Blog sur la spiritualité et les religions, poèmes personnels de sagesse et d'humanisme
La célèbre formule de Sartre : « l’existence précède l’essence » semble indiquer que l’homme n’est prédéterminé par aucune nature, mais se constitu au fur et à mesure qu’il agit et se développe dans l’existence. Néanmoins, il semble bien qu’un certain...
Lire la suiteLa mort oblige l’homme à concevoir sa fin dans l’existence, tant sur un plan physique que moral, ce qui implique donc non seulement la conception rationnelle des causes qui peuvent conduire un organisme à ne plus pouvoir vivre, mais en outre l’appréhension...
Lire la suiteLa question est ici de savoir dans quelle mesure la conscience du temps agit comme un obstacle pour l’homme. Le problème visé ici est celui de la finitude de l’homme, c’est-à-dire des limites que rencontrent sa puissance d’action et son pouvoir de pensée....
Lire la suiteL’ambiguïté tient à la définition que l’on peut donner du meilleur. Le meilleur est-il ce qu’un individu conçoit comme bon par lui-même, ou de ce que les règles morales ou politiques lui imposent comme bon ? La question posée interroge la rationalité...
Lire la suiteDocteur Jekyll et Mister Hyde raconte le dédoublement mystérieux de la personnalité d’un médecin qui subit les effets dévastateurs d’un médicament ayant pris le contrôle de son équilibre physiologique. Versant dans l’outrance de ce dédoublement, la fiction...
Lire la suiteBien sûr, tout ce qui est humain peut légitimement relever du questionnement philosophique. Mais, après avoir énoncé semblable généralité, encore faut-il voir en quoi l’humour est chose proprement humaine; et en ce cas, comment le livrer à l’analyse philosophique....
Lire la suiteLes autres, dans L’existentialisme est un humanisme, se manifestent d'abord par leur incompréhension. Sartre défend son œuvre contre les objections des chrétiens et des marxistes. Point par point, il souligne les incohérences et les inconséquences de...
Lire la suiteL’absurde est une question sérieuse, voire grave. C’est bien ce qu’avait compris Albert Camus, lorsqu’il publia en 1942 « Le mythe de Sisyphe ». Cet essai fait partie de son cycle de l'absurde, avec « l'Étranger » (roman), «Caligula » (pièce de théâtre)...
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