• Dans la mythologie grecque, les Amazones (en grec ancien Ἀμαζόνες / Amazónes ou Ἀμαζονίδες / Amazonides) sont un peuple de femmes guerrières résidant sur les rives de la mer Noire. Les Amazones possèdent une origine historique : elles correspondraient aux femmes guerrières des peuples scythes et sauromates.

    L'étymologie populaire admise pendant l'Antiquité décompose le mot en un ἀ- privatif et μαζός / mázos, « sein » en ionien : « celles qui n'ont pas de sein ». Elle ne repose en fait sur rien. On a proposé de faire provenir le terme du nom d'une tribu iranienne, *ha-mazan, « les guerriers », ou encore du persan ha mashyai, « les Peuplades [des steppes] ».

    Selon la légende, les Amazones habitent les rives du Thermodon, en Cappadoce dans l'actuelle Turquie. Elles tuent leurs enfants mâles ou les rendent aveugles ou boiteux, pour ensuite les utiliser comme serviteurs. Quant aux femmes, elles coupent leur sein droit pour faciliter le tir à l'arc. Pour assurer la perpétuation de leur civilisation, elles s'unissent une fois par an avec les hommes des peuplades voisines dont elles choisissent les plus beaux.

    Les attributs des Amazones sont le πέλτη / péltê, un bouclier léger en forme de demi-lune, la lance, l’arc et les flèches propres aux cavaliers des steppes, le cheval et la hache — σάγαρις / ságaris d'abord, puis double hache à partir de l'époque hellénistique, par exemple chez Quintus de Smyrne[4]. Le signal avant la bataille est donné par le sistre (sorte de grelot) généralement de bronze.

    De nombreux héros grecs — Bellérophon, Achille, Héraclès, Thésée ou encore Priam — ont eu affaire à elles. Curieusement, chacun eut sa reine à aimer et, finalement, à tuer. Achille affronte Penthésilée venue secourir les Troyens, s'en éprend et la tue dans le même temps. Priam, le vieux roi troyen, a lui-même repoussé une invasion amazone. Héraclès doit s'emparer de la ceinture d'Hippolyte et finit par massacrer cette dernière, ainsi que ses compagnes.

    Selon une tradition que Plutarque attribue à l'atthidographe Philochore, Thésée se joint à l'expédition d'Héraclès après avoir mené à bien le synœcisme d'Athènes. Il reçoit Antiope comme part du butin. Selon une autre tradition que Plutarque rapporte notamment à Hellanicos, Thésée part seul et capture lui-même Antiope. Les Amazones répliquent en envahissant l'Attique — après avoir passé le Bosphore pris dans les glaces, selon Hellanicos. Le combat devant Athènes se déroule au mois de Boédromion, d'où la fête des Boédromies. Thésée a un fils d'Antiope (également appelée Hippolyte par certains auteurs), Hippolyte. Bellérophon, enfin, après avoir tué la Chimère, affronte et vainc les Amazones.

    Les Amazones voient leur continuité au féminin ; la légende dit qu’elles tuent les enfants mâles et n’élevent que les filles, ce qui paraît difficile pour assurer leur perpétuation. Il est donc plus probable qu'après le sevrage, les garçons soient confiés aux hommes avec lesquels elles ont enfantés. Cela présuppose davantage un type de société matriarcale, ce dont les Grecs avaient horreur, raison pour laquelle ils blâment tant cette population. La légende rapporte également que les Amazones ne gardent auprès d’elles que des hommes mutilés, estropiés, prétendant que cela augmenterait leur capacité sexuelle, supputant que l’infirmité empêcherait les hommes d'être violents et d’abuser du pouvoir. Il paraîtrait à ce propos que la reine Antianeira ait répondu à une délégation d’hommes scythes qui s’étaient proposés comme amants exempts de défauts physiques que « l’estropié est le meilleur amant ».


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  • Le Phénix, oiseau fabuleux qui renaît toujours de ses cendres, est le symbole de résurrection le plus répandu dans le monde. Sa légende trouve son origine à Héliopolis, ancienne ville égyptienne où l'on vénérait le dieu du Soleil, Râ, dont le héron Bennou (nom du Phénix en Egypte), serait une incarnation. Les mythes diffèrent sur quelques points de détail - la couleur du plumage, par exemple -, mais ils relatent tous à peu près la même histoire. Le Phénix, unique oiseau de son espèce, était un animal fabuleux, doté d'une longévité miraculeuse (cinq cents ans ou plus, d'après certains auteurs), qui avait le pouvoir de renaître de ses cendres. Quand l'heure de sa fin approchait, il se construisait un nid d'herbes aromatiques, puis s'exposait aux rayons du soleil et se laissait réduire en cendres. Trois jours plus tard, il renaissait. Alors qu'il ne représentait, au début, que l'apparition et la disparition cycliques du soleil, le Phénix devint rapidement un symbole de résurrection ; il incarne l'âme ou l'immortalité dans les différentes iconographies. Les créatures ailées figurées au-dessus d'un bûcher funéraire ou s'échappant du corps d'un défunt ne sont pas toutes, pour autant, un phénix. Il peut s'agir d'un autre oiseau, un aigle, par exemple, qui symbolise parfois l'âme des empereurs.

    L'Oiseau, symbole de la résurrection du chaos est très fréquent en Chine et au Japon. et constitue un parallè!e intéressant avec le Phénix mythique des Égyptiens et plus tard avec celui des Grecs et des Romains. D'une façon générale. l'Oiseau est le symbole de l'âme, de la renaissance, mais aussi de l'esprit et de la lumière. Dans la tradition chinoise, l'oiseau légendaire Feng-Huang (ci-contre), qui symbolise le bonheur conjugal, est l'équivalent du Phénix; il est issu de l'union des forces solaire et lunaire.


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  • Les animaux fabuleux ne sont pas tous synonymes de cauchemar, certains représentent la pureté et la grâce : le plus célèbre de ceux-ci, la Licorne, figure dans tous les bestiaires fantastiques orientaux et européens. Animal imaginaire que l'on rencontra sur des blasons, des fresques ou bien encore sur des tapisseries.

    Elle apparaît pour la première fois chez le médecin grec Ctésias qui, au Vème siècle avant J.-C., la décrit comme un âne sauvage et blanc avec une corne au milieu du front. Au IIème siècle avant J.-C., le Physiologus, texte célèbre écrit à Alexandrie qui inspira la plupart des bestiaires médiévaux, la présente sous les traits d'un chevreau sauvage à l'unique corne que seule une vierge peut approcher.
    Dans la tradition grecque de la Bible, on évoque l'Unicorne (monokeros) et les textes religieux qui en sont tirés lui donnent l'apparence d'un cheval blanc à la longue corne torsadée. C'est un animal fantastique puisque protéiforme dans ses innombrables illustrations : elle peut aussi apparaitre comme un rhinocéros, un bovidé, un bouc, voire une créature totalement chimérique (une queue d'oiseau, pas de pattes arrière, celles de devant fourchues et une corne en dents de scie !). Ni sa blancheur, ni sa barbiche ne sont constantes...

    En fait, au Moyen Age, la Licorne a l'apparence qu'on veut bien lui donner. Comme son nom l'indique, on l'identifie avec sûreté grâce à sa corne à laquelle on prête des vertus curatives, protectrices, voire aphrodisiaques. C'est pourquoi la Licorne suscite la convoitise des hommes : nombreux sont les récits narrant la capture d'une Licorne par des chasseurs grâce à l'intervention d'une jeune fille vierge. Elle seule a le pouvoir d'apaiser cette créature farouche et combative, qui vient nicher sa tête dans son giron et s'endort. La scène est parfaitement illustrée dans la bande dessinée de Marc-Renier, Les yeux du marais (série histoire et légendes parue aux éditions du Lombard en 1985).

    Néanmoins son unique corne passait pour avoir un pouvoir de contrepoison universel. Ce que l'on vendait à prix fort élevé au Moyen Age sous le nom de corne de licorne, était en fait la défense du narval, encore appelée licorne de mer, dont on "touchait" les mets afin d'y déceler la présence d'une "éventuelle" substance vénéneuse. La licorne était donc, au Moyen Age, très précieuse pour diverses raisons : elle portait, disait-on, une escarboucle sous sa corne ; son foie pulvérisé et mélangé à du jaune d'œuf combattait la lèpre ; une ceinture faite de sa peau protégeait de la peste et de la fièvre ; des chaussures de la même matière assuraient la santé des pieds ; sa corne, utilisée comme ciboire, neutralisait tout breuvage empoisonné (tout comme la poudre) et empêchait de succomber au haut-mal, c'est-à-dire à l'épilepsie.

    Dans certaines légendes, elle devient furieuse et éventre la jeune fille si celle ci n'est pas vierge ! La Licorne est par contre très douce avec les autres animaux de la forêt. On ne lui connait qu'un ennemi : l'éléphant...

    Ce qui fascine dans le mythe de la Licorne, et ce qui a assuré sa pérennité tout au long de la période qui nous occupe, c'est son ambiguité : dans de nombreux textes et sermons, tels que ceux de Honorius d'Autun au XIIème siècle, la Licorne est une allégorie du Sauveur (sa blancheur évoque la pureté) et sa corne représente la Croix. Le symbole religieux sauve les âmes de même que la Licorne purifie les eaux empoisonnées en y trempant sa corne.
    L'opposition Licorne / Dragon, évoquée au début de l'article, en tant que représentations du Bien et du Mal se vérifie ainsi : le poison prend souvent la forme d'un Dragon, comme dans l'iconographie de St Jean l'Evangéliste (information tirée de Art profane et religion populaire au Moyen Age, p. 321).

    Des poètes laics, comme Richard de Fournival dans son Bestiaire d'Amour au début du XIVème siècle, vont voir en la Licorne la représentation de l'Amant, attiré par l'odeur enivrante et virginale de la jeune fille, puis trahi par elle dans son sommeil. La forme de la corne, souvent caressée par la pucelle dans les illustrations médiévales, est bien assez évocatrice d'ailleurs... Ainsi, à partir du XIIIème siècle, l'allégorie religieuse va dissimuler plus ou moins une image du désir.


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  • De nos jours, nous voyons les Sirènes comme de belles femmes au charme immense et à la queue de poisson. Pourtant, au tout début de leur légende, les Sirènes étaient des créatures maléfiques avec des attributs d’oiseaux.  Elles étaient nées du fleuve Achéloos et d'une muse (Melpomène ou Terpsychore, cela varie selon les légendes). Dans les anciens récits, elles attiraient, par leur merveilleux chant, les marins qui passaient près de leur île puis les dévoraient. Elles symbolisent l'autodestruction du désir et les impulsions obscures et primitives de l'homme.

    Il y a deux versions différentes de la légende dans laquelle les Sirènes acquirent leurs ailes (ou leur corps d’oiseau). Dans la première, les Sirènes étaient présentes lors de l’enlèvement de Perséphone par Hadès. Cependant, elles n’ont rien fait pour tenter de les sauver et, pour les punir, le père de Perséphone aurait donné un corps d’oiseau à ces femmes. Dans la seconde version, les Sirènes étaient de grandes amies de Perséphone et furent bien attristées de son enlèvement. Elles implorèrent donc les Dieux de leur donner des ailes pour qu’elles puissent chercher leur amie.

    Elle sont apparues pour la première fois dans l'Odyssée d'Homère (- IX eme siècle) où elles étaient deux créatures mi-femmes, mi-oiseaux. Par la suite, leur nombre varie selon les légendes mais elles apparaissent le plus souvent au nombre de trois et elles seraient d'excellentes musiciennes. Selon certains écrivains, l'une jouait de la lyre, l'autre de la double flûte et la troisième chantait. Ces femmes étranges habitaient, seules, sur une île de la méditerranée.

    Jason et Orphée, étaient à bord de l'Argo, lorsque le chant des Sirènes parvint à leurs oreilles. Tous furent alors pris du grand désir désespéré d'aller à la rencontre des auteures de ces chants. Les Argonautes tournèrent leur navire vers la grève où les attendaient les Sirènes et ne pouvaient s'en détourner. Orphée leur sauva tous la vie en sortant sa lyre et joua une mélodie vibrante, aux notes claires et apaisantes. Cela étouffa le chant des Sirènes et le navire pu reprendre son cap et s'éloigner de cet endroit dangereux.

    Ulysse, lors de l'un de ses grand périple, passa aussi près de l'île des Sirènes. En suivant les conseils de Circé, il a demandé aux autres marins de se remplir les oreilles de cire et leur ordonna de l'attacher solidement au mât du bateau et de l'en détacher sous aucune condition. C'est ainsi qu'il pu entendre la douce mélodie des Sirènes et leurs paroles ensorcelantes qui disaient tout connaître et qu'elles  partageraient ce savoir avec quiconque viendrait jusqu'à leur île. Ne pouvant accepter cette défaite, les sirènes se sont jetés à la mer pour mourir et leurs corps furent changés en rocher.

    Beaucoup lus tard, elle acquirent la queue d'un poisson mais gardèrent leur voix mélodieuse. Elles séduisaient les navigateurs par leurs chants incroyables, puis par leur magnifique apparence. Il est aussi raconté qu'elles entraînaient ces marins charmés au fond de la mer pour en faire leur repas . On les a longtemps perçues comme des monstres pervers et malfaisants, puis elles sont devenues des divinités de l'au-delà qui enchantaient par leurs voix mélodieuses ceux qui étaient au paradis.

    Dans d'autres histoires beaucoup plus récentes, elles ont de grands pouvoirs magiques. Elles peuvent prédire l'avenir et apparaissaient pour prévenir les gens qu'il y aurait des tempêtes. Dans ces croyances, elles tombaient souvent en amour avec des hommes et c'est pour cela qu'elles les emmenaient sous l'eau. Elles seraient pacifiques et auraient même, à plusieurs reprises, sauvées des vies humaines.



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  • Mythologie romaine et grecque

    Le nom fée vient du mot latin fata qui se disait originairement pour les Parque. Les Parques étaient représentées, sur les Forum romains, par trois statues que l’on appelait couramment les "Trois Fées" (les tria Fata : les trois "Destinées", fatum signifiant destin). Pour les Romains, les Parques se chargent en effet du destin.

    Représentées comme des fileuses, Nona fabrique le fil de la vie, Decima le déroule, et c’est Morta qui coupe le fil... décidant ainsi de la durée des hommes. Les Grecs les appelaient les Moires, respectivement Clotho, Lachesis et Atropos.

    Décidant de la vie et de la mort des hommes, elles sont le symbole du changement, du rythme de la vie, de la fatalité, du destin. Elles sont la représentation d’une loi centrale et impossible à transgresser : la vie et la mort, empèchant même les dieux d’intervenir quand si l’heure est venue.

    Les Parques seraient selon les sources les filles de Jupiter et Thémis, étant les soeurs des Heures, ou encore nées du commencement des temps (donc plutôt des démons).

    On les retrouve au IVème siècle dans Ausone et au VIème siècle dans Procope.

    Au moyen-âge

    Les fées du moyen-âge appartiennent à un genre de divinités secondaires paîennes qui ont survécu au paganisme et que le peuple mélées aux croyances du christianisme. On y rencontre à la fois des survivances de la mythologie latine, celtique et germanique. Des mythes des trois Parques, elles ont gardé l’influence qu’elles avaient sur la destinée de l’homme et les dons bons ou mauvais qu’elles lui imposaient dés le berceau. Aux matres ou matronae, divinités qui apparaissent si souvent dans les inscriptions gallo-romaines, elles doivent le caractère, généralement bienveillant pour les hommes, qu’elles ont au moins chez les populations qui ont été longtemps en contact avec les Romains. Elles devinrent dures et méchantes lorsqu’elles s’allièrent aux n’ornes, ces lugubres parentes des Parques, chez les peuples germaniques et scandinaves, qui importèrent tout un panthéon de nains : trolls, gnomes, kobolds et aussi d’elfes, nixes, ondines, pixies, etc.

    Les gaulois eurent les saynettes qui habitaient l’île de Sayne, sur la côte des Osismiens, auxquelles on attribuait le pouvoir d’exciter les tempètes et de guérir les maladies ; on les connut en Ecosse et en Irlande sous le nom de fairies, de water-elven ou de daonie-see ; en Angleterre, on les appelera Klabbers ou tylwith teg ; en Allemagne, alfen, kobold ou stille-volk ; les Arabes et les Persans avaient des fées nommées féris, dives et djinors. En Flandre, on connut les withe-wroukin (dames blanches), fées malfaisantes qui épiaient les voyageurs pour les entraîner dans leurs demeures souterraines ; en Danemark, les fées sont les nokka, musiciennes nocturnes des forêts et des eaux ; en Russie, les duegar. Il faut remarquer que ces produits de l’imagination humaine sont malins et méchants dans tous les pays la nature est avare de ses dons : pays froid, de montagnes, de nuages, comme la Scandinavie, l’Irlande, l’Ecosse ; au contraire, ils sont doux et bienfaisants dans les pays mééridionaux, où la nature est riante et la vie relativement facile.

    Les littérateurs prolongèrent le rêgne des fées en les introduisant dans leurs récits. Au moyen âge, dans les romans d’Arthur et de la Table ronde, de Charlemagne et de ses paladins, d’Ogier le Danois, Viviane, Morgane, Mélusine, sont appréciées des poètes. Quelques grandes familles adoptèrent certaines d’entre elles comme protectrices. En se rapprochant des hommes, elles en ont pris les passions, et il n’était pas rare qu’elles s’éprissent d’un beau chevalier, voire d’un simple manant. La renaissance n’eut garde de les mettre en oubli ; elles revivent dans le Roland amoureux, de Boiardo, dans le Roland furieux, de l’Arioste, dans la Reine des fées, de Spencer, dans le Songe d’une nuit d’été, de Shakespeare, dans la Jérusalem délivrée, de Tasse, etc. En France, les fées n’ont jamais été délaissées ; elles apparaissent, jusqu’au grand siècle, pimpantes, piquantes, réalisant des prodiges d’un coup de leur baguette magique, parées à la française dans les Contes de Perrault.

    Après la renaissance

    En musique, le mot fée a servi de titre à de nombreux opéras ou opérettes. Parmi les meilleurs oeuvres, nous citerons la Fée Urgèle, opéra-comique en quatre actes, paroles deFavart, musique de D’uni, représentée à la Comédie-Italienne, le 4 décembre 1765 ; la Fée aux roses, opéra-comique en trois actes, paroles de Scribe et de saint-Georges, musique d’Halévy, représenté à l’Opéra-Comique le 1er octobre 1849 ; la fée Carabosse, opéra-comique en trois actes, paroles de Cogniard, musique de V. Massé, représentéé au Théâtre-Lyrique, le 28 février 1859 ; les Fées, opéra, paroles et musique de Richard Wagner, représenté après la mort de l’auteur, le 29 juin 1888, sur Théâtre Royal de Munich ; la fée aux chèvres, opérette féerique en trois actes et quatre tableaux, paroles de Paul Ferrier et Albert Vanloo, musique de Louis Varney, représenté à la Gaîté, le 18 décembre 1890.

    En psychologie, les contes de fées sont les archétypes de notre inconscient collectif. Les mythes appris dès la prime enfance nous hante durant l’âge adulte avec quelquefois des résultats surprenants. Il y a en chacun de nous un personnage de conte de fées. Le connaître aide à rendre le quotidien bien moins banal.


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