• Est-il possible que des extra-terrestres aient atterri en Chine il y a très longtemps suite à l'écrasement de leur vaisseau spatial et s'y soient installés ?


    Des scientifiques et des archéologues ont étudié des tombes, des restes, et d'étranges objets, un ethnologue en a discuté avec leur descendants, un linguiste a traduit leur récit... Mais aucune étude récente ne s'est intéressée à cette affaire incroyable, qui pourrait bouleverser tout ce que nous croyons savoir de notre histoire et de notre place dans l'univers.

    L'une des histoires les plus extraordinaires relative à des visiteurs extra-terrestres débute en 1938 alors que l'archéologue Chi Pu Tei découvre une série de tombeaux régulièrement creusés et alignés dans des cavernes artificielles des montagnes de Baian Kara Ula près de la frontière Sino-Thibétaine. Entre des décorations montrant de petits êtres coiffées de casques, des étoiles, des planètes et des lignes qui les joignent, il trouva de petits squelettes aux larges crânes. Il fut vite évident que les étranges squelettes n'étaient pas ceux d'une espèce inconnue de singe, lesquels n'enterrent pas leur morts!

    On trouva également des objets de pierre contenant des traces de métaux incongrues, parfaitement circulaires et ornée de symboles stellaires et d'une écriture minuscule en spirale. Ce n'est qu'en 1962, qu'un linguiste Chinois réussit à traduire le texte d'un des 700 disques entreposés à l'Académie de Pékin. Cette traduction nous rapporte l'histoire d'un groupe d'êtres qui se sont écrasés sur la Terre il y a 12.000 ans et qui se sont trouvés incapables de réparer leur vaisseau.

    Ce groupe fut d'abord traqué, à cause de son apparence inhabituelle, par la tribu de chasseurs qui occupait les lieux, mais finit à force de gestes pacifiques à se faire accepter et à s'installer en paix. Cette traduction fur largement ignorée ou moquée par les collègues du traducteur, car elle ne cadrait vraiment pas avec les idées que l'on pouvait alors accepter.

    En 1938 dans les montagnes de Bayan Kara Ula, dans l'Himalaya à la frontière de la Chine et du Tibet, une équipe d'archéologues Chinois entreprit de fouiller systématiquement une série de cavernes interconnectées.

    Leur intérêt pour ces lieux avait été éveillé par la découverte d'une série de tombes alignées avec soin qui contenait des restes de squelettes de ce qui devait bien être un race d'être humains inédite. Leurs corps étaient petits et frêle, leur tête largement plus grande que des têtes normales, au point qu'on crut d'abord avoir découvert une espèce inconnue de singes, jusqu'à ce que l'absurdité de l'idée de singes qui creusent des tombes décorées pour enterrer leur morts exclue cette possibilité.

    Etudiant un des squelettes, l'un des membre de l'expédition trébucha sur un disque de pierre enfoui dans le sol poussiéreux de la caverne. L'objet évoquait une sorte de disque phonographique préhistorique. Un trou parfaitement circulaire en son centre, et un sillon spiralant de petits caractères inconnus.

    Personne ne put comprendre le sens du texte, le disque fut étiqueté et expédié en compagnie d'autres découvertes vers Pékin, ou quelques experte s'acharnèrent pendant 20 ans sans succès à les décoder, jusqu'à ce que finalement le docteur Tsum Um Nui comprit cette écriture inconnue et se mit à le déchiffrer. L'Académie des Etudes Préhistoriques de Pékin lui interdit de mentionner et de publier son travail, il outrepassa cette interdiction deux ans plus tard.

    Le texte racontait l'histoire d'une "sonde spatiale" pilotée par les habitants d'une autre planète qui s'écrasa dans les montagnes de Baya Kara Ula. Leurs intentions pacifiques ne furent pas immédiatement claires pour la tribu de chasseurs troglodytes qui occupaient les lieux, qui tuèrent encore de nombreux survivant, effrayés qu'ils étaient par l'aspect inhabituel de ces êtres.

    Ceux-ci se présentèrent comme les "Dropas", et à force de signes finirent par convaincre de leurs intentions pacifiques, expliquant qu'il venaient "des nuages" et qu'ils n'avaient aucun moyen de réparer leur véhicule ou d'en construire un autre.

    En 1965, 716 autres disques gravés furent trouvés dans les mêmes cavernes. Les légendes de la région mentionnent des petits hommes jaunes venant des nuages, ayant de grosses tête et des corps très frêles, si horribles qu'ils étaient pourchassés et tués.

    Sur les parois étrangement lissés des cavernes, on trouva des dessins précis du soleil, de la Lune, de la Terre et de plusieurs étoiles identifiables telle Sirius, avec des lignes en pointillés qui les joignent entre elles. Ces dessins ont été datés de 12.000 ans avant nos jours.

    La zone des cavernes est toujours habitée par deux tribus semi-troglodytes connues comme les Han et les Dropa ou Dzopa. Les deux tribus sont d'apparence très étranges, de corps fragiles, d'une taille dépassant à peine le mètre pour les adultes, des têtes disproportionnées et de grands yeux à l'iris bleu. Ils ne sont ni typiquement Chinois ni Thibétains.

    En Russie, plusieurs disques furent examinés. Il fut montré qu'ils contiennent de grandes quantité de Cobalt et d'autres substances métalliques. Placés sur une table tournante, Ils émettait un bourdonnement bas, comme s'ils avaient une activité électrique.

     


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  • Il y a dans notre monde des objets qui ne devraient pas exister. Pas que ces objets soient ''insaisissables'', trop moches, ou étheriques comme les fantômes ; non.

    Seules nos connaissances, mises bout a bout, de notre Histoire, rendent certains Artefacts extrémement génants; une trop forte rigidité dans ce que nous avons admis du passé peut se transformer, dans l'études d'objets atypiques, en une véritable bombe. De celles qui explosent sans bruit, en détruisant pour la population une information qui aurait pu engendrer surprise, étonnement, questionnement, indignation, colère, révolte.
    Parlons un peu de Anna Le Guillon Mitchell-Hedges et de son père Frederick Albert Mitchell-Hedges, qui, en 1924, découvrirent dans les ruines d'un temple de la cité Maya "des pierres tombées" à Lubaantùn, au Belize, un crâne de cristal absolument stupéfiant , en deux parties; la machoire, et le crâne. Frederick a lui-même fait cette déclaration figurant dans son autobiographie : "...J'ai mes raisons pour ne pas révéler comment il parvint en ma possession.(...)Il est vieux de 3600 ans et selon la légende servait aux prêtres mayas pour accomplir des rites ésotériques.".
    Peut-on alors penser a un objet dont l'usage aurait servait aux civilisations pré-incaiques a se souvenir de leurs origines ?

    Une découverte qui , finalement, n'est pas si spectaculaire que cela a première vue ; pas de mécanismes apparents, pas de technologie apparente , pas de taille démesurée ou d'apparâts en Or.... une simple découverte d'un crâne, dont la confrontation avec nos techniques d'analyse et d'étude nous met face a des constats trés interessants. Commencons par ses propriétés optiques:

    Si il est éclairé par le dessous, la lumière jaillit par les orbites. Frappé à l'arrière par les rayons du soleil, un faisceau lumineux intense ( susceptible de mettre le feu ) jaillit des orbites, du nez et de la bouche.

    Anna, qui posséde le crâne a cette époque, tellement certaine de son authenticité, acceptera de soumettre cet objet incroyable a une équipe de scientifiques spécialisés dans la cristallographie de la société Hewlet-Packard. Rappelons , a ce titre, que Hewlet-Packard fût désigné comme spécialiste pour une raison trés simple; le domaine informatique , utilise de nos jours le cristal pour ses propriétés de stockage et piezo-electriques.
    Les conclusions de l'équipe de scientifiques furent les suivantes:

    Il est constitué d'un quartz naturel extrêmement pur, du dioxyde de silicium "piézo-électrique" anisotrope, et les deux morceaux sont taillés dans le même bloc de cristal de roche. Il n'y a aucune trace d'instrument, ni marque microscopique quelconque, c'est pourquoi, sans trace d'usinage, il est impossible de dater sa fabrication ( le cristal ne vieillit pas ).

    Avec une technologie moderne au diamant il faudrait un an de travail pour obtenir l'aspect extérieur ( avec des traces d'usinage, ce que ce crâne n'a pas ), quant aux effets prismatiques, leur reproductibilité est encore plus difficile. La fabrication manuelle aurait requis 300 années de labeur continu .....

    Avec une technologie moderne au diamant il faudrait un an de travail pour obtenir l'aspect extérieur ( avec des traces d'usinage, ce que ce crâne n'a pas ), quant aux effets prismatiques, leur reproductibilité est encore plus difficile. La fabrication manuelle aurait requis 300 années de labeur continu .....

    En 1966 certains scientifiques accepteront, ainsi que les propriétaires des crânes de crisal découvert jusqu'alors, de procéder a des études sur ces objets, dans le cadre du prestigieux British Museum ; le crâne de Sha-Na-Ra, le crâne appelé Max, et enfin le crâne à la croix reliquaire. S'ajoutent a ces trois sujets d'étude deux autres; celui du British Muséum et celui du Smithonian Institute. Le crâne du British Muséum et celui du Smithonian Institute portent des traces d'usinage. Concernant le crâne à la croix reliquaire, les dents ont été retouchées ainsi que le trou que les espagnols ont fait pour y introduire la croix.
    Les expertises menées pour Max et Sha-Na-Ra, en revanche, s'est soldé par un silence de mort des équipes scientifiques. Bien entendu, comme dans de nombreux musées ayant été confronté a des artefacts atypiques ou textes anachroniques, les autorités du British Muséum refusent obstinément non seulement de livrer leurs conclusions mais également de dire pourquoi .

    Selon la légende indienne, il existerait 13 différents crânes. Ces derniers possèderaient d’importantes informations sur les origines de l’humanité, sur son destin et sur la plupart des mystères entourant la vie dans l’univers. Selon la légende Maya, ce sont les Itzas, des hommes venus de l’Atlantide, qui auraient apporté les crânes avec eux. Il est intéressant à noter que le peuple Atlante a toujours fait parti des légendes et croyances transmises par les Mayas. Ces crânes pourraient parler, même chanter, et possèderaient de nombreux autres pouvoirs une fois tous réunis ensemble. A l’origine il aurait existé 12 mondes dans lesquels la vie humaine aurait été présente. La terre était connue pour être le plus jeune monde d’entre tous. Des anciens, venus du ciel, auraient apportés ces crânes sur la terre et auraient fait don de leurs connaissances aux hommes, les aidant également à construire quatre grandes civilisations soit l’Atlantide, Lémurie, Mieyhun et Mu. Les 13 crânes auraient été gardés dans une grande pyramide par les Olmèques, les Mayas et finalement par les Aztèques. Ces derniers seraient les responsables de la dispersion et de la perte des crânes de cristal.

     


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  • Nous mourrons chaque jour et nous ne nous en rendons pas compte.

    Biologiquement, à bien y regarder, plus rien n'existe de ce qu'était notre corps physique il y a sept ans à peine. Toutes nos cellules se sont renouvellées à notre insu tandis que nous continuons à nous agiter sans la moindre conscience de ce phénomène naturel que nous vivons ou que nous mourrons en permanence... En un mot, nous vivons à chaque instant notre propre mort physique.

    Evidemment, ce curieux constat semble n'avoir aucune relation directe avec la mort telle que chacun se la représente, la voit ou l'éprouve lors de la disparition d'un être cher. Attendue ou subite, la mort nous renvoie toujours à nous même : en premier lieu par la tristesse, le vide et la souffrance intérieure qu'elle fait naître en nous ; ensuite et surtout parce que, brusquement, toutes nos certitudes terrestres vacillent devant son insondable mystère.

    La mort fait peur, la mort intrigue et interroge, la mort déconcerte.
    A l'image du noir et du blanc, la mort serait-elle l'opposé de la vie ? Mais au fait, qu'est-ce que la vie, d'où vient-elle et comment se manifeste-t-elle à travers les êtres vivants ? Ces questions que la plupart ont abandonné aux débats des philosophes et des religieux en se contentant simplement de vivre leur vie quotidienne, deviennent tout à coup d'une cruelle réalité. Et finalement, n'est-ce pas de cette Réalité dont il faudrait parler en premier lieu ?

    Les réflexions et constats qui suivent ne s'adressent pas à ceux qui disposent déjà d'une opinion forgée et définitive (religieuse ou matérialiste) sur la question de la mort physique et de ce qu'il peut y avoir après. Ils s'adressent au lecteur libre qui souhaite avoir des éclaircissements pour édifier sa propre opinion en s'appuyant sur des faits dont plus personne ne peut contester raisonnablement aujourd'hui l'existence.

    L'observation de la nature par la science nous apprend, comme nous l'ont d'ailleurs transmis avec d'autres mots les anciennes Traditions, que tout dans l'univers visible et invisible procède d'une seule et même énergie fondamentale.

    Cette énergie se transforme en modalités ou " plans" d'existence propres disposant de propriétés et caractéristiques spécifiques. Il en est ainsi des particules élémentaires aux structures les plus complexes que nous connaissions. C'est de l'imbrication et de la combinaison de ces "plans" hiérarchiquement organisés (atomique, moléculaire, cellulaire, tissulaire, organiques) que naîtront les différentes formes d'expression de ce que nous nommerons, pour simplifier, la matière dont nous sommes composés laquelle témoignera à son tour de la Vie qui nous anime.

    Outre l'admirable et constante harmonie dont elle est le miroir à travers l'étendue de toutes ses composantes, de l'infiniment petit à l'infiniment grand, celle-ci (la matière), à n'en pas douter puisque nous en sommes les propres témoins, abrite, révèle et véhicule une forme d'intelligence indicible : la pensée ou encore l'esprit.

    Et ce qui semblait une simple curiosité dans notre propos introductif (nous vivons chaque jour notre mort) devient ici un élément de distinction fondamental entre ces deux aspects de la manifestation visible : la matière et l'esprit.

    L'esprit affirme en effet, par ce constat, son existence indépendante du corps physique par le fait même que sa nature n'est pas altérée, dans son principe, par les transformations de son support qui, chaque jour davantage, s'approche inéluctablement de sa fin en tant que tel.

    Ainsi, la conscience que nous avons d'être toujours identique à nous même quelque soit notre âge, tandis que notre corps subit irrémédiablement les effets du temps, témoigne de leur différence de nature.

    Cette réalité, vécue en quelque sorte "de l'intérieur" par chacun de nous, ne peut s'assimiler à celle perçue de l'extérieur, c'est-à-dire par nos semblables. Ceux-ci ne verront que les apparences de ce que nous sommes comme nous n'observerons à notre tour que les apparences de ce qu'ils sont : transformation physique, évolution de la personnalité, peut-être même diminution progressive ou rapide des facultés intellectuelles avec l'âge. Mais personne d'autre que nous-même ne pourra jamais percevoir cette flamme intérieure qui nous anime et solidarise tous les éléments, visibles ou non, dont nous sommes constitués : l'esprit que les hommes ont qualifié de tant de noms divers.

    Ainsi, le corps n'apparaît être qu'un vêtement organique de l'esprit. Il passe, change et se désagrège tandis que l'esprit demeure.
    La mort physique n'est autre que la désolidarisation des différents plans dont nous avons parlé plus haut qui, à l'image d'une maison abandonnée, et donc sans âme, s'abime avec le temps pour n'être plus, au final, qu'un ensemble d'éléments disparates qui se transformeront à leur tour selon les lois physiques auxquelles ils sont soumis.

    Qu'advient-il alors de l'esprit ? Comment et de quelle manière survit-il à cette dissociation ?
    Si, comme nous venons de le voir, le temps n'agit pas sur le principe spirituel, c'est donc que ce dernier s'inscrit hors de lui et par conséquent hors de l'espace qui lui est indissociable. Dès lors, dépourvu de son véhicule terrestre, l'esprit (ou l'âme pour utiliser un autre terme sans doute plus familier) ne peut plus être perceptible à nos sens physiques ni communiquer tel que nous le faisons couramment.

    Il n'en demeure pas moins "vivant" au sens commun du terme. Simplement, cette nouvelle forme de vie s'exprime dans une autre dimension difficilement cernable par la nôtre en raison même de sa non perceptibilté et de son affranchissement au temps et à l'espace.

    Cette dimension est probablement semblable à celles tout aussi incompréhensibles à l'entendement de notre raison mais pourtant bien réelles que la physique quantique décrit aujourd'hui. Nous aurons, en d'autres circonstances, l'occasion de revenir sur l'interprétation de ces découvertes qui bouleversent nos vieilles conceptions du monde.

    Quelles preuves pouvons-nous avancer de cette vie posthume de l'esprit ?
    Nous citerons bien évidemment en premier lieu les travaux menés depuis ces trente dernières années sur les milliers de témoignages de mort imminente vécue ou de mort clinique attestée suivie d'un retour à la vie terrestre.

    Bien que dignes de foi et d'un réel intérêt quant aux processus décrits et aux conclusions qui s'imposent à leur étude, nous ne les mettrons pas en avant en tant que preuve irréfutable de la survie posthume de l'esprit. La raison en est simple : tous ces témoignages sont le fait de personnes vivantes rapportant LEUR vécu intime en rapport avec l'expérience extraordinaire dont ils ont été l'objet.

     

    En revanche, il est une autre somme considérable d'observations faites depuis des siècles qui méritent toute notre attention et sur laquelle nous fonderons la suite de cet exposé : les apparitions subites de personnes décédées et les manifestations tangibles sur la matière qui peuvent s'y associer.

    Discréditées pour des raisons essentiellement culturelle et religieuse, rejetées par une certaine science qui n'y voyait là, pour faire simple, qu'une manifestation pathologique de la pensée humaine, ces observations sont longtemps restées en dehors du champ d'investigation de nos connaissances en se voyant reléguées au rang de simples croyances populaires.

    Mais les faits étant têtus et les conceptions du monde ayant changé, les voici aujourd'hui réhabilités en tant que "probables" en lieu et place "d'impossibles".

    C'est ainsi que nous redécouvrons avec étonnement des travaux menés voici plus d'un siècle et demi par des chercheurs indépendants, l'astronome Camille Flammarion figurant parmi les plus illustres, travaux dont la pertinence s'impose à la lumière des dernières découvertes scientifiques.

    En voici l'essentiel :
    1/ - les manifestations visibles de défunts par des personnes les ayant connus ou pas, sont des manifestations objectives. Elles sont objectives parce que vues et perçues sous des formes sensibles ayant impressionnées nos sens.
    2/ - Dans la plupart des cas, l'explication hallucinatoire du phénomène peut être écartée pour deux raisons : ces manifestations sont spontanées, inattendues et non liées à une évocation quelconque de la mémoire du défunt.
    De plus, elles peuvent s'accompagner concomittament ou antérieurement d'actions directes sur la matière (chaise qui bouge, pendule qui s'arrête, objet qui tombe...) dont l'effet perdure postérieurement à l'apparition.
    3/ Les apparitions et manifestations sont relativement fréquentes dans les heures qui suivent immédiatement le décès ; leur nombre diminue à mesure que l'on s'en éloigne.

    Que démontrent ces observations ?
    1- / Le fait qu'une quelconque forme de manifestation ne soit pas sytématique dans chaque cas de mort avérée induit qu'elle ne procède pas de la même matérialité. Si tel était le cas, elle répondrait aux lois physiques de notre plan d'existence et serait, par voie de conséquence, soumise à leur influence avec, notamment, une relation de cause à effet (mort physique = apparition).

    De cela il faut conclure que l'esprit et les propriétés intrinsèques qui sy sont attachées continuent d'évoluer dans une réalité différente de la nôtre. Si celle-ci ne nous est pas visible, elle n'en demeure pas moins vraie. A cet égard, une fois encore et au risque de nous répéter, les récentes découvertes en physique fondamentale confirment cette conclusion : certaines particules élémentaires peuvent apparaître subitement, jaillies de nulle part, et tout autant disparaître dans une dimension qui échappe totalement à notre entendement. La réalité de leur existence n'en demeure pas moins pour autant effective.

    2/ - le fait qu'une apparition soit globale, c'est-à-dire que le défunt se manifeste avec l'image complète de son corps tel qu'il était de son vivant, suppose qu'un agent de coordination maintienne sa forme en l'état. Or la visibilité tangible d'une forme complexe (ou simple d'ailleurs) présente un paradoxe : elle ne peut se manifester qu'avec la matière qui la constitue (fusse-t-elle de la lumière) et l'énergie qui la modèle.

    Ceci incline à penser que dans ce type de réalité, il existe donc une "matière" plus subtile que la nôtre servant de véhicule à cette énergie animatrice et intelligente (l'esprit) puisque capable de conserver la mémoire de sa forme antérieure. Cette "matière" semble être en rapport direct avec le discours de toutes les anciennes Traditions qui l'ont qualifié tantôt de "corps de gloire", de "corps énergique", ou encore "d'aura" sans que cette liste ne soit exhaustive.

    S'il appartient à chacun de se faire sa propre conception sur la nature philosophique, religieuse ou simplement spirituelle de la mort, force est de constater que ces observations et déductions sont autant d'outils pour éclairer un tant soit peu le jugement de chacun. Car comme nous l'avons déjà précédemment dit, que nous soyons convaincus ou pas, que nous soyons pour ou contre, les faits demeurent têtus.

    Voilà pourquoi, à la lumière de ces différents constats, loin d'être définitifs, l'évolution posthume de l'esprit n'apparaît plus seulement comme une espérance mais bien comme une nécessité soumise à des lois encore inconnues mais dont la certitude s'impose tout autant que celles effectives de notre réalité.

    Le chemin est sans doute encore long avant que la Vie nous dévoile la nature de ses grands mystères. Nous les pressentons intimement et intuitivement parce qu'ils sont inscrits en nous-même. La mort en fait partie . Si elle n'était qu'un néant, il est fort probable que non seulement plus aucune vie consciente, réfléchie, n'existerait depuis longtemps mais encore l'univers lui-même n'aurait aucune chance de se manifester. Ceci n'est pas le cas. Alors...


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  • La mythologie des Dogons

    Il y a environ 300 000 Dogons qui vivent sur un plateau rocailleux du Mali. On ne sait pas grand-chose de leur passé à part qu’ils sont arrivés sur le plateau de Bandiagara entre le XIIIe et XVIe siècle de notre ère.

    Encore aujourd’hui, les Dogons vivent paisiblement dans leurs villages de pisés dressés face à la plaine du Niger.
    Au pied de ces falaises escarpées, ce peuple vit au rythme des saisons, chacune étant honorée de danses rituelles.

    Les Dogons pourraient être un peuple bien ordinaire si leur cosmogonie n’était pas si surprenante.

    La vie des Dogons est imprégnée des mythes venus du fond des âges. Leur dieu créateur, Amma, a lancé des boulettes de terre dans l’espace, où elles se sont transformées en étoiles.
    Amma a ensuite modelé deux poteries blanches symbolisant le Soleil et la Lune.

    Selon leur mythologie, Amma a tiré la Terre d’un boudin d’argile. Huit nommo, des petits génies aux yeux rouges et au corps vert sont nés de cette argile.
    Ils ont donné naissance à huit familles qui sont devenues les huit tribus du peuple Dogon.

    Ces mythes deviennent intéressants quand les Dogons affirment que les huit nommo viennent de Sirius.
    De plus, les Grands prêtres savent depuis fort longtemps que Sirius est accompagnée d’une autre étoile, baptisée par les astronomes Sirius B.

    Ce qui est extraordinaire c’est que depuis plusieurs siècles, toute la cosmogonie des Dogons est commandée par Sirius B.
    Or, cette étoile n’a été découverte qu’en 1836 et identifiée comme une naine blanche qu’en 1915.

    Le savoir des Dogons

    En 1931, deux ethno-anthropologues français partent s’installer dans ce qui était alors le Soudan français pour y étudier les Dogons.
    Pendant 20 ans, Marcel Griaule et Germaine Dieterlen vont partager la vie des Dogons.

    Après plusieurs années, les Dogons ont parfaitement accepté les deux français. En 1946, ils acceptent de leur expliquer leur cosmogonie.

    Les sages de la tribu tracent alors sur le sol à l’aide de bâtons la voûte céleste telle qu’ils se la représentent.
    Médusé, Griaule voit apparaître la constellation du Grand Chien et, gravitant autour, une étoile plus petite ainsi qu’un autre corps.
    Cette étoile, confièrent-il au scientifique, met 50 ans pour faire le tour de Sirius. Pour fêter cet évènement, tous les 50 ans, ils célèbrent la fête de "Sigui", afin de régénérer le monde.

    Pour figurer cette petite étoile, les Dogons ont choisi l’objet le plus petit dont ils disposent : la graine de la variété fonio du millet, céréale qui constitue leur principale nourriture.
    Dans leur langue, « Po Tolo (Sirius B) est de taille minuscule mais très lourde.

    On sait depuis 1920 que les naines blanches, des étoiles en train de mourir, bien que petites, ont une incroyable densité.

    Quand les deux scientifiques ont demandé aux prêtres d’où ils tenaient ces connaissances, ils ont été formels :

    « Des créatures amphibies ont atterri sur la Terre il y a fort longtemps. Elles ont transmis ce savoir à quelques initiés.
    Ces créatures, les nommo, sont les Guides de l’Univers, les pères du genre humain. »

    Les Dogons dessinent un peu partout des figures qui évoquent l’arrivée des nommo sur Terre. Ils sont d’ailleurs très précis quant à l’atterrissage de l’arche. Cette dernière s’est posée au nord-est du pays dogon, près de l’endroit d’où les Dogons sont partis pour venir s’installer sur les plateaux.

    Il est évident que, comme dans tous les mythes, les symboles sont omniprésents, ce qui ne rend pas facile l’interprétation de chaque élément.

    Ce qui est certain, c’est que les connaissances des Dogons en astronomie dépassent largement leurs capacités d’observation ou de calcul.

    Les Dogons et l’astronomie

    Peu après, Griaule découvrit que les Dogons avaient bien d’autres connaissances en astronomie.
    Ils savaient, par exemple, que Jupiter a quatre satellites principaux. Ils savaient que Saturne a des anneaux, que la Terre tourne autour du Soleil et que les étoiles sont des corps en mouvement perpétuel.

    Ils savaient également que la Lune est une planète morte. Depuis des générations, les prêtres enseignent que la Voie Lactée est animée d’un mouvement en spirale, auquel participe notre système solaire.

    Un autre fait étrange, ils affirment que Sirius serait accompagnée, non pas d’une étoile mais de deux étoiles.
    Nous savons que Sirius B existe mais, à ce jour, aucune Sirius C n’a été détectée.

    Si un jour, on découvre cette deuxième étoile, invisible à l’œil nu, le savoir des Dogons serait spectaculairement confirmé.

    La grande question qui se pose depuis maintenant 1976, année de la parution de l’ouvrage de Robert Temple « Le Mystère de Sirius », est :

    De qui les Dogons tiennent-ils leur savoir ?

    Les hypothèses sur le mystère des Dogons

    L’hypothèse d’extraterrestres souhaitant partager leur savoir avec les Dogons ne semble pas très sérieuse.

    Bien sur, la description que font les prêtres depuis plusieurs centaines d’années de l’arrivée de cette « arche » est assez troublante.
    « En descendant, l’arche a fait retentir un bruit terrible, qui a fait trembler les pierres »
    Robert Temple ajoute qu’ils font également allusion aux immenses colonnes de poussière qui s’élevaient dans le ciel.

    Les Dogons se sont transmis cette légende oralement de génération en génération et ils s’expriment sous une forme mythique et symbolique.
    Il est donc difficile d’en faire une interprétation rationnelle.

    Suite à la parution du livre de Robert Temple qui montre beaucoup d’audace dans ses conclusions, les prises de position se sont succédées.
    Si ce scientifique croit à l’hypothèse extraterrestre, ce n’est bien sûr pas le cas de tous ses confrères.

    Pour certains, ce savoir s’expliquerait d’une manière très simple. Les Dogons ont été soumis à l’école laïque dès 1907 par les Français.
    Leurs connaissances proviendraient donc tout simplement de notre propre civilisation.

    Cet argument, très rationnel, ne tient malheureusement pas l’analyse. En effet, le savoir des Dogons est très ancien et se transmettait bien avant le début de la colonisation.
    De plus, il est très peu probable que les instituteurs enseignaient l’astronomie et encore moins les raisons anormales du pouvoir d’attraction de Sirius B.

    L’autre hypothèse est déjà beaucoup plus plausible. On sait que dès la plus haute Antiquité, les peuples proches-orientaux se passionnaient pour l’astronomie.

    Les Dogons n’étaient pas une tribu isolée. Leurs villages bordent les grandes routes commerciales qui reliaient autrefois l’Afrique occidentale à l’ancienne Egypte.
    Ils sont établis au sud de Tombouctou, siège d’une université qui, il y a 400 ans, était l’un des grands centres intellectuels de l’Islam.

    Des échanges culturels ont donc forcément eu lieu. Il est donc possible que par l’intermédiaire des Egyptiens, une partie des connaissances des peuples de la Mésopotamie et même de Grèce soit parvenue jusqu’aux Dogons.

    On constate d’ailleurs que Sirius apparaît souvent dans les mythologies antiques. Cela n’a rien d’étonnant car après tout, c’est l’étoile la plus brillante de notre ciel. Les Egyptiens connaissaient bien cette étoile car elle était liée aux premières inondations du Nil.

    Dans la mythologie grecque, plusieurs légendes font référence à des créatures amphibies, mi-poissons, mi-hommes.
    Les Babyloniens y font également référence. D'ailleurs, la plupart des mythologies et notamment grecque mettent en scène de nombreux monstres

    Il y a-t-il eu mélange des différents mythes ?

    Et qu’en est-il de Sirius B, qui elle est invisible à l’œil nu ? Certains avancent l’hypothèse que dans des temps plus reculés, cette naine blanche brillait suffisamment pour être vue et étudiée avec des instruments rudimentaires.

    Effectivement, de nombreuses civilisations aujourd’hui disparues, avaient de bonnes connaissances en astronomie.

    Cette dernière hypothèse n’explique pas tout mais apporte des éléments sérieux à ce dossier. Si un jour, il s’avérait que Sirius C existe bien alors il nous faudrait envisager d’autres hypothèses.


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  • Qui était Nostradamus ?

    Né à Saint-Rémy-de-Provence le 14 décembre 1503, Michel de Nostre-Dame est élevé par ses grands-parents, des juifs contraints de se convertir au christianisme, qui lui enseignent l’hébreu et le latin.
    Il pratique très tôt le métier d’apothicaire.
    Ses deux grands-pères sont médecins et c’est donc la médecine qu’il part étudier à l’université de Montpellier.
    Cet excellent étudiant se fait notamment remarquer pour sa mémoire phénoménale. Alors qu’une épidémie de peste éclate dans le Languedoc, il soigne de  nombreux malades avec des techniques médicales novatrices pour l’époque.
    Il refuse par exemple de saigner ses patients.

    Après avoir quitté Montpellier, il s’établit à Agen, se marie et a deux enfants. Quelques années plus tard, il perd sa famille, victime d’une nouvelle épidémie de peste.

    Il se met alors à voyager entre 1540 et 1545. C’est peut-être au cours de cette errance solitaire que son esprit s’exalte, au point qu’il croit se découvrir  le don de prédire l’avenir.

    Il se fixe à Salon de Provence en 1546 et se remarie avec Anne Ponsard avec qui il aura 6 enfants. L’aîné, César, deviendra le biographe de son père.

    Il ouvre alors un cabinet médical et se tourne de plus en plus vers l’astrologie.

    C’est à ce moment là qu’il rédige, d’abord un almanach « avec (des) présages » (1550) suivit d’autres almanachs mêlant des remèdes médicinaux, des onguents à base de plantes ou l’astrologie puis il écrit ses Centuries (1555).
    Cet ouvrage rencontre un immense succès, et le prophète publiera au total dix livres de prédictions, les Centuries astrologiques, de cent quatrains chacune.

    Son succès littéraire lui vaut d’être remarqué à la Cour.
    Catherine de Médicis, passionnée d’occultisme, lui demande d’établir l’horoscope de ses fils. Il semblerait qu’il ait annoncé que trois des fils règneraient, ce qui se vérifia (François II, Charles IX et Henri III).

    En 1564, Charles IX lui confie l’importante charge de médecin du roi. Il est alors au faîte de sa renommée, encensé par des poètes comme Ronsard.
    Il meurt en 1566, au retour d’une mission à Arles.

    Un quatrain semble avoir prédit cette fin, du moins c'est le sens qu'on lui attribue :

    De retour d’ambassade, don de roy mis au lieu,
    Plus n’en fera, sera allé à Dieu
    Parens plus proche, amis, frères de sang
    Trouvé tout mort près du lict du banc.

    Les prédictions de Nostradamus

    Augmentées constamment de la première édition à la mort de Nostradamus, les Centuries sont des ensembles de quatre vers regroupés par groupes de cent, d’où le nom du recueil.
    L’édition définitive des oeuvres de Nostradamus comprend :

    • La Lettre à César
    • L’Epître au très Invincible, très Puissant et très Chrétien Henry Second, roi de France
    • Les Centuries elles-mêmes (finalement au nombre de 12)
    • Les Présages (141 quatrains)
    • Les Sixains (58 strophes de six vers)

    Beaucoup de termes latins francisés sont mêlés à la langue du XVIe siècle, ce qui n’en facilite pas l’interprétation.
    Nostradamus a d’ailleurs écrit volontairement ses prédictions de façon obscure afin d’éviter des représailles de la part de l’Eglise.
    Dans la préface de 1555, il manifeste sa crainte d’être poursuivi comme hérétique. Il précise aussi ne posséder aucun livre de magie, probablement pour ne pas être accusé de sorcellerie.

    Les prophéties couvrent bien sûr l’histoire de France mais également celle de l’Europe et du monde, particulièrement l’Afrique et une partie de l’Asie.

    Quelques quatrains sont devenus célèbres car, pour les inconditionnels, les évènements se sont effectivement produits.
    Citons notamment, la mort d’Henri II lors d’un tournoi. La visière mal fermée de son heaume a laissé pénétrer la lance de son adversaire, le comte de Montgomery. Le roi est mort après une agonie de 10 jours, l’œil crevé et le cerveau atteint.

    Nostradamus avait écrit (35e quatrain):

    Le Lyon jeune, le vieux surmontera
    En champ bellique par singulier duelle
    Dans cage d’or les yeux lui crèvera
    Deux classes une, puis mourir, mort cruelle.

    En ce qui concerne notre époque, les auteurs croient voir des évènements peu rassurants. Cependant, avant de parler de l’avenir, il est intéressant de se référer à l’un des auteurs les plus réputés, Jean-Charles de Fontbrune.
    Cet auteur a passé de longues années à interpréter les Centuries et a écrit plusieurs ouvrages dont Nostradamus I et II, parus en 1980 et Nostradamus, de 1999 à l’âge d’or, paru aux Editions du Rocher en 1999.

    Dans le dernier ouvrage cité, l’auteur écrit :

    « Nostradamus, outre les deux Premières Guerres mondiales, a annoncé un troisième grand conflit qui débuterait avant la fin du XXe siècle, puisqu’il indique la date de 1999 dans le quatrain suivant :

    L’an mil neuf cens nonante neuf sept mois,
    Du ciel viendra un grand Roi d’effrayeur :
    Resusciter le grand Roy d’Angolmois,
    Avant après mars régner par bon heur.

    L’auteur en fait la traduction suivante :

    En juillet 1999, un grand chef effrayant viendra d’Asie et ressuscitera le grand roi de l’Angoumois ou des Mongols.
    L’expression « viendra du ciel » fait référence à une invasion aérienne. Le grand Roy d’Angolmois désigne l’Antéchrist venu d’Asie.
    En résumé, il s’agirait d’une guerre menée par la Chine contre l’Occident. Ce dernier grand conflit déboucherait sur la paix universelle.

    Heureusement, pour nous, si la Chine a déclaré une guerre, elle est purement économique. En 1999, comme tout le monde a pu le constater, il n’y a eu aucune invasion.

    Interpréter le passé semble plus facile et moins sujet à polémique. Et c’est bien là, tout le problème. La langue de Nostradamus est si complexe qu’elle permet toutes les interprétations. Notre histoire est jalonnée de tragédies. Chaque année, des drames se produisent un peu partout dans le monde et avec un peu d’imagination, il n’est pas difficile d’appliquer les quatrains à ces drames.

    Il est à souligner que Nostradamus a donné fort peu de dates en clair. Il mentionne par contre des données d’astronomie et d’astrologie.
    Il utilise également de nombreux symboles astrologiques : Mars pour la guerre, Vénus pour la République, Saturne pour l’âge d’or.
    C’est donc à l’aide des configurations célestes mentionnées dans les quatrains que la plupart des auteurs datent les évènements.

    En se basant donc sur ces configurations, Jean-Charles de Fontbrune écrit concernant le quatrain suivant :

    II, 52

    Dans plusieurs nuits la terre tremblera,
    Sur le printemps deux efforts suite,
    Corinthe, Ephèse aux deux mers nagera,
    Guerre s’esmeut par deux vaillants de luite.

    En ancien français, vaillant = de grande valeur et Luite = lutte.
    La terre tremblera pendant plusieurs nuits (Japon comme dans le quatrain précédent ?). Au printemps (2003, 2005 ou 2007), il y aura deux tentatives de poursuite (débarquement ?) ; (une flotte) naviguera vers la Grèce et la Turquie entre deux mers (mer Noire et mer Egée ?) ; deux personnages de grande valeur au combat entreront dans la guerre.

    Ce qui frappe dans l’interprétation, ce sont les nombreux points d’interrogation. Je ne remet pas en cause le sérieux de l'auteur mais simplement les interprétations. D'autres auteurs ont fait bien pire en prédisant par exemple la fin du monde en 1999.

    Je ne suis pas particulièrement anti-Nostradamus et je conserve, comme d’habitude, un esprit ouvert. Cependant, est bien malin celui qui est capable d’interpréter ces quatrains que je qualifierais de sibyllins.

    Finissons ce dossier sur une note optimiste. Pour ceux qui s’inquiètent de toutes ces prédictions catastrophiques, Nostradamus a prévu un âge d’or et la fin du monde vers 3797.

    L’avenir ne dépend que du présent dont nous sommes seuls maîtres. Malraux a écrit  »Le XXI siècle sera spirituel ou ne sera pas. » Ce début de siècle peut être qualifié de tout sauf de spirituel.
    Nous n’avons pas besoin d’un prophète, quel qu’il soit, pour façonner notre avenir. Qu’est ce qui retient l’homme de créer, et cela dès maintenant, son âge d’or ?


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