• Pour donner un nom hors du commun à mon chien, je l'ai nommé «Baiser» (comme pour un baiser mignon). Ce fut une erreur, mais je ne l'ai remarqué que plus tard :

    1°- Lorsque après mon déménagement je me suis rendu à la municipalité pour le faire enregistrer, je dis au percepteur que je venais payer la taxe pour Baiser. Il me répondit qu'il n'y avait pas encore de taxe à payer pour cela.
    - Mais il s'agit d'un chien, lui répondis-je. Il me répliqua que les relations sexuelles avec les animaux sont interdites par la loi, mais que malgré cela, il n'y avait pas de taxe à payer.
    - Vous ne comprenez pas, lui dis-je, j'ai Baiser depuis que j'ai neuf ans.... Il me jeta dehors.

    2°) Pendant notre voyage de noces, le chien nous avait accompagnés. Comme je ne voulais pas qu'il nous dérange, je demandai à la réception de l'hôtel une chambre supplémentaire pour Baiser.
    La dame de service me répondit que toutes les chambres de l'hôtel étaient équipées à cet effet.
    - Vous ne comprenez pas, lui dis-je, Baiser m'empêche de dormir toute la nuit. Mais elle me répondit qu'elle aussi, ça l'empêchait de dormir.

    3°) Une fois, je me rendis à un concours de beauté pour chiens, je voulais y présenter Baiser. Un gars à l'entrée me demanda la raison de ma présence au concours. Je lui répondis que j'étais ici pour Baiser. Il me suggéra de faire imprimer mes cartes d'entrées privées et de les vendre. Lorsque je lui demandai si le concours était télévisé, il me traita de pervers.

    4°) Un jour, Baiser tomba malade et je dus le conduire chez le vétérinaire. Le lendemain, j'allai le reprendre. -Lequel est-ce, me demanda la demoiselle en feuilletant dans ses cartes d'admission, Milou, Médor... ou Paf ? -Que diriez vous de Baiser, lui répondis-je et je reçus une gifle sur la joue.

    5°) Le même jour, Baiser s'échappa et je le cherchai partout. Je me rendis au refuge pour animaux pour le chercher.
    -Que voulez-vous ? Me demanda le gardien.
    -Baiser, lui répondis-je. Il était d'avis que ce n'était pas le bon endroit pour baiser.

    6°) Je cherchai toute la nuit. Vers 4 heures, un agent de police me demanda ce que je voulais en pleine nuit dans ce quartier chic, lorsque je lui répondis que je voulais seulement Baiser et rien d'autre, il m'embarqua.

    7°) Lors du divorce, ma femme et moi devions nous présenter devant le juge pour le partage des biens. Naturellement, je voulais à tout prix garder mon chien, je ne voulais pas le lui laisser :
    - Votre Honneur, j'avais déjà Baiser avant le mariage.
    Il répondit simplement :
    - Et alors ? Moi aussi!   


    votre commentaire

  • - Donnez- moi quelque chose, mon nerf asiatique me fait mal et je ne tiens plus debout
    - Surtout marquez- moi bien la posologie sur la boîte, car je ne sais pas lire.
    - Mon mari prend une quantité gastronomique de médicaments.
    - Vous verrez Madame, un jour on se réveillera mort dans notre lit.
    - Je n’ai pas pris ma carte végétale.
    - J’ai un ongle de pied incarcéré.
    - Il fait chaud dans votre pharmacie, on se croirait dans un zona.
    - La pharmacienne: « A quelle caisse êtes- vous madame ? ». La cliente : « A la caisse d’épargne ! »



    - Depuis que l’ai la préménopause, j’ai des mensualités tous les deux mois.
    - Mon fils est tombé de mobylette. Il a le bras pleins d’esquimaux.
    - Je veux un remède de cheval, pour aller à la selle.
    - Mon cousin a eu un accident de voiture en allant à l’horoscope de Poitiers.
    - Mon cardiologue va me faire in pince main cœur.
    - J’ai failli faire une conclusion intestinale.
    - On va me faire une césarienne, le bébé ne passe pas par voie orale.
    - On m’a fait une hyposuccion.
    - Le client : « Donnez- moi des médicaments pour… euh… l’Eisenhower de ma femme. » Le pharmacien : «Attention, ça commence comme ça ! ».
    - On m’a fait passer un ULM.
    - Je vais bientôt passer une colomboscopie.
    - Je vais me faire opérer d’un christ aux yeux verts.
    - A l’hôpital, ils m’ont fait un ketchup complet.
    - Mon mari sera prochainement opéré d’une hernie fiscale.



    - Je vous jure, mon médecin m’a parlé de douleurs interpostales !
    - J’ai mal dans le bas du dos. Je crois que j’ai attrapé un bungalow.
    - Mon mari a eu un problème respiratoire à l’anesthésie, on a du l’entuber.
    - Je voudrais un hémophile indien.
    - Avez- vous le médicament de la pub télé : AOL 9.0 qui bloque les virus.
    - La cliente : « De l’aspirine, sil vous plait ? » Le pharmacien : « Effervescent ou pas ? ». La cliente réponds : « Euh… Toupas ! ».
    - On m’a dit que vous aviez de la pommade à l’harmonica.
    - Je voudrais une paire de bas de contusion.
    - Avez- vous la pilule du surlendemain ?
    - On en parle beaucoup de la grippe à vierge.
    - J’ai vu ma gynécologue, elle ma fait un « tutti- frutti ». Elle a rien trouvé.
    - Mon fils a des hémorroïdes. Internes ou externes ? Euh… demi- pensionnaire !
    - Que dois- je faire, mon fils fait une érection allergique ?
    - Je vous voudrais des pastilles pour la gorge, car depuis que mon mari est mort, je n’ai plus rien à sucer.  


    votre commentaire

  • Les smileys sont ces petits signes que les internautes laissent traîner dans leurs courriers électroniques pour signifier à leurs correspondants un état d'esprit particulier.
    Certains étant davantage portés sur le sexe que d'autres, une nouvelle race de smileys a fait son apparition sur Internet : les smileys cochons.

    Ce qui donne ceci :

    (o)(o) : nichons parfaits
    (+)(+) : nichons silicones
    (*)(*) : nichons à hauts tétons
    (@)(@) : nichons à gros tétons
    oo : taille A
    {O}{O} : taille D
    (oYo) : effet Wonderbra
    o/ o/ nichons de grand-mère
    (Q)(Q) piercing sur les tétons   


    votre commentaire

  • Avec cette crise, tout le monde souffre :
    Les boulangers ont des problèmes croissants,
    Chez Renault, la direction fait marche arrière et les salariés débrayent,
    A EDF, les syndicats sont sous tension,
    Coup de sang à l'usine TAMPAX,
    Les bouchers veulent défendre leur bifteck,
    Les éleveurs de volaille sont les dindons de la farce, ils en ont assez de se faire plumer,
    Pour les couvreurs, c'est la tuile,
    Les faïenciers en ont ras le bol,
    Les éleveurs de chiens sont aux abois,
    Les brasseurs sont sous pression,
    Les cheminots menacent d'occuper les locos et veulent conserver leur train de vie,
    Les veilleurs de nuit en ont assez de vivre au jour le jour,
    Les pédicures doivent travailler d'arrache pied,
    Les ambulanciers ruent dans les brancards,
    Les pêcheurs haussent le thon,
    Les horlogers passent un mauvais quart d'heure,
    Les maçons vont droit dans le mur,
    Les prostituées sont dans une mauvaise passe,
    Sans oublier les imprimeurs qui sont déprimés et les cafetiers qui trinquent,
    Les carillonneurs qui ont le bourdon,
    Les électriciens en résistance,
    Et les dessinateurs qui font grise mine.
    Et vous, ça va ?


    votre commentaire



  • "L'éternité c'est long, surtout vers la fin."
    (Woody Allen / né en 1935)

    "Mon Dieu, mon Dieu, délivrez-nous de toutes les religions."
    (Guy Bedos / né en 1934 / Extrait de presse 1995)

    "CIEL : Lieu de délices que l'on dit être le Paradis et d'où nous arrivent aussi la pluie, la foudre, la grêle et les bombes."
    (Albert Brie / né en 1925 / Le mot du silencieux, Dictionnaire du marginal)

    "Je suis allé à Lourdes avec ma femme. Il n'y a pas eu de miracle. Je suis revenu avec."
    (Seymour Brussels, humoriste français)

    "Savez-vous pourquoi il y a tant d'église à Paris ? C'est pour permettre aux piétons d'entrer faire une prière avant de traverser la rue."
    (Art Buchwald / 1925-2007)

    "L'hostie est une pilule pour la foi."
    (Léo Campion / 1905-1992 / Lexique encyclopédique)

    "Si les anges volent, c'est parce qu'ils se prennent eux-mêmes à la légère."
    (Gilbert Keith Chesterton / 1874-1936)

    "A l'éternelle triple question toujours demeurée sans réponse : "Qui sommes-nous ? D'où venons-nous ? Où allons-nous ?" je réponds : "En ce qui me concerne personnellement, je suis moi, je viens de chez moi et j'y retourne"."
    (Pierre Dac / 1893-1975 / Les Pensées / 1972)

    "Pour la prière aux saints du paradis, j'ai un tuyau ! Le meilleur créneau, c'est les auréolés modestes, les petits, les sans-grade. Pas les stressés, les surmenés, les Matthieu, Marc, Pierre, Marie, Thérèse... Non, eux qui se les roulent là-haut ; les Godefroy, Magne, Nazaire, Quentin, Evariste, Anselme, Fridolin : moins ils sont connus, plus ils te concèdent ! Saint-Pierre, on fait la queue devant son auréole. Il ne sait plus où donner de la barbe. Tandis que les obscurs, eux, ne demandent qu'à se remuer !"
    (Frédéric Dard / 1921-2000 / Les pensées de San-Antonio)

    "Je résiste à la tentation de m'asseoir à la droite de Dieu de peur que ça soit bon. C'est par morale chrétienne."
    (Pierre Desproges / 1939-1988)

    "Je crois à l'immortalité et pourtant je crains bien de mourir avant de la connaître."
    (Raymond Devos, humoriste / né en 1922)

    "On a beaucoup ri d'un télégramme que Mauriac a reçu peu de jours après la mort de Gide et ainsi rédigé : "Il n'y a pas d'enfer. Tu peux te dissiper. Préviens Claudel. Signé André Gide"
    (Julien Green / 1900-1998 / Journal 28 février 1951)

    "Nos fautes sont des dettes contractées ici et payables ailleurs. L'athéisme n'est autre chose qu'un essai de déclaration d'insolvabilité."
    (Victor Hugo / 1802-1885 / Philosophie prose, Océan)

    "Devant l'intérêt de plus en plus suscité dans certains pays par l'Islam, il convient de rappeler que la religion musulmane interdit strictement la consommation de l'alcool."
    (Stanislaw Jerzy Lec / 1909-1966)

    "On affirmait à quelqu'un que l'âme était un point ; à quoi il rétorqua : pourquoi pas un point virgule, elle aurait ainsi une queue."
    (Georg Christoph Lichtenberg / 1742-1799 / Aphorismes)

    "La bouse de la vache est plus utile que les dogmes : on peut en faire de l'engrais."
    (Mao Tsé-Toung / 1896-1976)

    "Il est maintenant presque autorisé pour une catholique de recourir aux mathématiques pour éviter d'être enceinte, mais il lui est encore interdit de se servir de la physique et de la chimie."
    (Henry Louis Mencken / 1880-1956)

    "Néanmoins, il est encore plus difficile pour le singe moyen de croire qu'il descend de l'homme."
    (Henry Louis Mencken / 1880-1956)

    "Lorsque les nazis vinrent chercher les communistes, je me suis tu : je n'étais pas communiste.
    Lorsqu'ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je me suis tu : je n'étais pas social-démocrate.
    Lorsqu'ils sont venus chercher les Juifs, je me suis tu : je n'étais pas Juif.
    Lorsqu'ils sont venus chercher les catholiques, je me suis tu : je n'étais pas catholique.
    Lorsqu'ils sont venus me chercher, il n'y avait plus personne pour protester."

    (Pasteur Martin Niemoller, Président des Eglises réformées de Hesse-Nassau, 1950, interné en Allemagne de 1938 à 1945 / 1892 - 1984)

    "Ils sont à table
    Ils ne mangent pas
    Ils ne sont pas dans leur assiette
    Et leur assiette se tient toute droite
    Verticalement derrière leur tête."

    (Jacques Prévert / 1900-1977 / Paroles - La Cène)

    "Saint Martin a donné la moitié de son manteau à un pauvre: comme ça, ils ont eu froid tous les deux."
    (Jacques Prévert / 1900-1977)

    "La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe."
    (Jacques Prévert / 1900-1977)

    "Nous sommes ici-bas pour rire.
    Nous ne le pourrons plus au purgatoire ou en enfer. Et, au paradis, ce ne serait pas convenable."

    (Jules Renard / 1864-1910 / Journal - 25 juin 1907)

    "Si l'église a peur de la logique (avec raison), elle n'a, par contre, pas peur du ridicule."
    (Enrico Riboni / Site internet : http://www.christianisme.ch/atheisme.htm)

    "Les religions sont comme les vers luisants: pour briller, il leur faut de l'obscurité."
    (Arthur Schopenhauer / 1788-1860 / Parerga)

    "Il y en a qui croient, il y en a qui doutent, il y en a qui pensent. Je suis de ceux qui pensent : je pense que je crois que je doute."
    (Louis Scutenaire / 1905-1987 / Mes inscriptions, 1943-1944)


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique