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Par biribibi le 12 Septembre 2009 à 16:01
Les revenants proprement dits se distinguent nettement des fantômes : êtres de chair, dotés de la parole et de moyens d'actions, ils sont souvent nuisibles et dangereux.
Le frappeur:
Le frappeur est un défunt malfaisant qui se manifeste la nuit en venant frapper à votre porte. Lorsque vous ouvrez, il vous inflige une blessure invisible et mortelle ou bien il vous rend fou. Certains affirment que cela n'arrive que si on lui parle. Cet individu semble en fait recruter de nouveaux morts pour la communauté de l'au-delà car les croyances du temps jadis nous enseignent que les défunts se regroupent et forment des bandes menées par le mort le plus ancien, par exemple le premier disparu lors d'une épidémie.Le vampire :
Chacun connaît, et évite bien sur, ce suceur de sang qui se glisse la nuit près des dormeurs et regagne sa bière au point du jour.Il est la manifestation des esprits impurs des morts. Certaines catégories de gens deviennent des vampires après leur mort : c'est le cas des loups-garous, des magiciens, des sorcières, des pêcheurs et des impies.
Le meilleur moyen de mettre fin à ses méfaits est de le clouer dans sa tombe avec un pieu de bois de tremble ou de frêne et de procéder à une bénédiction de la sépulture. Mais, comme la plupart des revenants, les vampires sont coriaces et il faut souvent les incinérer.L'appesart :
Jusqu'au XIXe siècle, une croyance européenne parle d'un « esprit » qui se jette sur les hommes passant en certains lieux - cimetières, carrefours, chapelles abandonnées, forêt, marais - et se juchent sur leur dos. Lorsque ces vivants rentrent chez eux, l'appesart les abandonne dans un grand état de faiblesse, à deux doigts de trépasser, comme si un vampire avait aspiré leur substance vitale. Selon toute vraisemblance, il s'agit d'un pur produit de la peur de ce que l'on appelait jadis « les lieux incertains » (loca incerta), forêts refuge des âmes en peine, sépultures inconnues sur lesquelles on a marché par inadvertance, etc.L'appeleur :
L'appeleur est un revenant qui quitte sa tombe, revient dans le village toutes les nuits et appelle un habitant par son nom. Le seul moyen de mettre fin à ses errances mortifères est de l'exhumer, de le décapiter avec une bêche et, si cela ne suffit pas, de brûler son corps puis de jeter ses cendres dans une eau courante.Le mâcheur :
Très célèbre au XVIIe siècle, le mâcheur (manducator) est une sorte de mort affamé. De sa tombe sort un bruit de mastication qui entraîne de nouveaux décès dans sa famille ou dans son village, et même parfois parmi le bétail. Quand on ouvre cette tombe, on découvre qu'il a dévoré ses mains ou qu'il est en train d'avaler son linceul. Pour s'en débarrasser, soit on procède comme avec l'appeleur, soit on place une motte de terre dans sa bouche ; on peut aussi lui lier la mâchoire ou le replacer dans le tombeau face contre terre afin qu'il se procure une nourriture de substitution. Des protocoles officiels d'exhumation datant des XVIIe et XVIIIe siècles décrivent ces mesures avec précision et même la révolte du cadavre qui s'agite et crie !Le visiteur :
Il s'agit d'un mort qui ne réussit pas à se faire à son nouvel état car il n'a pu rompre les liens qui l'attachaient à son ancienne vie. Il n'est pas dangereux et la cause de son retour semble être l'amour qu'il porte aux siens. A intervalles réguliers, pendant l'hiver, il revient chez lui, mange et boit, se chauffe auprès de l'âtre, peut même avoir des rapports sexuels avec sa femme, voire reprendre pour un temps la vie commune.Formes non humaines :
Dans les croyances populaires, les revenants ne possèdent pas forcément une forme humaine. Ils peuvent se métamorphoser en animaux. Dès le XVe siècle, les bêtes évoquées sont, par ordre de fréquence, le cheval, le chien, la chèvre, le corbeau et le porc. Dans certaines traditions concernant la « chasse infernale » (un cortège de revenants qui passe sur Terre à certaines dates) comme la Mesnie Hellequin dans la France du Moyen Age, il est expressément dit que les chiens sont les âmes d'enfants morts sans baptême.
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Par biribibi le 9 Septembre 2009 à 19:19
Contes & Légendes
ans de nombreux récits, contes et légendes, la fée a été décrite sous de nombreuses apparences. Parfois à taille humaine et magicienne comme la fée Morgane du cycle arthurien, parfois liliputienne avec de petites ailes dorées comme la fée clochette de "Peter Pan", cette créature est avant tout un être de magie. Autrefois, elle était associée aux esprits élémentaires de l'eau, de la forêt, ou bien de l'air. Leur origine ne faisait qu'une avec celle des elfes car ils appartenaient tous au peuple féerique. Depuis, la Fantasy a utilisé la fée sous ces multiples formes mais nous retiendrons plutôt celle de la petite créature ailée. Sa forme de jeune humaine dotée de pouvoirs magiques fait trop penser à une magicienne et pourrait créer une certaine confusion.
Aspects physiques : La fée est une créature féminine de très petite taille, gracieuse et d'une très grande beauté. Son corps est élancé, son visage fin et bien dessiné et ses cheveux sont habituellement très longs. Elle possède des petites ailes très fines sur sont dos, pouvant avoir différentes formes, comme celles de la libellule ou bien du papillon. Sa peau est généralement blanche. Sur son passage, elle laisse apparaître une aura lumineuse.
Psychologie : Si vous avez dû mal à rencontrer une fée, c'est normal car elle est très craintive. Toutefois, lorsqu'elle vous connaît bien vous découvrirez alors une créature très espiègle et très enjouée. Elle ne pense qu'à s'amuser, à chanter et à danser. Une fée ne travaille jamais. De plus, elle est assez capricieuse et susceptible.
Habitat : Une fée peut vivre dans différents endroits aussi bien dans les sous-bois d'une forêt que dans l'eau ou près d'un volcan semi-endormi. Son peuple est partout et en même temps invisible s'il ne veut pas être vu. En hiver, c'est dans des souches d'arbres ou des grottes chaudes que la fée réside avec ses pareilles.
Alimentation : Une fée n'a pas besoin de se nourrir car elle est constituée de magie. Elle ne peut donc mourir que si l'on aspire ou détruit la magie qui l'a crée.
Autre définition pour les Fées
Dons & Capacités : Grâce à ses petites ailes, la fée peut voler. Elle dispose de pouvoirs magiques comme la poudre de fée permettant à n'importe quelle créature de voler durant un certain laps de temps. Elle a aussi la possibilité de changer de forme mais pendant un temps limité. Il est souvent arrivé qu'elle prenne l'apparence d'une très belle jeune femme pour conquérir le coeur d'un humain dont elle s'était éprise. Ses pouvoirs ne s'arrêtent pas là car elle peut comunié avec les esprits de la nature comme ceux de l'air, de l'eau ou de la forêt et leur demander leur aide si besoin.
Us & Coutumes : Une fée vivant en forêt prendra soin de celle-ci en s'occupant des différentes fleurs et plantes qui tapissent son sol. C'est la plupart du temps grâce à elle que l'on peut admirer de superbes clairières fleuries au détour d'un chemin. De plus, c'est dans ce genre d'endroits que les fées se réunissent pour faire la fête. Les plus chanceux peuvent alors contempler un magnifique spectacle, celui de dizaines de fées auréolées de lumière traçant dans l'écrin du soir des arabesques de lumière.
Société : La fée vit toujours en groupe de plusieurs individus de son espèce. Elle peut ainsi partager avec d'autres fées sa passion pour la danse, le chant et les jeux. Il existe une hiérarchie au sein des fées avec en son sommet une reine. C'est cette dernière qui prend les décisions les plus importantes pour son peuple. C'est souvent la plus ancienne et la plus puissante d'entres toutes. Les autres fées lui obéissent aveuglément car elles la considèrent comme la plus sage.
Politique : Ses ennemis sont tous ceux dont le cœur et l'âme sont corrompus par le mal. Soit la fée use de ses propres pouvoirs magiques, soit elle fait appel aux esprits de la nature pour débarasser toute créature menaçant son territoire. Quant à ses amis, elle les traite avec amitié mais aussi avec prudence. La fée fait très rarement confiance à une créature non fééerique. Elle restera toujours un peu méfiante. Son amitié est donc difficile à obtenir.
Commerce : Il n'existe aucun commerce car la fée ne travaille pas. Elle n'a rien à vendre et ce qu'elle désire avoir, elle le vole ou parvient à se le faire offrir. Elle est très maligne quand elle veut parvenir à ses fins.
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Par biribibi le 8 Septembre 2009 à 15:59
Le mot français sorcière dérive du latin vulgaire sortarius proprement « diseur de sorts », du latin classique sors, sortis, désignant d’abord un procédé de divination, puis destinée, sort. Le mot qui les désigne en allemand est Hexe dérivé du grec ancien aix, chèvre, évidente référence à un monde pastoral. Bruja, en espagnol provient du terme ibère bruixa, et plus précisément du galicien bruxa. Le mot anglais witch a des origines plus controversées mais parait bien provenir d’un radical wikstryx, en latin striga -ae d’où dérive le vocable médiéval stria, strega en italien, estrie en français. d’origine tant celte que germanique. La sorcière était appelée en grec
Une sorcière est une personne qui se dit ou que l'on croit en liaison avec le démon et qui, à ce titre, opérererait des maléfices. En anthropologie, le sorcier est une personne qui pratique la sorcellerie. Dans certaines peuplades, il joue un rôle social important. La sorcière est une femme, elle aussi adepte – ou considérée comme telle – d’une forme de sorcellerie.
LE MYTHE DE LA SORCIERE :
Autrefois symbole de la femme parfaite (amour, beauté, magie, clairvoyance...), elle fût calomniée, pourchassée et exécutée pendant l'inquisition. elle devint alors l'incarnation du mal absolu (laideur, peur, haine, malheur...).
Elle est perçue comme jeteuse de sorts, empoisonneuse ou avorteuse. Rejetée, elle vit en dehors des villages, dans la misère. Mystérieuse et inquiétante, elle avoue être la maîtresse du Diable.
Apparence
Infirme et haïe, elle ne se fait respecter que grâce à ses pouvoirs. Elle a un rire grinçant, habite une chaumière où fume un chaudron malodorant et elle se déplace sur un balai.
Petite et bossue elle a de longs cheveux filasses et de petits yeux enfoncés. Elle porte une cape et un fichu noirs, un chapeau à larges bords, des mitaines et des bottines. Elle est généralement accompagnée d'un chat noir.
Pouvoirs
Elle tire ses pouvoirs d'antiques grimoires, et à force de concentration peut tuer de son simple regard.
Pour appeler le Diable, elle trace un cercle et se place en son centre. Elle utilise Mandragore, Belladone, Jusquiamine, Ciguë, Stramoine,...
Extrêmement jalouse, elle s'acharne tout particulièrement sur les belles jeunes filles.
Fidèles serviteurs
Ses serviteurs, outre le chat noir, sont des taupes, souris, lièvres, abeilles,... Le corbeau est son espion dans les airs, l'araignée, perchée sur son oreille, lui donne des conseils et le crapaud se faufile là où elle ne peut rentrer.
Balai
Son balai lui a été remis par Satan en personne lors de son premier Sabbat. Il est généralement fait de rameau de genêts, méticuleusement enduit d'un onguent et agrémenté d'une chandelle. Pour le conduire, elle le chevauche en chantant :
"Bâton blanc, Bâton noir,
Mène-nous là où tu dois
De par le Diable !"
A noter : Baba Yaga, sorcière russe qui habite dans une petite maison montée sur pattes de poules, ne voyage que sur son chaudron volant, délaissant l'inconfort des balais.
Le balai nettoie tout seul la maison de la sorcière. Pour voler il faut qu'elle s'enduise d'un onguent magique avant d'enfourcher son balai, chaudron ou autre animal.
Petites habitudes de sorcières :
Elles entrent dans les maisons par les fenêtres et en sortent par la cheminée.
Elles ne mangent de la chair humaine que très cuite et évitent le sel qui a des propriétés d'exorcisme.
Elles portent des bijoux à base de peaux, d'ossements, d'yeux... tant humains qu'animaux.
Elles cultivent des plantes venimeuses dans leur potager.
Elles collectionnent les statuettes en terre à l'effigie des enfants qu'elles ont capturés.
Comment réagir face à une sorcière ?
Pour conjurer un sort, il faut immédiatement tendre le bras en direction de la sorcière en faisant le signe : majeur et annuaire repliés sous le pouce sur la paume, index et auriculaire pointés en avant.
Lui faire les cornes avec les doigts.
Si une sorcière vous tape l'épaule, il faut tout de suite se taper la tête. Si elle vous tape la tête, élever les mains et de l'une frapper l'autre pour rompre le charme.
Le SABBAT
Il a lieu certains mercredis et vendredis vers 22h. seules les créatures démoniaques sont sensibles à son appel.
Le sabbat a généralement lieu près d'un monument mégalithique ou des ruines. Là, le Diable accueille des hôtes transformé en bouc noir. La célébration est une parodie de tous les usages sociaux et moraux.
Après la messe, un immonde banquet est servi où l'on s'empiffre, on rote et on fait grand vacarme pendant que le Diable copule avec chaque sorcière. Cela dure jusqu'à l'aube.
Les plus grand Sabbats ont lieu durant les nuits des 21 mars, 30 avril, 21 juin, 23 septembre, 31 octobre pour l'Halloween et 21 décembre.
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Par biribibi le 8 Septembre 2009 à 12:06
Le terme « fantôme » inclut beaucoup de choses, du poltergeist (le méchant esprit frappeur) aux vampires, l’imagination des humains sur le sujet… est sans fin. On les appelle aussi spectres, revenants, ectoplasmes, âme errante, succubes ou incubes… les synonymes ne manquent pas !
Le « fantôme » serait une vision d’une personne décédée, une sorte de créature surnaturelle prisonnière sur terre ou revenante de l’Au-delà, du Royaume des morts.
Les « fantômes » sont parfois mauvais (ils reviennent pour accomplir une vengeance) ou bons (ils aident leurs proches à un moment critique de leur vie). Il arrive aussi que le fantôme n’ait d’autre but que d’errer sur terre, éternellement, en punition de ses mauvaises actions.
L’origine même du mot « fantôme » remet en doute leur existence supposée. « Fantôme » s’inspire du « fantasme » ou de la « fantaisie », c’est déjà une piste.Il est difficile de dater précisément la naissance du mythe des fantômes, tant leur histoire est étroitement liée aux hommes, depuis la nuit des temps.
Les civilisations les plus reculées, aujourd’hui disparues (Mésopotamiens, Grecs, Romains) croyaient déjà à la survie de l’âme après la mort. Certaines d’entre elles célébraient de véritables cultes aux morts et les invoquaient pour communiquer avec l’Au-delà.
Le mythe des fantômes connaît son apogée au Moyen-âge lorsque le romantisme les remet au goût du jour. Ils hantent alors les romans et les poésies de nombreux grands auteurs qui n’en finissent plus de faire frissonner de plaisir leurs lecteurs.
La fin du 19e siècle marque un nouveau tournant. Ce sont désormais les scientifiques qui s’y intéressent. Ils sont parfois très réputés, comme Charles Richet, prix Nobel de physiologie et médecine en 1913. Il sera l’un des pionniers de l’étude scientifique des phénomènes dits « paranormaux » ou « surnaturels », parvenant à réaliser, au cours de séances spirites dirigées par d’éminents médiums, des photographies et même des moulages de fantômes que l’on appelle « ectoplasmes ». C’est à cette époque aussi qu’est créé l’Institut métapsychique international, l’IMI, qui devient alors le premier centre de recherche scientifique à s’intéresser à ces étranges apparitions.
Le début du 20e siècle voit arriver la psychiatrie qui s’empare à son tour du mythe des fantômes et l’étudie. Les âmes errantes quittent alors les cimetières et les maisons hantées pour occuper la tête des gens ; pour la majorité des scientifiques aujourd’hui, les visions dites « fantomatiques » découlent surtout de problèmes psychologiques, voire psychiatriques… même si quelques rares cas demeurent encore suspects et offrent toujours matière à de longues recherches scientifiques.Il existe des sciences bien particulières qui étudient les phénomènes paranormaux : la « métapsychologie » et la « parapsychologie ». Les chercheurs qui s’y intéressent considèrent donc que ces phénomènes sont « observables », « intrigants » et peuvent ainsi donner lieu à une science.
Les métapsychologues ou parapsychologues sont les premiers critiques des thèses surnaturelles. Leur rôle n’est pas de « prouver leur existence » mais plutôt de « s’intéresser à la question ». D’ailleurs, aujourd’hui, la très grande majorité de la communauté scientifique n’admet pas la réalité des fantômes, tout simplement parce qu’il n’existe pas, actuellement, de preuve formelle de leur existence.
Les premières recherches scientifiques sur les fantômes remontent à la fin du 19e siècle.Si la très grande majorité des scientifiques réfute les fantômes, ils ne remettent pas systématiquement en cause la « réalité de l’apparition » ; en clair, le témoin n’a peut-être pas menti mais « mal interprété » la situation ; il peut réellement avoir eu la « sensation » de « voir un fantôme ».
Plusieurs choses peuvent expliquer ces « visions surnaturelles » :
- Les images eidétiques : ces « souvenirs visuels » reviennent à la mémoire de certaines personnes sous forme de réelles hallucinations. La personne concernée a véritablement le sentiment de « vivre » cette scène.
- La paralysie du sommeil : des études récentes indiquent que 25% de la population expérimente une fois dans sa vie ce phénomène qui intervient durant le sommeil paradoxal (à l’endormissement ou au réveil). Pour schématiser, le cerveau se réveille mais ne donne pas le signal au corps d’en faire autant. La personne est consciente mais ne peut pas bouger. Cet état est habituellement accompagné d’hallucinations sonores et visuelles, qui prennent place dans l’environnement ordinaire du dormeur, les rendant encore plus réalistes et difficiles à détecter. La paralysie du sommeil se dissipe par elle-même après quelques minutes, tout au plus.
- Le problème de corrélation : le fait d’emménager dans une vieille demeure lugubre ou – pire – dans une maison réputée hantée, peut « conditionner » le témoin ; il sera sûr que sa maison est habitée par des fantômes et finira par les « voir » ou les « ressentir » (mais on est loin d’avoir démontré le contraire, à savoir que les expériences fantomatiques sont obligatoirement provoquées par les caractéristiques physiques du lieu).
Malgré tout, il reste quelques témoignages réellement suspects, relatés par des personnes dignes de foi (corps de gendarmerie ou services de secours par exemple) et non sujettes aux phénomènes cités plus haut. Ce sont ces cas-là qui font l’objet d’études scientifiques sérieuses.En 1990, un sondage Gallup réalisé aux Etats-Unis indique que 14% de la population américaine se serait déjà rendue dans une « maison ressentie comme hantée » et 9% des Américains déclarent avoir déjà « vu ou ressenti la présence d’un fantôme » au cours de leur vie.
En France, un sondage plus récent affirme qu’entre 10% et 20% de la population croit aux fantômes, revenants et autres manifestation de l’Au-delà. Cette proportion n’a pas évolué depuis plusieurs dizaines d’années.
Ces chiffres ont été disséqués par des spécialistes qui peuvent désormais affirmer que :
Les femmes sont plus exposées aux phénomènes surnaturels que les hommes.
Les personnes non qualifiées voient moins de fantômes que les personnes qualifiées.
Les fantômes font tellement peur Outre-Atlantique que les habitants de l’état américain du Connecticut sont allés jusqu’à voter une loi sur les « biens immobiliers psychologiquement chargés ». Cette loi oblige toute personne souhaitant vendre une maison à révéler aux acheteurs le « passé psychique » de la demeure ; autrement dit, si l’habitation a été la scène d’un drame ou si des phénomènes surnaturels y ont été vus ou ressentis.
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Par biribibi le 6 Septembre 2009 à 15:58
Cette créature s'inspire de la momie égyptienne. Cette dernière a une longue histoire. Dans l'Egypte ancienne, on embaumait les morts issus de castes riches et importantes (pharaon et prêtres par exemple). Le corps baigne dans une solution de carbonate de soute qui permet de préserver le corps. Ensuite, on retire les organes internes comme le coeur, le foie, ou le cerveau que l'on enferme dans des amphores. Le corps est ensuite recouvert de bandelettes et enfermé dans un tombeau de pierre.
Aspects physiques : Une momie est aisément reconnaissable. Elle est recouverte de bandelettes de lin. Seuls ses yeux, ses narines et sa bouche sont découverts. Sa force est phénoménale. Quand à sa démarche, elle est lente et hésitante. Elle avance les bras levés devant elle. Elle est considérée comme une créature mort-vivante car son corps est mort.
Psychologie : Cette créature est motivée par deux choses : se venger ou protéger un endroit/trésor qui lui tenait à coeur. Elle fera tout pour accomplir sa mission. En tant que créature mort-vivant, elle ne redoute plus la mort et peut combattre sans peur. Une momie peut être assujettie par des nécromanciens ou sorciers très puissants. Autrement, la momie ne sert personne. Son esprit est ce qui la retient au monde des vivants. Il peut être celui d'un sorcier ou d'un guerrier. C'est-à-dire que la momie pourra user de pouvoirs magiques selon sa nature d'origine. Un ancien guerrier deviendra une simple momie guerrière alors qu'un prêtre deviendra probablement une momie magicienne.Habitat : Les pyramides et les cryptes sont ces lieux de prédilection. Ce sont les lieux où la créature a été enterré de son vivant. Son pouvoir étant issu de son esprit et ce dernier étant rattaché aux souvenirs du passé, la momie ne s'éloignera jamais de son tombeau.
Alimentation : Nulle nourriture ne lui est nécessaire. C'est une créature surnaturelle.
Dons & Capacités : La momie possède une force incroyable. De son poingt, elle peut briser la pierre, alors imaginer un corps humain ! Elle est aussi d'une très grande résistance physique. Il est très difficile d'en venir à bout, seuls les armes magiques étant efficaces. Néanmoins, je vous conseil d'user du feu et de trouver les amphores où reposent ses organes. En détruisant ces derniers vous affaiblirez la momie. Méfiez-vous aussi de ses sortilèges, elle peut invoquer des squelettes ou d'autres momies, vous immobiliser ou bien vous endormir.
Politique : Elle peut avoir quelques alliés mais ce sont la plupart des créatures qu'elle invoque comme des squelettes ou d'autres momies moins puissantes. Elle ne sert que sa vengeance ou sa mission.
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