• Mois  : mars
    Saison : printemps
    Délai : 3
    Valeur : positive

    La spiritualité, la clairvoyance, l’harmonie, le coeur et son chakra, la vue

    Amour : relation platonique, sentiments élevés et sincères

    Argent : stabilité, finances saines

    Travail : domaine religieux ou ésotérique. Prestige, stabilité. Le consultant a trouvé sa place.

    Spirituel : aspiration spirituelle profonde et sincère, pratique régulière et sérieuse.

    Associations :
    - avec le 1 Alpha : illumination
    - avec le 14 Homme : prêtre, guide spirituel
    - avec le 17 Energie : guérison, magnétisme
    - avec le 29 Elévation : rêves prémonitoires
    - avec le 37 Lumière : dons médiumniques
    - avec le 40 Malheur : décès, enterrement (dit le livre, je vois plutôt le refus de la spiritualité et les souffrances qui en découlent)
    - avec le 54 Mort : décès, enterrement (selon le livre, je parlerais plutôt d’initiation à des mystères occultes et de messages de l’au-delà)


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  • Mois  : avril
    Saison : printemps
    Délai : 4
    Valeur : négative

    L’hypocrisie, la traitrise, la langue, les amygdales

    Amour  : sentiments qui ne sont pas partagés, mésentente, il ne faut pas s’investir
    Argent : situation difficile, faux en écritures, finances mal gérées, surendettement
    Travail : détournement de fonds, vols, délits
    Spirituel  : refus d’affronter la vérité, se mentir à soi-même ou être mal conseillé
    Associations  :
    - avec le 3 Delta : fanatisme, sectes
    - avec le 5 Eau : le consultant se surestime
    - avec le 6 Racine : grandes mésententes familiales
    - avec le 8 Nadir : entourage peu recommandable
    - avec le 10 Réussite : réussite malhonnête
    - avec le 11 Tentation : séducteur (séductrice) à la moralité douteuse
    - avec le 12 Sceau : contrat douteux, faire attention à ce qu’on signe
    - avec le 13 Pénitence : la malhonnêteté est sanctionnée
    - avec le 15 Amour : infidélité
    - avec le 20 Erreur : mythomanie qui est révélée au grand jour
    - avec le 21 Bénédiction : accords remis en question
    - avec le 24 Richesse : secrets financiers pas très nets
    - avec le 29 Elévation : les mensonges vont trop loin
    - avec le 32 Illusion : le consultant est complètement manipulé
    - avec le 37 Lumière : personne qui prétend avoir du pouvoir et qui n’en a pas tant que ça, se méfier
    - avec le 38 Arme : faux témoignage, procès
    - avec le 39 Message : inutile d’attendre des nouvelles qui ne viendront pas
    - avec le 41 Equité : tendance hypocondriaque
    - avec le 44 Foudre : les mensonges du consultant sont mis à jour et le retour de bâton est violent
    - avec le 50 Papyrus : contrat douteux ou qui ne se concrétise pas
    - avec le 52 Silence : ignorer les médisances et poursuivre son chemin, ne pas entrer dans le jeu de ses adversaires
    - avec le 55 Fusion : infidélité


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  • Beaux jours, impatient espoir.
    Les gens s’en vont par les prés embaumés,
    Y voit-on la main de Moïse ?
    Sent-on le souffle de Jésus ?

    Les gens voudraient la connaissance.
    Les uns cherchent le chemin,
    Les autres croient l’avoir trouvé.
    Puis on saura qu’il n’est pas de chemin.

    Astres et fleurs, vos solitudes !
    Laisse les gens
    Laisse leurs malheurs et leur fêtes,
    Passe à l’écart.

    Ferme le livre,
    Regarde le ciel et la terre.
    Donne aux pauvres, pardonne à tous.
    Ne nuis pas, cache ton sourire.

    Alors ? L’auberge ou le jardin ?
    Un oiseau passe. Il est passé,
    Perdu dans un azur torride.
    La nostalgie dans l’ombre fraîche.


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  • A la bonne heure !
    C’est-ce vieux Job que je veux dire.
    Bravo il s’est en fin trouvé quelqu’un à la fin
    Pour dire carrément son fait au Tout puissant :
    Regarde moi dit-il et ne fait pas semblant
    De ne pas me voir. Alors ?
    C’est comme ça qu’on se conduit
    Avec les innocents ?
    Moi Job, je ne me sens coupable de rien,
    Même s’il est vrai que j’aie pêché,
    L’importance que ça a,
    Tu aurais bien de la peine
    A me la démontrer.

    Mais à la place que tu occupes,
    C’est toi, n’est-ce pas ?
    Qui est responsable du monde,
    Quand on voit comment cela fonctionne
    (Après tout nous ne pouvons voir l’heure
    Qu’à notre montre)
    Nous donner un tel spectacle, ma parole !
    Moi à ta place j’aurais honte.

    Les prêtres ont beau parler
    De coïncidences malheureuses,
    Ca ressemble trop à un système
    Cette espèce de complicité ténébreuse.
    Plus que cela ! Pour tes ennemis
    J’appelle ça une préférence scandaleuse.
    Et encore, j’ai tord de parler de système,
    Un système j’aimerais mieux ça,
    Une ligne de conduite suivie,
    L’injustice jusqu’à la gauche
    Et à tour de bras !
    Pas du tout !

    On ne sait pourquoi tout à coup,
    De nouveau il arrive que tu es notre père.
    Et comment est-ce que tu t’y es pris
    Pour t’arranger de nouveau ainsi
    Avec ce monstre en nous
    Qui sanglote et qui espère ?
    La justice m’est devenue de faible prix
    Au prix de cette injustice que tu m’accordes.
    Qu’est-ce que c’est de ta part,
    Sans rime ni raison,
    Que cette explosion imbécile de miséricorde ?
    Allons ! Le moment est venu,
    Rends tes comptes,
    Tâche moyen un petit peu
    De nous expliquer cette espèce de monde
    Que tu as fait.

    Et le Seigneur, il baisse la tête, répond :
    Pardon Job,
    Je ne l’ai pas fait exprès.


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  • Mon petit garçon avec ses yeux pensifs
    Ses gestes et ses mots tranquilles de grande personne
    M’a désobéi pour la septième fois,
    Et je l’ai frappé, je l’ai renvoyé
    Durement sans l’embrasser,
    Car sa mère qui était patiente est morte.
    Puis j’ai eu peur que le chagrin l’empêche de dormir
    Et j’ai été le voir dans son lit,
    Il était dans un profond sommeil
    Paupières battues et cils encore mouillés
    De son dernier sanglot.
    Alors, ému, je l’ai embrassé
    Et mes larmes remplaçaient les siennes
    Car sur une table tirée à son chevet,
    Il avait mis à portée de sa main
    Une boîte de jetons et une pierre veinée de rouge,
    Un bout de verre usé par la plage
    Et six ou sept coquillages,
    Une bouteille avec des campanules
    Et deux sous français, le tout rangé avec soin
    Pour consoler son pauvre cœur.
    Et ce soir là, dans ma prière,
    J’ai pleuré, j’ai dit à Dieu :
    Ah, quand à la fin nous serons couchés sans un souffle
    Et que, morts, nous ne te blesserons plus,
    Tu te rappellera de quelles babioles
    Nous avons fait nos joies
    Et comme nous avons peu compris
    Ta grande loi de bonté.
    Alors tu ne seras pas moins père
    Que moi dont tu as pétri l’argile,
    Tu laisseras ta colère, tu diras :
    Voyons, ce sont des enfants !


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