vierge Marie, à Caltanisetta, en Sicile, commença à saigner de la joue droite, après avoir pleuré en 1974.

    Les exemples sont trop nombreux pour être tous cités.

    Etude des phénomènes

    Dans les années 50, le physicien italien Piero Casoli se lança dans une longue étude sur les madones qui pleurent.
    Il en arriva à la conclusion que ces phénomènes se produisaient en moyenne deux fois par an dans la seule Italie.
    Le Fortean Times britannique a pu faire état de multiples cas du genre dans de nombreux pays et à toutes les époques.

    Le 16 mars 1960, un portrait de la Vierge Marie commença à pleurer derrière son cadre de verre. Cette madone appartenait à Mrs Pagora Catsounis de New York. Le père Papadeas, de l’église orthodoxe grecque, fut également témoin des faits quand il arriva au domicile de cette dame.
    Par la suite, une autre madone qui se mit à pleurer, fit son apparition dans la même famille. Des échantillons du liquide furent analysés et il s’avéra qu’il ne s’agissait pas de larmes humaines.
    On échangea le tableau mais, lui aussi, se mit à pleurer.

    Raymond Bayles commença alors son enquête. Une étude minutieuse du tableau révéla la présence de taches au-dessous des yeux, constituées de particules cristallisées de quelque chose ressemblant à du sérum.
    Ces cristaux, accumulés et secs, ne bougeaient pas.

    Lorsque Bayles examina le tableau une seconde fois, les larmes étaient toujours au même endroit. Il ne trouva aucun trou d’aiguilles, ni aucune autre ouverture par lequel du liquide aurait pu être introduit.

    Au cours d’une visite, une femme s’écria devant Bayles et un ami, qu’une larme coulait sur le tableau. Quelques personnes présentes se déclarèrent aussitôt convaincues que c’était le cas. Mais les deux hommes ne virent rien.

    Bayles déclara qu’il était convaincu qu’il s’agissait d’une « hallucination collective ».

    Le cas de la statue de Mrs Poore est très différent. Cette statue en plâtre du Christ saigne tous les vendredis et jours saints depuis 1975.
    Elle a été placée dans une église de Pennsylvanie et placée à 3 m au-dessus de l’autel.

    Le pasteur de l’église rapporta : »Elle a parfois saigné pendant quatre heures. J’ai vu les paumes des mains parfaitement sèches, puis quelques minutes après, j’ai observé quelques gouttelettes de sang s’écoulant des stigmates.
    Le sang ne coule jamais au-delà de la statue dont le vêtement est maintenant incrusté de sang séché. »

    Le Docteur Joseph Rovito, un médecin respecté de Philadelphie, mena sa propre enquête. Passée aux rayons X, la statue ne révéla aucune trace d’un réservoir quelconque, ni aucun autre mécanisme frauduleux, mais les tests sanguins n’aboutirent pas à grand-chose.
    Bien que le sang ainsi identifié fût incontestablement du sang humain, le faible nombre de globules rouges qu’il contenait indiquait que le sang était très ancien.
    Pourtant, le sang coulait sur une longue distance avant de se coaguler ce qui indique qu’il s’agissait de sang frais.
    Le problème c’est que le sang frais contient des millions de globules rouges. Sa conclusion fut la suivante :

    « Ce sang est tellement ancien que nous ne pouvons en déterminer le groupe sanguin. »

    Miracle ou phénomène psychique ?

    Une fois la fraude écartée, on est bien obligée de se demander comment du sang ou des larmes peuvent apparaître sur une statue ou un tableau.

    D’après les études, il semble que ces phénomènes ne se produisent pas au hasard. Il y a une certaine logique qui suggère que le phénomène est le fait d’une intelligence.

    Par exemple, en septembre 1911, le portrait du Christ, placé dans l’église de Mirebeau, en France, s’est couvert de traces sanglantes.
    Ce phénomène s’est arrêté à la mort du prêtre de l’église. On peut donc en déduire que le phénomène était lié à sa personnalité.

    De même, l'absence de hasard est évident dans le phénomène qui a touché une statue de sainte Anne en 1954. Les doigts de cette statue se sont mis à saigner après que le propriétaire de l'objet les eut brisé par accident.

    Certains parapsychologues ont avancé l’hypothèse plausible de la télékinésie. Selon le parapsychologue D. Scott Rogo, ce type de pouvoir ne serait pas exceptionnel. Nous disposerions tous de telles capacités à causer des modifications dans notre environnement en y projetant des émotions violement ressenties ou réprimées.

    Ce type de projection paranormale prend en générale deux formes :

    Les phénomènes religieux

    Les troubles liés à l’activité d’esprits frappeurs ou autres

    D’après les spécialistes, les faits suggèrent un phénomène de déplacement à distance des liquides. Mais d’où proviennent-ils ?

    Nul n’est en mesure de répondre à cette question pour le moment. La seule chose qui en ressort c’est que contrairement aux manifestations d’esprits frappeurs, l’extase religieuse a une action bienfaisante et non destructrice.


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  • Riez , c'est bon pour la santé !

    Et si pour garder la forme , il suffirait de rire chaque jour ? Eh! bien oui , nous assurent de nombreux scientifiques

    Il nous fait un corps de rêve :

    Suer dans les salles de gym , ce n'est pas votre truc ? Alors , inscrivez sur votre agenda , une séance de fou rire ! " Lorsqu'on rit , les muscles des abdominaux tout d'abord , puis ceux du buste , des bras , des épaules et des jambes s'agitent et se contractent , nous laissant ensuite épuisé , explique le Dr Rubinstein , neurologue .

    " UNE MINUTE DE RIRE EQUIVAUT A DIX MINUTES DE GYMNASTIQUE ""

    Il améliore le sommeil :

    Regarder un film comique , plus efficace qu'un somnifère ? Oui ! Le rire entraîne la libération de la sérotonine , neurotransmetteur à l'action apaisante , appelée aussi hormone du sommeil , car , elle a entre autre un effet sédatif .

    Il lutte contre le stress:

    Vous l'avez sans doute remarqué , une bonne rigolade , et on voit tout de suite la vie en rose ! Les raisons en sont multiples : tout d'abord parce que les muscles contractés par les soucis se détendent illico . . Ensuite parce qu'on évacue l'adrénaline et la noradrénaline , deux hormones responsables du stress et des idées noires .. " Mais le rire a aussi un effet sur le long terme , car après une crise de fou rire , le rythme cardiaque ralentit , la tension artérielle diminue et la circulation sanguine repart normalement , précise le docteur Rubinstein . Survient alors une détente bienfaisante et régulatrice qui dure ... C'est bien simple , une minute de rire équivaut à quarante-cinq minutes d 'une bonne relaxation.

    Il nous fait un coeur tout jeune :

    Incroyable , mais sérieux ! Parce que , lorsqu'on s'esclaffe , les artères se dilatent , facilitant le passage du sang , ce qui entraîne une diminution de la tension artérielle . " Cela provoque également une accélération de la respiration , ce qui contribue à fluidifier la circulation du sang , évitant que les artères ne s'encrassent " , explique Bernard Raquin .

    " Et il diminue notre taux de cholestérol, ajoute le docteur Rubinstein . Le cholestérol apporté par l'alimentation , est éliminé par les sécrétions biliaires du foie. Or , dans les " hahaha" , le va-et-vient du diaphragme ( situé au niveau du ventre ) masse le foie , ce qui stimule les sécrétions biliaires accélérant ainsi l'élimination du cholestérol ." Enfin selon une équipe de chercheurs américains , et qui ne passent pas pour des rigolos , la dépression augmente le risque de maladies cardiovasculaires .Or , le rire élimine les deux hormones responsables des idées noires . Voilà pourquoi rire au moins un quart d' heure par jour , c'est conserver un système cardiovasculaire au top-niveau !

    Il diminue la douleur

    Se gondoler stimule également la production de catécholamines , UNE HORMONE QUI APAISE L'INFLAMMATION , EN PARTICULIER AU NIVEAU DES ARTICULATIONS. Cela déclenche aussi la fabrication d' endorphine une hormone chimiquement proche des opiacés , qui a la propriété de diminuer la douleur .

    Il oxygène tout le corps

    Lorsqu'on ne rit pas ou peu , le dyoxyde de carbone contenu dans nos poumons n'est pas évacué et L'ORGANISME CONNAIT ALORS UN PIC DE POLLUTION INTERNE . " Mal oxygéné , notre corps fonctionne moins bien , encrassement , ankyloses , décrit Bernard Raquin . Or , lorsqu'on rit , les poumons expulsent à plus de 100/heure l'air qu'ils contenaient ( d'où l'impression de manquer d'air lorsque la crise de rire est trop forte ) , ce qui permet d'évacuer l'air " vicié " . Les poumons se remplissent ensuite pleinement lors de 'ample respiration qui suit . Grâce à cet air frais , cellules , sang ,et cerveau sont mieux oxygénés donc plus performants . SEULS CERTAINS SPORTS COMME L'AEROBIC , LE JOGGING OU LE TENNIS SONT AUSSI EFFICACES .

    Il aide à la digestion :

    Quand nous rions , le diaphragme sautille et stimule tous les organes qui se trouvent à proximité de lui , c'est-à-dirte l'estomac , le foie , la rate et les intestins . Cette petite gymnastique abdominale ACCELERE LE TRANSIT INTESTINAL ET STIMULE LA PRODUCTION DE SUCS GASTRIQUES FACILITANT AINSI UNE MEILLEURE DIGESTION .

    Il reforce nos défenses

    Comment sécrèter plus d'immunoglobuline , cette hormone qui nous aide à nous défendre contre l'invasion de virus et de microbes ? En se tordant de rire !

    LES PERSONNES RIEUSES COURENT D'APRES DES ETUDES DE L'UNIVERSITE D' EDIMBOURG , HUIT FOIS MOINS DE RISQUES QUE LES AUTRES DE DEVOLOPPER DES MALADIES !


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  • Dans les annales des disparitions en mer, le nom de la Mary Celeste est resté célèbre. Cette énigme qui n’a toujours pas été résolue contribue largement à entretenir le mythe des vaisseaux fantômes.
    L’histoire de la marine fourmille de mystères semblables à celui de la Mary Celeste. Des dizaines de navires ont été ainsi abandonnés, soudainement et sans raison apparente, par des équipages que l’on n’a jamais revus.
     
      
    La découverte de la Mary Celeste 
      
    Le 5 décembre 1872, le cargo anglais Dei Gratia repère un brick qui dérive dans l’Atlantique Nord à mi-chemin entre les Açores et le Portugal. 
     
    Le voilier zigzague curieusement et presque toutes ses voiles sont carguées. Le capitaine du cargo, David Moorehouse, s’aperçoit avec stupeur qu’il s’agit de la Mary Celeste. 
    Fait du hasard, il a dîné à bord du voilier avec son capitaine, Benjamin Spooner Briggs, un mois plus tôt.
    Quelques jours après, la Mary Celeste appareillait pour Gênes avec une cargaison de 1 700 tonneaux d’alcool pur.
     
     
    A bord, en plus des sept hommes d’équipage, se trouvaient la femme du capitaine et sa petite-fille de deux ans. 
     
    Le bâtiment ne répondant à aucun signal, Morehouse se décide à monter à bord avec trois hommes.
    Le vaisseau se révèle désert et sans canot de sauvetage. Dans les cales, ils découvrent la cargaison d’alcool et des vivres pour au moins six mois.
     
     
    Des indices insuffisants 
      
    Morehouse s’étonne du désordre indescriptible qui règne dans la cabine du capitaine. Dans le carré des matelots, par contre, tout est en ordre. Le compas et les autres instruments de navigation sont cassés ou ont disparu. 
     
    La dernière mention portée au journal de bord date du 25 novembre. Apparemment, le navire dérive depuis près de deux semaines et a parcouru environ 500 milles. 
    Les avaries ne sont pourtant pas très importantes. Deux des écoutilles se sont rompues et un mètre d’eau environ a envahi la cale. 

    Un tonneau d’alcool a été éventré et une entaille, faite à la hache, apparaît dans l’une des rambardes. 
     
    Fait étrange, les six fenêtres des logements de l’arrière sont condamnées par de la toile et des planches. 
     
    Un seul indice plaide en faveur d’un acte criminel : une épée rouillée est découverte sous une couchette. 
     
     
    Autopsie d’une disparition 
      
    Moorehouse ramène la Mary Celeste à Gibraltar pour être examinée par les autorités judiciaires.
    Les résultats sont décevants. Il n’y a que cette entaille longue de deux mètres juste au dessus de la ligne de flottaison qui peut faire penser à un acte criminel.
     
     
    Des traces rougeâtres relevées sur le bastingage sont analysées mais ce n’est que de la rouille. 
    Malgré tout, faute d’explication suffisante, c’est l’hypothèse du crime qui est retenue. Les autorités décident que l’équipage s’est livré à une beuverie puis a assassiné le capitaine et sa famille avant de s’enfuir dans des canots.
    Cependant, les armateurs soulignent que le capitaine était très apprécié de ses hommes et que nul autoritarisme exagéré ne régnait sur son vaisseau.
    En outre, l’alcool contenu dans les tonneaux n’était pas buvable. Elle aurait provoqué des brûlures d’estomac et risquait même de rendre aveugle.
    Enfin, quand des hommes se mutinent, ils ne partent pas en laissant leur cantine et tous leurs effets personnels.
     
     
    Le mystère de la Mary Celeste fait le tour du monde. On finit par renoncer à éclaircir cette énigme et le vaisseau est vendu. 
     
    La légende n’a fait que s’embellir de détails ajoutés après coup. Par exemple, c’est le cas de la prétendue découverte dans la cuisine du vaisseau d’un poulet encore chaud et de tasses de thé fumantes.
    De nombreuses solutions ont été proposées, de l’attaque d’un poulpe géant à l’intervention de nos amis extraterrestres.
    Une pieuvre géante attaquant un navire (illustration de 1809, Paris). Certains ont prétendu que la même chose était arrivée à la Mary Celeste 
     
    La Mary Celeste s’est échoué une dernière fois en 1885 en emportant avec elle son secret. 
     
     
    D’autres vaisseaux fantômes 
     
     En 1840, un navire français, la Rosalie, est retrouvé errant sur les flots, voiles hissées et cargaison intacte mais déserté par ses marins. 
     
    En 1850, le Seabird est découvert près du port de Newport avec seulement un chien à bord. Le café est encore chaud sur les fourneaux et les instruments de bord fonctionnent. Une odeur de tabac flotte même dans les cabines. 
     
    En 1883, la goélette J.C Cousins s’échoue sur la côte américaine. Il n’y a personne sur le navire. Dans la cuisine, le poêle est encore tiède et la table mise. Le journal de bord qui date du matin même ne mentionne rien de particulier. 
     
    En 1940, dans le golfe du Mexique, le yacht Gloria Colite est retrouvé en pleine mer alors que le temps est beau. L’équipage n’est plus là et les soutes sont pleines de vivre. 
     
    En 1953, le Holchu est découvert dérivant entre les îles Nicobar et Andaman. Un repas semblait être sur le point d’être servi ; la radio fonctionnait et pourtant l’équipage s’est envolé sans envoyer le moindre SOS. 
     
    Il est impossible de relater toutes les disparitions tant ces énigmes sont nombreuses y compris à notre époque.  
     
    Des navires modernes connaissent encore ce type d’aventure. 

    Nous n’avons aucune explication sérieuse pour expliquer ces abandons. L’absence totale de trace de lutte ou de violence exclut l’hypothèse d’actes de piraterie ou de mutinerie. La mer n’a toujours pas fini de nous fasciner.

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