Tout demeure dans l'innocence,
Et bien peut émerge à la conscience,
Vous voudriez déjà tout connaître
Sans être capables de vous reconnaître
Dans cet univers qui vous enveloppe
Et si votre cerveau se développe,
Vous restez limités par vos sens
Qui fixent votre animale essence,
Vous imaginez des instruments
Pour savoir ce monde qui vous ment,
Vous développez de savantes théories
Et des expériences comme des paris,
Toujours vous défaites et refaites
Un monde qui vous échappe sans cesse,
Et qui, sans vous, demeure au faîte
De l'inaccessible dans sa sagesse,
La véritable connaissance
Sera toujours une absence...
bien ?oi, des bisous, toksa ake